Demain la Reconquista !

Les crapules qui depuis 40 ans ont mené la France à la ruine essaient d’effrayer les électeurs en arguant que Zemmour crée les conditions de la guerre civile. Comme si elle n’avait pas déjà commencé, du fait de l’impéritie et de la complaisance des zélites ! Néanmoins le terme ambigu « civile » peut prêter à confusion.

D’abord parce qu’un tel conflit n’oppose pas entre eux des citoyens aux idéologies et ambitions politiques irréconciliables, mais des Français à des conquérants dont l’appartenance ethnique, linguistique et religieuse signe la spécificité.

Ensuite parce que les opérations pourraient être menées sans que la population civile autochtone y soit mêlée, sauf bien sûr des volontaires, patriotes courageux.

L’ennemi n’est pas si redoutable qu’on le prétend

Politique fiction ? Non. Anticipation plausible. Sitôt Zemmour aux commandes, sans se soucier des couinements de l’Eurocrature, rien n’empêche de décider « à la polonaise » de faire repasser la Méditerranée aux intrus. En douceur de préférence. En commençant par couper les aides sociales aux clandestins, et en expulsant les voyous et les apprentis terroristes.

Selon des rapports de la DGSI qui ont fuité, nul ne peut ignorer que des « chances pour la France » ont importé des armes de guerre, essentiellement en provenance de l’ex-Yougoslavie. Fournies à prix d’ami par leurs coreligionnaires albano-kosovars. Et stockées dans des enclaves étrangères hostiles, gouvernées par des islamistes.

Qui peut croire qu’ils vont se laisser renvoyer chez eux sans se rebiffer ? Perdre tous les avantage que la France leur accorde, en plus de l’impunité pour leurs méfaits ?

Là se trouve à mon sens la ligne de clivage. Entre des lâches qui se pissent dessus de trouille à l’idée d’escarmouches inévitables et des réalistes qui envisagent toutes les hypothèses pour reconstruire la France. En dissuadant ou en contrant l’aide étrangère que les intrus ne manqueront pas d’appeler à la rescousse. Au nom de l’oumma.

Mais il y a une grande différence entre terroriser des cages d’escalier, injurier les patriotes sur les médias ou flinguer des dealers concurrents, et combattre de vrais guerriers déterminés auxquels le nouveau pouvoir laisserait les coudées franches.

Des commandos aguerris plutôt qu’une flicaille syndiquée

Une des forces de l’ennemi réside dans notre respect imbécile de règles de droit désuètes, valables il y a 50 ans, quand la population était homogène, la pègre repérable et perméable, avec des voyous respectant un certain « code d’honneur ».

Aujourd’hui, la police est dépassée. Ni formée ni motivée à la guérilla urbaine, elle ne sait que molester des manifestants désarmés, tabasser des médecins anti-vaccins, et racketter de paisibles promeneurs.

Sans doute pourrait-on utiliser les commandos du GIGN et du GIPN mais ils sont en nombre insuffisant. Et cela prendrait trop de temps pour sélectionner et former des combattants à leur image. Même si l’option mérite d’être retenue. En complément.

Par contre, nous disposons des guerriers des Forces Spéciales encadrés par de valeureux centurions. Correctement formés et entraînés en France. Et qui ont connu leur baptême du feu lors de déploiements en OPEX où ils ont fait la preuve de leur courage et de leur efficacité.

Au lieu de leur faire perdre leur temps à courser les lézards et les gerboises dans le Sahara, on pourrait utiliser cette force d’intervention pour maîtriser toute entité rétive qui tenterait de s’opposer par la violence aux déménageurs.

L’appel à des commandos aguerris est d’autant plus une nécessité que, déjà, par anticipation, la Turquie nous menace de sa cinquième colonne.

 Iznogoud le chacal qui se prend pour un lion

Quand Erdogan dit : « Je veillerai personnellement à ce que vous ne soyez plus jamais en sécurité chez vous ! » l’Eurocrature chouine qu’elle est très choquée par les propos insultants du sultan et qu’elle les désapprouve fermement. Iznogoud en a tellement rigolé que sa barbe l’a chatouillé pendant 3 jours.

Alors qu’une simple menace de riposte lui aurait rabattu le caquet. Mais les simulations stratégiques de l’état-major continuent de désigner comme une sorte d’ennemi héréditaire les Soviets qui n’existent plus. Erreur de cible !

La Turquie est un cas d’école de guerre

Tête de pont de l’invasion, elle prétend désormais imposer sa loi à l’Europe après l’avoir fait chanter et lui avoir soutiré des centaines de millions d’euros.

« Allah n’aime que les forts » disent-ils. Leur donner l’impression qu’on a peur ne peut que renforcer leur détermination.

Pourtant, leur force repose uniquement sur l’intimidation. Pas sur des capacités militaires, très affaiblies après le putsch manqué de 2016. Seuls peuvent les craindre des adversaires mal équipés comme l’Arménie, lâchement abandonnée par l’Occident, ou les bandes de barbares de DAESCH,  des bandits de grands chemins plus que des guerriers.

