Le suicide du jeune Lucas suite à un harcèlement scolaire est aujourd’hui unanimement condamné dans les médias. Cet harcèlement est considéré comme encore plus grave car Lucas était homosexuel et il a été en partie harcelé pour cela.
J’ai beau regarder, je trouve cela extrêmement banal, hélas. Quoi de nouveau sous les tropiques? Rien, à part les réseaux sociaux qui ont accentué le phénomène mais qui ne l’ont pas créé non plus. Des jeunes s’en sont pris à un autre jeune car ils le considéraient comme une « fiotte ». Celui-ci a craqué et s’est suicidé.
Un exemple classique de darwinisme social dans toute sa splendeur. Notre société et particulièrement notre système scolaire produit des êtres faibles, les encourage même dans cette voie alors qu’elle sait parfaitement qu’elle ne fera absolument rien pour les protéger du reste de la société s’ils ont des problèmes. Soyez trans, devenez homo, homme soja mais surtout débrouillerez vous tout seul.
Pourquoi ? (souvenez-vous, c’est toujours la plus importante des questions). Parce que notre société capitaliste moderne n’a absolument pas besoin de personnes faibles mais elle veut des hommes et des femmes forts. Et un gars qui craque sous la proie d’un harcèlement est évidemment faible. C’est même pour cela qu’il a été choisi, le groupe de harceleurs n’étant pas spécialement courageux a pris une proie estimée facile, un gars qui n’allait pas se rebiffer mais uniquement se plaindre et encore. Et cette plainte n’allait évidemment déboucher sur rien puisque l’institution n’aspire pas à protéger les faibles mais à s’en débarrasser. De manière indirecte bien sûr, on ne le clamera pas sur les toits.
Il est probable que si, au premier geste hostile, le frêle Lucas avait collé un bon direct à son vis-à-vis, le harcèlement se serait arrêté à ce stade, même s’il avait perdu cette bagarre. Et il serait encore en vie. Mais l’institution ne l’a pas préparé à se défendre, au contraire. Au lieu de cela, il s’est replié, plaint et cela a abouti hélas à son suicide. Suicide dont l’institution n’a que faire à part évidemment pour se dédouaner de toute responsabilité.
Par ailleurs à cette heure là j’ignore tout du profil ethnique des harceleurs mais je pense qu’il ne faut pas s’attendre à la moindre surprise.
Notre éducation moderne nous emmène vers la faiblesse alors que comme tout le monde depuis la nuit des temps, nous avons besoin d’être forts pour survivre. Défendez-vous sans pour autant chercher la bagarre, voilà ce que vous devez dire à vos enfants quand ils vont à l’école pour la première fois. Et répétez-le jusqu’à la fin de leur scolarité et ils ne seront jamais harcelés. Je me rappelle que la première fois où je me suis rendu dans le parc résidentiel où nous venions d’emménager (j’étais âgé de six ans) quelques gamins sont venus me « taquiner » me reprochant de ne pas être chez moi. Deux bonnes droites réglèrent rapidement l’affaire et j’ai même dîné avec l’un d’eux suite à une manif contre le pass sanitaire deux décennies après. Cela ne se serait pas passé ainsi si je m’étais laissé faire mais ce n’est pas vraiment mon style.
Il faut se battre pour survivre, sans doute encore plus dans la société actuelle même si ce n’est pas si apparent que cela. Si Lucas l’avait compris, il serait probablement vivant à cette heure.
Platon du Vercors
comment en est il arrivé à être homo ? inclinaison naturelle ou harcèlement par les sous merdes progressistes ?
François je me méfie beaucoup de la présentation de la victime. J’ignore si elle était vraiment homosexuelle. la seule chose qui est sûre c’est qu’elle a craqué.
du point de vue animal, vous avez raison, il faut se battre les poings serrés, du point de vue humain c’est autre chose car ce que vous préconisez on le vit depuis l’aube des temps: oeil pour oeil, dent pour dent donc la loi du plus fort, quelques milénaires après on voit ce que ça donne non ? Non décidément votre article ne m’a absolument pas convaincue car entre les faibles et les forts que reste-t-il ?
