Dahbia Benkired, l’assassin de Lola : une autre phobique venue d’ailleurs

 Elle était sensée quitter la France pour dangerosité manifeste. Mais macron et son lobby s’en foutent, de ce genre de détail. Merci à tous, avant que j’oublie ! Parfois, mon « sentiment d’insécurité » prend le dessus…et je m’oublie.

Elle a martyrisé, violé, battu une petite fille, puis l’a tuée.

La Benkired. Une OQTF non notifiée avant le meurtre, toujours là à nos frais, on la soigne. Elle est traitée par des spécialistes, dort à l’abri du froid et bénéficie de trois repas par jour. Oserai-je prétendre qu’elle a droit au mouton et au couscous et n’est pas obligée d’ingurgiter les lentilles au lard, réservées aux autres ? Reconnue pénalement responsable, mais devenue dangereuse “pour elle même“ (les autres n’ont qu’à se débrouiller) ils l’ont fourguée en hôpital psychiatrique sécurisé. Sortie de prison, dans le plus grand secret, la siphonnée maléfique.

Pour l’instant, elle est toujours en soins psychiatriques, la louftingue pourrait se faire du mal a elle-même, se tapait la tête contre les murs, imaginez donc ses douleurs… une nouvelle expertise est programmée. Ça va prendre du temps. Et couter un max aux Français.

Le trumeau féroce a été présenté au juge des libertés et de la détention, qui a, bien entendu, prolongé son séjour dans l’Unité pour malades difficiles du Val-de-Marne.

Dahbia Benkired, qui représente aujourd’hui encore une menace pour les Français – nous le savons –  (et pour elle-même – c’est ce que les médias nous racontent) n’est pas en état de réintégrer le centre pénitentiaire de Fresnes où elle avait été incarcérée après le martyre, le viol et le meurtre de Lola, 12 ans, retrouvée morte dans une malle en plastique. Me Alexandre Silva, l’avocat de la cinglée, n’a pas souhaité faire de commentaires. Que voulez-vous qu’il raconte ? Enfance difficile ? Manque d’affection ?

Sa première expertise psychiatrique avait écarté des troubles psychiques ou neuropsychiques susceptibles d’altérer ou d’abolir son discernement au moment des faits. Le psychiatre relevait cependant « un trouble grave et complexe de sa personnalité », « une structuration perverse », « une tendance à la manipulation, au mensonge » ainsi qu’une « absence d’empathie ». D’où les séances de torture infligées à la petite fille.

La furie algérienne aurait connu un suivi trop strict à la prison de Fresnes, qui n‘en voulait plus, merci du cadeau, et a provoqué son hospitalisation à l’UMD de Villejuif. Les matelas y seraient plus confortables.

L’administration pénitentiaire a souhaité son transfert dans un établissement français réservé aux malades mentaux, trop sensibles pour être détenus à l’isolement ou en service psychiatrique classique. Trop cruel, trop rigoureux, trop spartiate. Le placement dans cet univers prétendument sécurisé permet de maintenir en détention un patient, en poursuivant la prise en charge de sa dangerosité.

La “prise en charge“ de sa « dangerosité » Vous voulez dire que l’administration se retrouve responsable de sa nocivité ? Hourra ! Plus de soucis a se faire….Et pour combien de temps, s’il vous plait ?

Selon les glouglous dont on nous abreuve, l‘hospitalisation forcée de Dahbia l’effrénée ne remettrait pas en cause sa responsabilité pénale.

En attendant les conclusions de la contre expertise demandée par la défense, la « patiente » a été entendue pour la première fois sur le fond après sa mise en examen (RMC et BFMTV). La „jeune femme„ (J’vous’l jure !) est accusée d’avoir tué Lola, le 14 octobre 2022.

Gala, la gazette des plouquettes, s’en mêle: Dahbia B. est-elle pénalement responsable? Elle a avoué les faits lors de sa garde à vue. Mise en examen pour homicide volontaire sur mineure de quinze ans (douze ans) en lien avec viol, acte de torture ou barbarie, et recel de cadavre. Ça fait beaucoup pour une OQTF qu’on a laissé battre le pavé en France sans même l’inquiéter.

La personnalité de la « principale suspecte“ est au cœur de l’enquête. Son ancien professeur de français évoque une gamine “un peu mytho”, “pas provocatrice mais sans-gêne”.

L’affaire a pris une tournure politique (fallait pas faire de vagues, c’est cela?) , honteusement récupérée par les milieux de droite et d’extrême droite. Car chacun sait que la gauche, elle, ne récupère jamais. (La récupération, l’instrumentalisation ou le fait de tirer parti de l’actualité est le phénomène par lequel une personnalité ou un parti politique s’empare d’un événement en prétendant s’y intéresser, le tout dans le but ignoble d’en faire une exploitation ou d’améliorer son image médiatique. C’est très, très vilain. Quasi malhonnête. Répugnant. Et ne correspond pas aux valeurs de Foutriquet. Incendier, massacrer Zemmour pendant les électorales, ça, c’est autre chose, on appelle cela « Faire barrage » !

Incarcérée à la prison de Fresnes, les Français ont exceptionnellement pu apprendre que la meurtrière est d’origine algérienne. Elle avait été scolarisée dans un lycée polyvalent de Champigny-sur-Marne, où elle a été diplômée d’un CAP en restauration. Car on ne cuisine pas en Algérie, faut le savoir !

Un de ses professeur a évoqué. sa personnalité trouble “Elle avait un côté Docteur Jekyll et Mister Hyde”, a fait savoir l’enseignant, se souvenant d’une élève “un peu mytho”, “pas provocatrice mais sans-gêne”, “absente 90% du temps”.

Dahbia Benkired est arrivée en France en 2016 avec un titre de séjour „étudiant“. On s’étonne chaque jour d’avantage : pour faire rissoler un gigot d’agneau ou émincer des échalotes, aujourd’hui, il faut faires des « études ». Son professeur de lycée dresse un portrait en demi-teinte de son ancienne élève, tantôt dotée d’un “esprit vif”, ” souvent en retard” à son examen final, mais qui “racontait des bobards” ou interrompait le acours avec des interventions déplacées sur la vie privée de l’enseignant. “Je la voyais mal s’intégrer dans le milieu professionnel et ça ne m’aurait pas surpris d’apprendre qu’elle était tombée dans la délinquance mais là, ça défie l’entendement”.

Sans domicile fixe, ni papiers en règle, ni emploi, la suspecte logeait provisoirement chez sa sœur,dans le même immeuble où vivait la petite Lola.

Mais le sommet : elle reste présumée innocente dans l’attente de son jugement.

Anne Schubert