La tuerie du 7 et 9 janvier 2015 sera à jamais inscrite dans l’histoire de France mais sans oublier le 11 janvier, le jour où le peuple français dans sa diversité a dit clairement à ses dirigeants : « stop à l’islamisation de la France ! »
Comment expliquer l’assassinat en direct de ceux qui, par de simples crayons font trembler les fondements d’une religion prétendument divine? Comment expliquer ce déchaînement de haine des islamistes contre la caricature ? Comment expliquer aux kouffars, ces païens, ces incrédules de France et de Navarre que le blasphème est condamné à mort par la religion islamique, eux qui pensent que ce problème est réglé dans leur pays, depuis deux siècles ?
Les réponses à ces questionnements diffèrent d’une personne à l’autre.
Certains, surtout ceux qui n’ont aucune connaissance de l’islam répondront que celui-ci est innocent de cet acte barbare et au contraire, il en est une victime au même titre que ceux qui ont été décapités pour venger l’Envoyé d’Allah. Et puis, ils s’offusqueront en criant surtout pas d’amalgame, pas de stigmatisation ! A l’exemple du cinéaste Luc Besson qui ignore tout de l’idéologie islamique et pour qui je recommande l’ouvrage d’Ibn Warraq :” pourquoi je ne suis pas musulman” pour qu’il puisse y découvrir la religion de paix et d’amour…
D’autres encore, ceux qui sont aveuglés par la théorie du complot et dont les cerveaux sont lobotomisés crieront : c’est la faute aux sionistes.
Quant à ceux qui sont adeptes de la religion mahométane et qui sont sous l’emprise de la maladie incurable de la takkya ; ils clameront haut et fort que le coran est limpide comme une eau cristalline, dans lequel il n’y a aucun texte qui appelle au meurtre de celui ou celle qui raillerait l’Envoyé d’Allah. Pourtant, ils savent pertinemment que dans le coran, Mahomet est divinisé et par conséquent, celui ou celle qui l’insulte doit mourir. Mais ça, ils le dissimulent pour ne pas être démasqués et mis au ban des accusés. N’est-ce pas là une déliquescence intellectuelle ? Un aveu de faiblesse morale ? Ils n’ont qu’à lire le discours du président égyptien Abd-Al-Fath Al-Sissi qu’il a prononcé à Al-Azhar, la grande université islamique de référence du monde musulman, le 28 décembre 2014 pour s’en convaincre. Un discours qui fera date dans le monde musulman, sans aucun doute!
Dans la sourate 49, versets 2 et 3, Mahomet est associé à Allah :
« Ô qui avez cru ! N’élevez pas vos voix au-dessus de la voix du Prophète, et ne haussez pas le ton en lui parlant comme vous le haussez les uns et les autres, sinon vos œuvres deviendraient vaines sans que vous vous en rendiez compte. »
« Ceux qui auprès du Messager d’Allah baissent leurs voix sont ceux dont Allah a éprouvé les cœurs pour la piété. Ils auront un pardon et une énorme récompense. »
Dans la sourate 48, versets 8, 9 et 10, Allah exige des musulmans d’adorer Mahomet :
«Nous t’avons envoyé en tant que témoin, annonciateur de la bonne nouvelle et avertisseur. »
« pour que vous croyiez en Allah et Son Messager, que vous l’honoriez, reconnaissez Sa dignité, et Le glorifiez matin et soir. »
« Ceux qui te prêtent serment d’allégeance ne font que prêter serment à Allah : la main d’Allah est au-dessus de leurs mains. Quiconque viole le serment ne le viole qu’à son propre détriment ; et quiconque remplit son engagement envers Allah, Il lui apportera bientôt une énorme récompense. »
