De Asma Bint Marwan à Samuel Paty : la terreur islamique depuis 622…

Les Bisounours français découvrent l’horreur à Conflans Saint-Honorine, dans les Yvelines où un professeur d’histoire-géo a été décapité à la sortie de son collège par un moudjahid (soldat Allah) tchétchène que la France a accueilli au nom des droits de l’homme et du droit d’asile. Avec l’argent des contribuables.
Et apparemment, même le président Macron est choqué par cet acte barbare qui fait partie pourtant du droit canonique islamique.

Cette indignation de Jupiter est à marquer dans le marbre pour un progressiste comme lui, un adapte forcené du multiculturalisme qui croyait, il n’y a pas si longtemps, que tout le monde est gentil et que l’islamisation de la France est une vue de l’esprit. En un mot, cette colonisation de l’islam est un épouvantail que secouent les islamophobes pour faire effrayer les Français.
Malheureusement, l’actualité est en train de donner raison à ceux qui ont peur de l’islam.
Pourquoi cette décapitation ? La réponse se trouve dans le coran et les hadiths.

En effet, celui qui offense le prophète de l’islam doit être décapité. Il est écrit dans le coran :
« La récompense de ceux font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient leur main et leur jambe opposées, ou qu’ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l’ignominie ici-bas ; et dans l’au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment. » ( sourate 5 verset 33).
Conclusion : celui ou celle qui offense le prophète de l’islam doit mourir.

L’histoire de la vie de Mahomet enseigne à ceux qui refusent de voir la barbarie de l’islam que dès son arrivée à Yathrib ( Médine) en 622 de l’ère chrétienne, il avait utilisé la terreur pour faire appliquer sa doctrine.
Pour se débarrasser de ses ennemis, et entériner leurs assassinats, il eut recours à une révélation.
« Il n’appartient pas au prophète de faire des captifs, tant que, sur Terre, il n’a pas complètement vaincu les infidèles ( les incrédules)…. » (sourate 8 verset 67).

A partir de ce moment, Mahomet réussit à éliminer toute opposition qui aurait pu le mettre en danger. Les plus insignifiantes conversations mêmes secrètes lui étaient rapportées et sur cette base, il approuvait des actions qui étaient parfois cruelles et amorales. Et toutes ces décisions se prenaient à l’intérieur de la mosquée.
La poétesse Asma bint Marwan qui appartenait à la tribu des Aws de Yathrib, fut une de ces nombreuses victimes de Mahomet. Il est vrai qu’elle avait une aversion pour l’islam et ne s’en cachait pas.
Asma bint Marwan, Charlie Hebdo ainsi que le professeur de Conflans Saint-Honorine ne sont qu’une continuation de la terreur de l’islam depuis 622.

Et l’ami Mélenchon, l’islamo-gauchiste confirmé, n’a qu’à retourner à l’école pour apprendre l’histoire islamique et découvrir ainsi Ibn Ishaq et Ibn Hicham qui ont rapporté mot à mot la vraie vie du prophète Mahomet.
Alors assez de ces larmes de crocodile. L’hypocrisie, la compromission, la lâcheté et la trahison ont trop duré.
Elles ont fracassé la France…
Asma bint Marwan avait composé des distiques (des vers) sur la folie de faire confiance à un étranger qui combattait sa propre tribu (les Quraychites). Elle écrivit :

Salauds de Malik et de Nabit
Et de Aws, salauds de Khazraj
Vous obéissez à un étranger qui n’est pas des nôtres
Qui n’est pas de Murad, ni de Madh’hij
Mettez-vous vos espoirs en lui,
Comme des hommes affamés qui attendent la soupe
Alors qu’il a tué vos propres chefs
N’y aura-t-il pas un homme d’honneur
Qui profitera d’un moment d’inattention
Pour mettre fin aux espoirs des gogos (crédules)?

En entendant ces vers, Mahomet entra dans une vive colère en s’écriant :
« N’y aura-t-il donc personne pour me débarrasser de la fille Marwan ? »
Un de ses suiveurs du nom Umayr ibn Adi, un zélé musulman, décida d’exécuter ses désirs. La nuit même, il s’introduit dans la maison d’Asma pendant qu’elle dormait entourée de ses enfants dont l’un d’eux était couché sur son sein. Umayr écarta le bébé et la transportait de son épée.
Le lendemain, au moment de la prière du matin, Mahomet qui connaissait à l’avance le projet de cet assassinat, dit à Umayr : « as-tu tué la fille Marwan ? », oui répondit-il, mais dis-moi, doit-on craindre quelque chose ? », « Rien, répondit Mahomet, deux chèvres ne se donneraient des coups de corne pour sa mort. »

Ensuite, Mahomet le loua devant tous les musulmans rassemblés dans la mosquée, pour le service qu’il a rendu à Allah et Son prophète.
Après ce crime, Mahomet décida de se débarrasser d’un autre poète, Abu Afak que l’on disait avoir plus de cent ans qui avait osé le critiquer. Il fut lui aussi assassiné dans son sommeil.
Juste après ces deux forfaits, Mahomet s’attaqua au Juifs et extermina plus de neuf cents membres de la tribu des banu Qorayza.
Le crime politique fait partie du logiciel de l’islam.

Aujourd’hui en France, critiquer l’islam et caricaturer Mahomet est un crime de lèse-majesté qui conduit à la décapitation.
Cette situation de guerre civile a été créée par les dirigeants ( gauche comme droite) qui, depuis trente ans, ont ouvert la porte grande ouverte à l’islamisation au nom des droits de l’homme. Au nom de l’humanitarisme.

Cette décapitation n’est ni la première et encore moins la dernière. Ce n’est que le début du grand djihad.
Un peuple qui paie pour se faire envahir, dominer, massacrer, mérite-t-il encore d’être respecté ? C’est la première fois dans l’histoire que cela arrive. En se lamentant, on avoue son impuissance face à l’ennemi.
Ce ne sont pas les slogans tels que Je suis Charlie ou Tu n’auras pas ma haine et maintenant Je suis Enseignant qui feront reculer le djihad sur les terres de France. Et encore moins les hommages nationaux que l’état organise après chaque crime perpétré par l’islam.
Ce n’est pas avec les émotions qu’on combat les barbares mais avec des armes de l’état. Et sûrement pas avec les bougies et les bouquets de fleur que la France fera face au djihad mais en se réarmant mentalement et matériellement. Avec de vrais actes et non avec la parlote.

Les lois laxistes de la République et le renoncement à l’histoire de France, ne sont-elles pas responsables de la mort du professeur d’histoire-géo? Le nier, c’est ajouter davantage de malheur à la France qui n’en peut plus à cause de la lâcheté de ses élites.
Le temps, n’est-il pas venu pour que la peur change de camp ?
Mais le doute est permis avec Macron et son baratin… A deux sous.

A cette occasion, n’oublions pas la petite Katia Bengana, une lycéenne algérienne qui a refusé de porter le voile et qui a tenu tête aux islamistes mais qui a été égorgée devant son lycée, le 28 février 1994.
Sa bravoure doit servir d’exemple.

Hamdane Ammar