Car au cours des siècles passés, lors de nombreux conflits, nous avons battu les Turcs tant de fois malgré leur supériorité numérique qu’ils ont prudemment choisi la neutralité pendant WW2. Avant de rallier les alliés pour la forme, à la fin du conflit.

Aujourd’hui, ils ont une armée de fantassins quasi illettrés, des généraux et des amiraux en délicatesse avec le sultan, des officiers promus à la hâte pour leur allégeance plus que pour leurs compétences, des services de renseignement démantelés et une armée de l’air qui a engagé des pilotes d’aéro-clubs pour se refaire.

Les conseillers russes ne peuvent compenser ces carences. D’autant que Poutine est plus circonspect dans ses amitiés orientales depuis que le sultan l’a ouvertement menacé d’armer les Tchétchènes,  les Tatars, le Daghestan et la Bachkirie avant de faire descendre un Soukhoï Su 24.

Actif sur plusieurs fronts, le sultan se permet de provoquer impunément toute l’Europe par une véritable déclaration de guerre en ouvrant les hostilités avec ses navires qui violent le droit de la mer et des migrants qu’il déploie aux frontières comme des fantassins voltigeurs. S’il persiste dans ses menaces, une réponse martiale s’imposera. Au minimum un commencement d’exécution pour lui prouver qu’on ne bluffe pas.

Plusieurs officiers à qui j’en ai parlé sont convaincus qu’en cas d’une attaque surprise, concomitante d’une neutralisation éclair de leurs capacités électroniques, les Turcs ne tiendraient pas longtemps contre nous. Malgré leur cinquième colonne qu’ils agitent comme un épouvantail.

On pourrait même s’offrir un remake de la guerre des Six Jours… Mais je crois que cela ne sera pas nécessaire. Évoquer simplement cette hypothèse calmera l’Ottoman qui n’a pas vraiment confiance dans son armée. Il n’a sûrement pas oublié que ses amiraux l’ont fait battre en arrière quand il a voulu couler des navires grecs.

Notre ennemi : la finance

Elle n’est plus apatride mais en grande partie mahométane. Toutes les exactions en Serbie comme en Europe ont été coordonnées sous le regard vigilant des rois du pétrole qui veillent partout à ce qu’on favorise leurs coreligionnaires. Des émirs qu’on écoute dans les hautes sphères de la finance car ces milliardaires ont, depuis une trentaine d’années, avec patience et détermination, acheté tout ce qui pouvait l’être.

Directement : banques d’investissement, firmes de traders, fonds de pension, sociétés de spectacles, clubs sportifs et médias (infotainment) entreprises du BTP.

Indirectement par des holdings à participations croisées qui disposent de minorités de blocage dans Big Pharma, les réseaux sociaux, les compagnies aériennes.

Invisiblement via des trustees (ndlr : fiduciaires) qui, depuis des paradis fiscaux, financent dans une opacité complète partis politiques, élus et syndicalistes. Et sociétés d’armements et de haute technologie qu’en principe on ne doit pas vendre aux étrangers.

Près de la moitié des actions et obligations de Wall Street sont entre leurs mains. Le reste est hypothéqué par les Chinois. C’est un extraordinaire levier sur les politiciens qui savent qu’ils perdraient leur sinécure en cas de grave crise économique comme en 1929 si les monarchies du pétrodollar cessaient de soutenir le marché. Inutile de dire que la Bourse française à la remorque plongerait plus vite que les autres.

Dès lors on peut se demander si, en cas d’intervention de notre armée sur le territoire national, pour réduire les enclaves étrangères hostiles et expulser les indésirables, le NWO n’utiliserait pas les mêmes méthodes qu’en Serbie pour nous aplatir ?

Il y a deux réponses non exclusives l’une de l’autre, à condition de cesser de donner dans l’angélisme bien-pensant et les grands principes dont l’ennemi n’a cure.

D’abord, nous pouvons nous inspirer de leurs méthodes : nationaliser sans indemnités leurs entreprises, immeubles, banques  et fonds d’investissement en France. Comme ils ont su si bien faire quand ils ont dépouillé les pieds-noirs en 1962.

Ensuite, en cas d’infiltrations terroristes téléguidées par « certains États », nous disposons de divers moyen de représailles. Des Daisy cutters aux missiles intelligents, sans oublier les drones tueurs et les bombes à neutrons (qui officiellement n’existent plus).

Est-il besoin de préciser, au vu des trouble récents en France et en Europe fomentés par des islamistes, que sous peu les guerres de l’ex-Yougoslavie passeront pour d’anodines querelles de voisinage en comparaison de l’embrasement général qui attend l’Occident ?

La Reconquista ne sera pas une promenade de santé, nul ne peut le nier. Mais plus on attendra, et plus ce sera difficile.

Christian Navis

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