Dans le coran, Allah accorde des privilèges exorbitants à Son Envoyé. Dans la sourate 33, verset 50, Il l’autorise à se comporter selon son bon plaisir, notamment dans le domaine sexuel. Le croyant musulman a le droit d’épouser quatre femmes et peut disposer à sa guise des esclaves sexuelles que sa main droite possède en toute légalité et parfois même de ses domestiques femmes. Mais pour Mahomet, il n’y a aucune restriction dans ce domaine, il a le droit d’épouser les femmes croyantes ( même si elles sont mariées) qu’il désire ou celle qui s’offre à lui. Ainsi, il est écrit : « Ô Prophète ! Nous t’avons rendus licite tes épouses à qui tu as donné leur mahr ( dot), ce que tu as possédé légalement parmi les captives ( esclaves) qu’Allah t’a destinées, les filles de ton oncle paternel, les filles de tes tantes paternelles, les filles de ton oncle, et les filles de tes tantes maternelles, – celles qui avaient émigré en ta compagnie-, ainsi que toute femme croyante si elle fait don de sa personne au Prophète, pourvu que le Prophète consente à se marier avec elle : c’est là un privilège pour toi, à l’exclusion des autres croyants. Nous avons certes, ce que Nous leur avons imposé au sujet de leurs épouses et des esclaves qu’ils possèdent, afin qu’il n’y eût donc point de blâme contre toi. Allah est Pardonneur et Miséricordieux. »
Allah ne refuse rien à son Envoyé, au point de prier sur lui en compagnie de ses Anges. Dans la sourate 33, verset 56, il est écrit :
« Certes, Allah et ses Anges prient sur le Prophète ; ô vous qui croyez priez sur lui et adressez lui vos salutations. »
Et pour ceux qui croient encore que l’islam est tolérant, ils n’ont qu’à lire les versets 57 et 61 de la sourate 33, et ils seront bien servir :
« Ceux qui offensent Allah et Son Messager, Allah les maudit ici-bas, comme dans l’au-delà et leur prépare un châtiment avilissant. »
« Ce sont des maudits. Où qu’on les trouve, ils seront pris et tués impitoyablement. »
Dans le coran, Mahomet n’est-il pas décrit comme un totem sacré, avec interdiction d’y toucher ? A cet effet, il est écrit dans la sourate 4 verset 80 : « Quiconque obéit au Messager, obéit à Allah. » Et dans la sourate 33, verset 21, il est écrit aussi : « En effet, vous avez dans le Messager d’Allah un excellent modèle à suivre… »
Que vont-elles inventer encore comme subterfuges (échappatoires) les pleureuses professionnelles face à ces vérités coraniques criardes ?
Vont-elles continuer à faire la danse du ventre, la politique de l’autruche et à cacher le soleil avec le tamis, leur sport favori ?
Quand l’écrivain franco-marocain Tahar Ben Jelloun prétend que l’islam n’a rien à voir avec les meurtriers des journalistes de Charlie Hebdo, des Juifs de la Porte de Vincennes et des trois policiers, dans un article publié par le journal le monde du 8-01-2015, prend-t-il les Français pour des incultes ?
Dans ce même article, il compare Charb et ses collègues à des poètes. Il est vrai que ce sont des créateurs et des artistes, il n’y a pas le moindre doute mais le coran ne considère-t-il pas les poètes comme des êtres infâmes, des menteurs maudits par Allah et son Envoyé ? Dans la sourate 26 (les poètes) versets 224, 225 et 226, il est écrit :
« Et quand aux poètes, ce sont les égarés qui les suivent. »
« Ne vois-tu pas qu’ils divaguent dans chaque vallée,
« et qu’ils disent ce qu’ils ne font pas. »
M. Tahar Ben Jelloun, n’est-il pas en pleine contradiction ? Veut-il passer sous silence la haine viscérale et barbare que nourrissait Mahomet à l’égard des poètes qui lui faisaient de l’ombre? Oublie-t-il le sort qu’il avait réservé aux poètes Asma Bint Marwan et Kab ibn Al-Ashraf ?
