Leur dernier enfumage : le coup du loup psychiatrique solitaire !
Le “loup psychiatrique solitaire”, c’est le thème favori d’enfumage que révèle Le Monde de gauche :
Le Point.fr cite Le Monde de gauche : “Le lourd passé psychiatrique d’Adel K., enfant “intenable”… longuement suivi en centre médico-éducatif pour “hyperactivité” et “troubles du comportement“… (ce qui en dit long sur les compétences ou plutôt sur l’incompétence du centre médico-éducatif) Adel K., comme le tueur Mohamed Lahouaiej Bouhlel et bien d’autres jeunes “radicalisés“, souffrait de “problèmes psychiatriques“.
Traduction en langue du mensonge politiquement correct : “Si un jeune est brusquement “radicalisé”, c’est qu’il souffre de “problèmes psychiatriques”. Mais surtout, padamalgam, pas question de mettre en cause l’aveuglement, le déni de la réalité, la paresse mentale, ni l’incompétence des milieux pédopsychiatriques ou médico-éducatifs, et des adultes fonctionnarisés qui, pas plus que les juges de la jeunesse, ne s’intéressent vraiment et rigoureusement aux jeunes qui leur sont confiés. Ils préfèrent se défiler de leurs responsabilités derrière un diagnostic aussi hasardeux que facile comme “hyperactivité” et “troubles du comportement”…
“Comme le révèle Le Monde, le garçon avait été suivi dans un centre médico-psychologique entre 6 et 13 ans… qui cite une appréciation sur son livret scolaire en primaire : “Ange ou démon ?… (Le “loup solitaire” est décrit comme un individu) le plus souvent agressif, énervé et pas en état de travailler“…
Après avoir été “suivi à l’hôpital (pédopsychiatrique) de Rouen et scolarisé en hôpital de jour à Saint-Étienne-du-Rouvray, “intenable“, selon son dossier, il est interné en milieu (psychiatrique) pendant 15 jours.
“À 13 ans, il rejoint un institut thérapeutique et pédagogique. À 15 ans, après ce long détour par des instituts spécialisés, Adel K. (est guéri ?) retourne au collège en 4ème et parvient jusqu’au lycée…
“Son dossier montre des difficultés. Il y est fait état de “violences physiques et verbales“, mais aussi d’un “niveau scolaire supérieur“ à la moyenne.”
Traduction : Adel K. est “normal”. Ce n’est pas un débile mental et il quitte l’école à 16 ans.
“La suite est connue : Adel K, par deux fois, tente de partir en Syrie… pour y “mourir en martyr“. Il sera incarcéré. Au juge qui cherche à cerner sa personnalité (???) (il le balade selon la “Taqiyya”) : “J’ai envie de reprendre ma vie, revoir mes amis, me marier“. Il (raconte) vouloir devenir “aide médico-psychologique” !
Il semble que le FLNC propose une thérapie beaucoup plus radicale et efficace pour traiter les “loups psychiatriques solitaires”. Dans Corse Matin, “le FLNC menace l’État français et les islamistes radicaux d’une “réponse déterminée” (AFP). Dans un communiqué transmis à Corse Matin, le mouvement nationaliste estime que l’État français aurait “si un drame devait se produire chez nous… une part importante de responsabilité“.
“Le FLNC avertit les “islamistes radicaux de Corse“ que toute attaque déclencherait “une réponse déterminée, sans aucun état d’âme“. Le texte précise que l’État français “connaît les salafistes en Corse“… Le FLNC affirme “savoir avec certitude que l’un des imams de Corse est un indicateur de police“…
“Votre philosophie moyenâgeuse ne nous effraie pas…
“L’amalgame n’existe que “dans l’esprit des faibles“ et le peuple corse est fort…
“La volonté des salafistes est clairement de mettre en place chez nous la barbarie et nous nous y sommes préparés… Il faudra que la France cesse sa propension à vouloir donner des leçons de (soi-disant) démocratie (socialiste) à la terre entière… Appelant enfin “à la vigilance et au calme face à la barbarie“, le FLNC souligne ne pas être “le refuge des frustrés d’une lutte raciale ou xénophobe“…
“Les présidents nationalistes de l’exécutif de la Collectivité territoriale de Corse et de l’assemblée, Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni, doivent soumettre jeudi à l’Assemblée une résolution demandant à l’État de “fermer les lieux de culte musulman“ constituant “des foyers d’influence salafiste“, “d’expulser les animateurs fondamentalistes“ et de renforcer la sécurité…”
Pour contrer le mythe du “loup psychiatrique solitaire”, l’anonymisation des terroristes et le déni de réalité de la désinformation de gauche de type BHL-Nostradamus dans les médias, au fallacieux prétexte d’éviter d’éventuels effets de soi-disant glorification posthume, Alexis Brézet, directeur des rédactions du Figaro, répond : “Il est important de nommer (l’ennemi intérieur) et d’identifier ceux qui nous combattent“.