Se battre c’est prendre le risque de perdre. Ne pas se battre c’est être sûr de perdre.
L.eloge de la virilité est facile à faire. Malheur aux faibles. Mais les garçons ne sont plus élevés ni instruits ensemble ,l.ecole est mixte .on demande aux élèves de s’interroger sur leur genre …l.etat a institué le « bordel éducatif « et quand des incidents se produisent, magnifiés par le portable, tout le monde détourne les yeux .lucas a été persécuté par de petits salopards « la meute » ; les enseignants n.ont rien voulu voir, l.administration encore moins ce qui est un peu gros…Lucas a rejoint Samuel Paty , avec les victimes de petits nazis ,, des enseignants défaillants et des cadres veulesNon seulement l.ecole n.apprend plus grand chose,Mais elletue. Qu’est ce que ces gens là ont à dire à la mère ?
Quelle est la religion des harceleurs qui ont provoqué le suicide de ce pauvre gamin qui aurait mieux fait de se demander comment coller une droite a un emmerdeur plutot que se demander s’il etait homme/femme/lapin/ arbre ou feu.
Suite à deux ou trois affaires où j’ai eu malheureusement le dessous, j’ai toujours expliqué à mes enfants que la meilleure réponse
à un emmerdeur, un harceleur ou à un agresseur était de lui taper dessus 2 fois plus fort, et si possible 2 fois plus vite…
J’ai un enfant handicapé, et si il était victime de quoi que ce soit, je me suis juré que le responsable prendra des coups dans sa gueule, et des coups qui feront très mal…
Erratum : lire trois décennies, je ne veux pas me rajeunir.
https://m.youtube.com/watch?v=gAiiFCN1cus C’est aux adultes à protéger les enfants contre eux mêmes et les autres par l’éducation civique et si ça ne suffit pas, la punition ! Dans certain pays aucun reproche n’est fait quand un enfant est violent physiquement ou moralement car c’est le signe qu’il pourra dominer les autres ! Le secret la fermeté !
D’abord ayez des enfants !
Faites leurs faire du sport très tôt, nager, courir, vélos, ce qui leurs plait et puis dès que possible la lutte (bonne ambiance en général), la boxe anglaise, la boxe française, bref un sport de combat. Après, il faut trouver un club pas trop pollué par “l’exotisme”, les sports japonnais, karaté, etc sont souvent moins pollué, mais à mon sens moins efficaces, en tout cas on a le choix.
Après on ne maitrise pas tout avec ses enfants.
Bon courage aux jeunes car ce n’est pas facile pour eux et les générations précédentes leurs laissent un rude chantier.
L’école n’a jamais été un lieu de franche camaraderie et de respect d’autrui, les jeunes en groupe ont vite l’instinct de la meute. J’ai passé ma scolarité de 1958 à 1967 en internat de garçons et j’ai connu le bizutage traditionnel en classe de seconde à mon entrée à l’école normale d’instituteurs. Ce n’était pas un rite festif et bon enfant mais plutôt l’occasion pour certains connards de se défouler en toute impunité. Les seuls qui pouvaient échapper aux brimades débiles, et ils n’étaient pas nombreux, c’étaient ceux qui étaient capables de foutre une trempe à ceux qui les emmerdaient, soit parce qu’ils étaient costauds et dissuadaient les éventuels agresseurs de se frotter à eux, soit parce qu’ils savaient se battre et n’avaient pas besoin de le démontrer plus d’une fois.
Exactement, j’ai dit pareil à mon fils, ce n’est pas d’être le plus fort (car il y aura toujours quelqu’un de plus fort) mais de faire savoir que l’on peut répondre et que on est là. J’ai grandi dans les quartiers et après quelques “altercations”, on gagnait le respect, le problème c’est qu’il y a 40 ans de ça, je pense que ça a un peu changé et pas dans le bon sens.