Pour lui rafraîchir la mémoire; Asma bint Marwan était une poétesse qui avait composé un poème demandant à son clan de la tribu des Aws à Médine (Yathrib) de ne pas faire confiance à un étranger qui combattait son propre peuple. En entendant ce poème Mahomet s’écria : « N’y aura-t-il donc personne pour me débarrasser de la fille de Marwan ? » Un croyant zélé du nom d’Umayr ibn Adi, décida d’exécuter les désirs de son chef. La nuit même, il s’introduisit dans la maison d’Asma bint Marwan pendant qu’elle dormait entourée de ses jeunes enfants. L’un d’eux était couché sur son sein. Umayr écarta le bébé qui allaitait et la transperça de son épée. Le lendemain, Mahomet qui connaissait le projet d’Umayr lui dit : « as-tu tué la fille de Marwan ? », « oui répondit-il, mais dis-moi, doit-on craindre quelque chose ? », « Rien, répondit le Prophète, deux chèvres ne se disputera même pas pour ça. » Puis, l’Envoyé d’Allah loua le courage d’Umayr devant les musulmans qui étaient à l’intérieur de la mosquée.
Quant au poète Kab Ibn Al-Achraf, Mr Tahar Ben Jelloun, feint-il d’ignorer que son meurtre fut ordonné par Mahomet ?
Selon les chroniqueurs musulmans, l’Envoyé d’Allah fut mis au courant par l’intermédiaire de l’archange Gabriel que Kab envisageait de l’assassiner, alors qu’en réalité ce dernier ne faisait que se moquer de lui par des satires poétiques.
Pour arriver à ses fins, Mahomet avait utilisé la ruse. Il avait alors déclaré devant ses ouailles : « Ô Seigneur, délivre-moi du fils d’Al-Achraf, de la manière qui Te semblera bonne, parce qu’il s’est rebellé et que ses vers sont séditieux. »
La sentence de mort de Kab fut exécutée par son frère adoptif Mohamed Ibn Muslama avec l’aide d’autres musulmans.
Au petit matin la tête de Kab fut jetée aux pieds de Mahomet qui lança alors : « Tuez les Juifs qui tombent entre vos mains ! »
Kab était Juif par sa mère de la tribu de Banu Nadir qui fut chassée de Yathrib par le beau modèle de Médine qui s’accapara illico presto de ses biens. Une razzia de plus, ça remplit les poches ! N’est-ce pas ya si Tahar ?
La liste des exécutions sommaires que Mahomet avait commanditées, est longue. Ainsi les poètes Al-Nader et Abu Afak ( très âgé) furent décapités sur ses recommandations.
Umm Quirfa, une vieille femme d’une grande noblesse ( elle avait presque cent ans selon les chroniqueurs arabes) fut assassinée d’une façon atroce parce qu’elle s’était opposée verbalement au prophète Mahomet.
Quant à la tribu juive de Banu Qurayza, elle fut carrément décimée ( entre 800 et 900 hommes adultes furent décapités en une journée quant aux femmes et aux enfants, ils furent vendus comme esclaves au pays du Cham). N’est-ce pas là un holocauste pour l’époque ?
Ces meurtres illustrent bien les enseignements fanatiques et impitoyables de Mahomet et qui en disent beaucoup sur son état d’esprit barbare d’alors et du comportement de certains de ses adeptes d’aujourd’hui.
Les musulmans qui prétendent que l’islam n’est pas l’islamisme comme Mr Tahar Ben Jelloun, doivent relire le coran et les hadiths. S’ils veulent être réellement des hommes et des femmes du XXI siècle, ils n’ont qu’à entreprendre l’aggiornamento de l’islam. C’est à eux et à eux seuls qu’incombe ce travail et qu’ils n’accablent pas les non musulmans de leur échec économique, culturel, social et politique. Chiche qu’ils le fassent maintenant, pas demain, ni après-demain !
Oui, l’islamophobie, c’est avoir peur de l’islam et de sa barbarie.