“Le nom des terroristes est un élément d’information objectif essentiel pour comprendre ce qui se joue sur notre sol, et notre devoir est de le porter à la connaissance de nos lecteurs. Ne pas le faire, ce serait alimenter les fantasmes complotistes de tous ceux qui estiment que les médias “cachent la vérité“… Mais l’information prime. Surtout, ne tombons pas dans le piège de ce monde imaginé par Orwell où les noms des “méchants“ (où s’arrêtera la liste ?) sont systématiquement effacés des livres d’histoire… Si l’on veut lutter contre ce mal absolu qu’est le terrorisme islamiste, nous devons nommer les choses, nommer les gens…
“Méfions-nous de la “psychiatrisation“ du terrorisme (des terroristes) : les séides de l’EI ne sont ni des déséquilibrés ni des mégalomanes dont le rêve serait de voir leur portrait dans les (journaux)… Ce sont des combattants qui poursuivent des objectifs idéologiques, politiques et religieux. Leurs épigones ne s’informent pas dans les grands médias, ils ne rêvent pas de célébrité mais du paradis d’Allah !
“Il faut toujours dire ce que l’on voit. Surtout, il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit“, a écrit Charles Péguy. Voir ce que l’on voit et le dire : c’est l’essence de notre métier de journaliste.”
Cécile Bouanchaud, Le Monde : “Virginie Duval, présidente l’Union syndicale des magistrats (USM), classé à droite : “Cette (libération) paraît étonnante aujourd’hui… Il n’est pas évident de repérer des individus qui tiennent un double discours et qui pratiquent (la “Taqiyya”) des techniques de dissimulation”.
“Les magistrats attachent de l’importance au casier judiciaire vierge, (où les éléments marquants sont effacés pour éviter les discriminations et faciliter la soi-disant ré-insertion). Les juges des libertés évaluent les chances de réinsertion (???). Il s’agit de savoir, “de manière générale, si la personne a un domicile, si elle évolue dans un environnement familial sain (???), et si elle bénéficie d‘un contexte favorable à une reprise d’emploi (???), la magistrate de l’USM, précisant qu’il est nécessaire d’avoir “des garanties suffisantes pour permettre une libération conditionnelle“… Dans le cas d’Adel Kermiche, “tous les voyants” (aveugles) étaient “au vert” (???) . Il avait assuré à la juge d’instruction qu’il regrettait (selon la “Taqiyya”) ses envies de départ.
“La magistrate avait motivé son ordonnance de placement sous contrôle judiciaire par le fait qu’il aurait (selon la “Taqiyya”) “pris conscience de ses erreurs“, qu’il serait “déterminé“ à entamer des démarches d‘insertion” (mais surtout pas “déterminé“, selon la “Taqiyya”, à réaliser un attentat terrorriste !)…
“Le parquet de Paris avait fait appel de cette libération. Contre l’avis du procureur, la chambre de l’instruction, composée de trois magistrats, a décidé de libérer Adel Kermiche en l’assignant à résidence… (Il) était seulement autorisé à sortir entre 8 h 30 et 12 h 30, période durant laquelle il a commis son attaque (selon la Taqiyya) à quelques centaines de mètres de son domicile. (Cécile Bouanchaud, le Monde)
“Face au terrorisme, la justice est désarmée (par l’idéologie) a écrit Paule Gonzales : “Face à la série d’attentats, magistrats et hommes politiques prônent une révolution juridique… que les autorités refusent. Le gouvernement (socialiste) a (répété) que “jamais (il) n’alourdir(ait) le quantum des peines”, que jamais “(il) ne reviendr(ait) sur les crédits automatiques et les aménagements (Taubira) de peines”, que jamais “il n’y aura(it) d’expulsion automatique”… Après l’attentat, Sarkozy a déclaré : “Cette situation doit conduire à la plus grande lucidité et à comprendre que nous devons changer la dimension, la mesure, la stratégie de notre riposte“.
Thierry Michaud-Nérard