Depuis le vaccin Pfizer, Israël ne cesse de compter ses morts

Covid-19 : Plan de Protection Socio-économique, volet 3 - Afschrift

C’était l’hiver 2019. Le monde perpétuait son train-train régulier, sous le carrousel habituel de ses hauts et ses bas, ses saisons, ses malheurs et ses conflits… personne n’avait vraiment ressenti ou prédit que le monde, après quelques soubresauts d’agonie, allait se figer et s’éteindre.

Ce ne fut qu’au début du mois de mars 2020 que la réalité consternante de l’arrêt du monde commença à se faire ressentir. Le corona laissait ses premiers morts dans une vieille ville oubliée des vivants portant le nom de  Wuhan, au centre de la Chine où le virus apparut, fin 2019. Il s’était apparemment échappé d’un laboratoire. Que faisait-il dans ce laboratoire et pour quels desseins mystérieux ? Aucune réponse qui vaille la peine d’être émise.

Signe de nervosité, le pouvoir communiste a fait condamner fin décembre à quatre ans de prison une journaliste citoyenne, Zhang Zhann qui avait couvert la mise en quarantaine de Wuhan.

La Chine communiste chercherait-elle une arme biologique ? Dans quel but sinon d’en faire usage pour donner un coup de pouce au progressisme/mondialisme, enflammant du même coup un monde déjà en décadence avancée ?

L’énigme demeure et, plus nous progressons, plus elle s’épaissit au point de la trouver insoluble.

S’ensuivit alors une course effrénée pour un vaccin qu’on nous faisait croire à portée de main, du moins au début, et qu’il ne s’agissait que de quelques mois avant qu’un vaccin traditionnel ne soit disponible. En Israël, le mois de juin 2020 était la date butoir. Tous se frottaient les mains, ce maudit virus allait disparaître à jamais. Il n’en fut rien. Juin devint septembre 2020, qui devint à son tour début 2021… Et finalement le monde put s’enorgueillir avec la création du vaccin miracle des compagnies Pfizer et Moderna.

Il n’y eut que très peu de tests sur un nombre limité de volontaires, avant que le FDA américain ne déclare ces vaccins à 100 % efficaces. Les premiers volontaires, assoiffés de regagner quelque stabilité étaient Israël, les USA et l’Angleterre. Le record de vaccination a été tenu par Israël avec plus de 3 millions de personnes vaccinées en un mois et demi.

Mais, depuis, Israël ne cesse de compter ses morts. Très peu, tant au sein des médias qu’au sein du gouvernement, osent enfin lever leur index et blâmer la vaccination hâtive et irréfléchie.

Le premier à jeter le gant a été Avigdor Lieberman qui, sans ambages, déclarait la semaine dernière à la télévision canal 13 que des vaccinés avaient été infectés par le virus Corona…, des vaccinés de la seconde portion, précisait-il… Puis, plus rien. Motus. Défense d’en parler. Défense de blâmer, de crier tout haut une vérité qui finalement éclatera au visage de ces responsables irresponsables.

Ce soir, la speakerine de canal 11 interrogea le médecin d’un grand hôpital israélien sur l’efficacité du vaccin d’empêcher l’infection des vaccinés. Plus moyen de reculer :

Il dut admettre qu’en effet une dizaine de personnes du personnel traitant a été infectée par le Corona, sept jours après l’injection de la seconde portion du vaccin. Les vaccinés sont en perpétuelle menace d’être infectés et d’infecter les autres.

Conclusion, dut-il admettre, le port du masque demeure en vigueur même après la vaccination… Qu’avons-nous réalisé ? Rien.

Conclusion, chers lecteurs, nous ne sommes pas sortis de la poisse sanitaire nonobstant les déclarations immodérées des services de santé et des chefs de gouvernement. Et je me demande avec effroi : “à quel futur allons-nous nous confronter ?”.

Thérèse Zrihen-Dvir