L’islamophobie, ce n’est pas haïr les musulmans, c’est la peur du lendemain face à l’islam guerrier.
Oui, les Français ont le droit d’avoir peur de l’islam et de son terrorisme religieux et fanatique.
Oui, ils ont le droit d’avoir peur du djihad sur leur territoire.
Oui, ils ont le droit de refuser l’islamisme sur la patrie de leurs ancêtres.
Oui, c’est un droit naturel d’avoir peur de l’islam qui menace n’importe quel non musulman.
Oui, ils ont le droit d’avoir peur des attentats commis au nom d’Allah
Oui, ils ont le droit d’avoir peur de l’islam qui fout la merde là où il s’installe.
Est-ce que c’est faire injure à l’ensemble des musulmans d’avoir peur de l’islam?
Eh bien, non.
Avoir peur de l’islam ne signifie nullement qu’on est raciste.
Les Français ont-ils le droit de se méfier de l’islam en tant que religion d’Allah qui apporte le malheur, le chaos, la barbarie dans ses bagages ?
Oui, sans aucun doute !
L’islam est incompatible avec la démocratie et la laïcité car il est antithèse de la liberté. Il est l’émanation de la violence sacrée d’Allah et de son Envoyé sur terre.
L’islam et ses quatre grandes écoles du sunnisme ( malékite, hanifite, chaffaïte, hanbalite) ne condamnent-ils pas à mort celui ou celle qui raille le prophète Mahomet, qu’il soit dhimmi, mécréant ou musulman ?
Evidemment et il faut être vraiment inculte, ignorant, naïf et surtout manipulateur pour affirmer le contraire !
Doit-on avoir peur d’une religion dont les textes sacrés font l’apologie du crime contre tout ce qui n’est pas musulman?
Bien sûr!
Pour preuve sur les sites officiels des gouvernements saoudien et qatari, les fatwas exigeant la décapitation de ceux qui blasphèment et qui se moquent de Mahomet sont bien mentionnées en toutes lettres !
N’en déplaise à ceux qui refusent de voir la réalité en face, l’honneur de l’islam ne peut être lavé que dans le sang selon le coran et les hadiths.
Alors le temps est venu de mettre un terme aux chikaytes stériles et cyniques, aux tartufferies à deux sous, aux plats de mensonges réchauffés depuis 15 siècles et aux discours de duplicité !
Il est aussi évident comme le jour et la nuit que les hommes et les femmes politiques de gauche et de droite sont responsables de l’islamisation de la France et ses conséquences désastreuses à cause de leur lâcheté, de leur laxisme, de leur angélisme, de leur ignorance de l’islam, de leur compromission, de leur hypocrisie, de leur mensonge permanent, de leur cynisme transformé en vertu, et surtout de leur mercantilisme.
Alors à quand la fin de l’indulgence essentialiste et condescendante qui s’apparente à du racisme primaire affichée par la caste médiatique face à l’islam ?
Depuis 622 de l’ère chrétienne, l’islam propage la haine de l’autre par la terreur du glaive et ce n’est pas aujourd’hui qu’il va changer son logiciel, car sans sa violence sacrée, son fonds de commerce sera sûrement balayé, un jour ou l’autre.
La France n’a pas attendu l’islam pour arriver là où elle est, qui jusqu’à preuve du contraire, ne lui apporte que des soucis actuellement et de l’inquiétude pour son avenir et celle de ses enfants.
Le journaliste, poète et écrivain algérien, assassiné le 2 juin 1993, par les adeptes de la religion de paix, d’amour et de tolérance, avait dit : « Le silence, c’est la mort, et toi, si tu te tais, tu meurs et tu parles, tu meurs. Alors dis et meurs. »
Alors tous ensemble soyons courageux et d’une seule et même voix, osons dire haut et fort : « l’islam doit se réformer s’il veut rester en France pour être compatible avec la culture française! »
Hamdane Ammar