Rapport scientifique et indépendant sur les vaccins : information et revue des risques sanitaires.
Via infOGM, association loi 1901 dédiée à l’information indépendante sur les OGM et les biotechnologies.
En principe, la vaccination consiste à pré-exposer, avec une sécurité raisonnable, une personne à une dose « inoffensive » d’un pathogène atténué ou à certaines parties du pathogène (appelées antigènes). Le but est d’activer le système immunitaire et ainsi produire des anticorps.
Ceci permet, lors d’une infection ultérieure, la reconnaissance rapide du pathogène et sa neutralisation avant qu’il ne se multiplie et cause la maladie.
Jusqu’à peu, la vaccination consistait principalement en cela.
Depuis les années 90, des chercheurs essayent de développer des antigènes en utilisant des micro-organismes génétiquement modifiés (OGM) produits en milieu confiné. On appelle ce type de vaccin « vaccins recombinants » car ils utilisent la technologie de l’ADN recombinant.
Ces dernières années, de nouvelles stratégies de vaccination ont vu le jour, à base cette fois de matériel génétique : un brin d’ADN ou d’ARNm du pathogène. L’idée est de synthétiser la ou les protéine(s) désirées dans le corps du patient en utilisant sa machinerie cellulaire.
Lire L’ARN de synthèse : 3ème révolution industrielle ?
Ce matériel génétique étranger doit pouvoir être introduit dans les cellules de l’organisme à vacciner. Pour cela, des « véhicules » appelés vecteurs sont utilisés, permettant à ce matériel génétique d’échapper au système immunitaire.
Ces vecteurs sont déjà utilisés en thérapie génique, où de nombreux exemples montrent des réactions immunitaires et inflammatoires non intentionnelles parfois très graves. Voir par exemple les expériences du Dr Fischer qui ont engendré des leucémies et la mort.
L’intervention d’anticorps non neutralisants lors d’une infection ultérieure au vaccin n’est pas exclue. Ces anticorps peuvent faciliter l’entrée du virus dans certaines cellules. Ce phénomène a été documenté pour certains virus, il entraîne des pathologies sévères.
Parmi les vaccins à ARNm contre la covid-19, celui de Pfizer/BioNTech et celui de Moderna sont tous deux des vaccins à ARNm à vecteur lipidique tandis que ceux testés par Astra Zeneca, Johnson & Johnson et Gamaléïa (Russie) sont des vaccins à vecteur viral génétiquement modifié.
Les vaccins à ARNm sont une nouvelle classe d’OGM : ils se composent de constructions génétiques artificielles dont l’élaboration fait appel aux bio-nano-technologies, et leur développement implique des techniques de modification génétique.
L’ARNm codant la protéine immunogène (Spike) a été d’abord modélisée sous une forme modifiée pour assurer une dégradation plus lente de l’ARNm dans le corps du patient.
Les molécules d’ARNm sont produites à partir de plasmides bactériens génétiquement modifiés dans des cellules animales (des contaminations par l’ADN de ces cellules animales sont possibles). On parle d’ARN synthétique. On parle aussi d’«imprimante à ARN».
Voir Covid-19 : Tesla va fabriquer des imprimantes à molécules pour la recherche vaccinale
Ces vaccins à ARNm sont des constructions génétiques artificielles.
Ils devraient être soumis à la loi européenne sur les OGM, mais ce n’est pas le cas, et de toute façon la loi a été court-circuitée en juillet pour développer les vaccins à vecteur viral d’Astrazeneca et de Johnson & Johnson.
RISQUES DE MALADIES
Ces vaccins peuvent agir sur l’expression des gènes via des modifications épigénétiques des cellules humaines aux conséquences souvent inconnues.
Voir à ce sujet le rapport scientifique du CRIIGEN :
Covid-19 : Rapport d’expertise sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM
D’abord, les modes de préparation de l’ADN et de l’ARN vaccinal ne les exemptent pas de contaminations d’ADN génomique bactérien et donc d’insertions et mutations dans l’ADN humain une fois le vaccin injecté.
Il existe aussi un risque de génotoxicité (tumeurs, cancers, etc.) si des cellules sont déjà infectées par un rétrovirus (qui possède une transcriptase inverse) : l’ARNm du vaccin pourrait alors être rétro-transcrit en ADN viral qui pourra s’intégrer dans l’ADN humain.
Ces vaccins peuvent par ailleurs engendrer des réactions de défense cellulaire qui peuvent provoquer des réactions inflammatoires à l’origine de maladies auto-immunes. Les vaccins à ARN n’ont donc jamais été autorisés sur l’humain à cause de la toxicité avérée de l’ARN. Et à dose trop faible il est inefficace car désintégré avant d’arriver dans les cellules.
Les études cliniques :
2017 https://cell.com
2017 https://thelancet.com
Que sait-on de la composition des vaccins à ARN que presque tous les politiques appellent avec insistance ?
Il s’agit d’ARNm synthétique (produit par synthèse chimique), ce qui permet d’industrialiser en masse et à bas coût, et d’engranger accessoirement de gros bénéfices.
L’ARN contenu dans le vaccin comprend la séquence de la protéine d’intérêt mais aussi d’autres protéines non-structurales qui faciliteront sa traduction par la machinerie cellulaire.
