Delon, Roucas, Ménard : Trois hommes à abattre
Monsieur Delon, du haut de son immense talent,
Met le FN en Plein soleil, approuve, comprend.
De La race des Seigneurs, L’insoumis, Le battant,
Face aux journaleux joue Le bel indifférent.
C’est Le choc pour les bien-pensants, l’Armaguedon.
Tout juste s’ils ne ressortent pas Les grands fusils,
Les félins et les hyènes pour attaquer Le lion.
C’est pour eux pire que L’assassinat de Trotsky.
C’est Un crime Diaboliquement vôtre orchestré,
Le gang à L’ours en peluche a encore frappé.
Adieu l’ami, prétextant l’âge, disent certains,
Mort d’un pourri accuse Le clan des siciliens.
Le Zorro défendant Christine, La Veuve Couderc
Au banc des accusés de Rocco et ses Frères !
Le Samouraï qui leur assène Comme un boomerang
Un Traitement de choc qui sonne comme le big-bang.
Le Pen serait Le diable et les dix commandements,
Charte du RBM, Le passage vers Satan ?
La Nouvelle vague, ce sont ces 2 hommes dans la ville,
Une chance sur deux, que l’on s’affole : Paris brûle-t-il ?
Dans La piscine pour ne pas dire le marigot,
C’est L’éclipse et Carambolages dans leur cerveau,
Les Histoires extraordinaires qu’ils se contaient :
La politique du FN c’est Les granges brûlées.
Entre fantasmes et faits, c’est Le jour et la nuit,
Le guépard a parlé, Le professeur l’a dit.
Delon, Roucas, Ménard, hier Trois hommes à abattre
Peuvent fort bien aviver le Soleil rouge dans l’âtre.
Le cercle rouge, marquant Un flic de l’infamie
Va, s’étiolant, laissant surtout Les seins de glace,
Dorénavant on peut dire : Oh ! Doucement les basses !
Jouer la Mélodie en sous-sol, c’est bien fini.
Alors Monsieur Delon, pour votre avis tranchant
Je vous tire mon chapeau, Borsalino s’entend !
Oreliane