La protéine (antigène) codée par le vaccin BNT162b2 de Pfizer & BioNTech est une protéine Spike optimisée du SARS-CoV-2.
Cette séquence génétique est entourée d’une coiffe et d’une queue poly-A.
Certains vaccins à ARNm contiennent aussi une réplicase, ces ARNm sont appelés auto-réplicants. La réplicase permet d’obtenir plus d’antigènes, elle sert à amplifier l’ARNm.
Enfin, l’ARNm de certains vaccins est enrobé dans des nanoparticules lipidiques censées l’acheminer jusque dans les cellules du patient sans être désintégrées par l’organisme.
Le vaccin de Pfizer utilise des particules nanolipidiques (une sorte de virus synthétique), pour transporter de l’ARNm dans le cytoplasme de nos cellules. Cette technologie vaccinale n’a été testée jusque là que sur des saumons d’élevage et des poulets. https://theconversation.com/comment-fonctionne-le-vaccin-a-arn-de-pfizer-125267
Un article de Futura Sciences précise quand même que les mécanismes d’action des vaccins à ARNm ne sont pas encore tous élucidés : « cette technologie présente des inconvénients qui sont surtout liés à un manque de recul scientifique sur son utilisation.»
Et ajoute : « Des études cliniques ont rapporté des évènements indésirables de grade 3, c’est-à-dire qui invalident totalement ou menacent la vie du patient, pour deux vaccins à ARNm destinés à lutter contre la rage et les virus H10N8 et H7N9 alors qu’ils étaient en phase 1. »
RISQUES DE MUTATIONS
Le risque d’apparition de virus recombinants (nouveaux virus mutés) est réel quel que soit le vecteur : nanoparticule, plasmide ou virus OGM. Les séquences virales d’ADN ou d’ARNm ont en effet une bonne propension à se recombiner avec d’autres virus.
Pire, leur propension à échanger du matériel génétique donne aux virus recombinés des potentialités nouvelles et dans un certain nombre de cas, ils peuvent être beaucoup plus virulents que l’original. Un phénomène proche s’est produit avec le virus H1N1.
Rares dans la nature sauvage, puisqu’il faut deux virus différents infectant la même cellule, ces recombinaisons seront possibles dans les cellules humaines (ou animales) cibles de l’ADN ou de l’ARN vaccinal puisqu’il suffira qu’un seul autre virus ait infecté ces cellules.
La vaccination prévue contre le covid-19 étant de masse, cet événement pourrait affecter un grand nombre de personnes et ses conséquences seraient alors désastreuses pour certaines populations qui par ailleurs ne seraient pas forcément touchées par le covid-19.
Le risque est donc double : provoquer à moyen et long terme des maladies mortelles chez la population vaccinée et engendrer de nouveaux virus plus virulents. Ces incertitudes et risques potentiels expliquent pourquoi le temps de mise au point d’un vaccin est de plusieurs années.
Trop de connaissances font défaut concernant les interférences des systèmes immunitaire et inflammatoire avec les pathogènes et avec les chimères génétiques que sont ces nouveaux vaccins non encore sécurisés.
Les présupposés qui alimentent l’idée que le vaccin signe la fin de la pandémie sont ceux d’une science toute-puissante qui laisse croire à sa pleine maîtrise, ce qui est impossible dans le monde vivant. Ces présupposés sont les mêmes que ceux d’une économie de la promesse.
Il faudrait plutôt réduire la pandémie par des méthodes de prévention, de protection et de soins. Et pour éviter les pandémies futures, changer nos systèmes de production, préserver la diversité du vivant et stopper les manipulations génétiques hasardeuses…
Auteur : Docteur Gonzo.
Julien Martel
Vaccin “ordinaire ?”. Guerre d’extermination (Celle de 14)
Vaccin ARN ? Guerre de Collaboration (Celle de 40). Elle laisse des traces…
Image facile à comprendre.
Ecrite hier, mais BOF…
pourquoi ne pas vacciner en priorité les singes d’Afrique ?
« Vaccin » ARN , pas à proprement parler un vaccin même s’il induit une réponse immunitaire mais plutôt une thérapie génique. A mal nommer les choses…
à mon age (73 ans) je devrais m’en foutre de recevoir une dose d’ogm
mais en tant qu’écolo non pastèque …
Ceci me rappelle la première l’expérience d’Oppenheimer lorsqu’il a fait péter trinity. La possibilité d’une fin du monde (mais heureusement pas de la planèèèTTT) avait été envisagée et avait même fait l’objet de paris.
extrait de wikipédia à ce sujet !
“Enrico Fermi offrit de prendre des paris sur la possibilité que l’explosion enflamme l’atmosphère, et si cela était le cas, si seul l’État ou toute la planète seraient incinérés”
Je n’y connais pas grand chose en bio, mais je pense qu’ici on joue avec le “coeur du démon” (par analogie) biologique..
Souhaitons que comme pour trinity, ça ne nous pète pas à la gueule. (ou si ?)
La FDJ devrait lancer un pari sur le vaccin.. après tout, elle le fait bien pour le patrimoine.. génétique ?