On a frôlé la catastrophe sanitaire au Havre ! Les écoliers ont failli consommer du porc, rendez-vous compte !
La dhimmitude n’en finit plus de se répandre, au point d’atteindre des sommets de ridicule rarement égalés, au point surtout de jeter des dizaines de kilos de nourriture payée par certains parents d’élèves (ceux dont le quotient familial ne permet pas de se faire offrir les repas par la municipalité), au seul prétexte que les 8 500 pots de mousses au chocolat incriminées pouvaient contenir… des traces de porc.
Honte à cet obséquieux directeur adjoint au développement social, Philippe Brunel, qui a pris cette décision ahurissante et totalement irrespectueuse envers les parents payeurs, envers les enfants, et totalement contraire au principe de laïcité inhérent à l’école publique. Quand on pense aux pauvres clochards affamés qui hantent nos rues, on se dit qu’il y a vraiment des coups de pied au c… qui se perdent.
Choqués et en colère, les parents non musulmans – qu’on espère encore majoritaires tout de même – ont fait connaître leur mécontentement face à cette lamentable situation.
M. Brunel a déclaré vouloir « désamorcer une potentielle crise »… Rien que ça. Et pourquoi pas créer une cellule psychologique de crise aussi pendant qu’on y est ? Qu’entend-il par crise ? Une émeute barbare de la part des adeptes de la religion de paix et d’amour ? Des incendies d’école, comme on en a déjà vu à plusieurs reprises ? Car pourquoi ce perpétuel besoin de ménager les susceptibilités des musulmans si ce n’est parce que précisément ces musulmans sont dangereux pour notre pays ?
Comment est-il possible d’en arriver en France, pays libre et laïque, à priver de dessert 8 500 gamins de maternelle et de primaire (les enfants de toute une ville quand même) par seule crainte de froisser une minorité qui n’en finit plus d’imposer jour après jour ses lois, ses codes, ses coutumes arriérées, ses intimidations et ses menaces ?
Ici c’est la France, pas le bled ! Et en France on bouffe du cochon, nom de dieu ! On mange de la choucroute, du cassoulet, des gratons, du saucisson, de la potée auvergnate, du petit salé aux lentilles, du fricandeau, du pâté en croûte, de la fricassée de caïons, du boudin, de la rouelle de porc aux pruneaux…
Peu désireux de respecter la loi de 1905, le triste personnage a le culot de préciser que « cela ne remet pas en cause la philosophie de la ville et ses principes de laïcité vis-à-vis des repas scolaire ». Alors ça c’est le comble ! Non seulement il bafoue la loi en instaurant des repas s’accordant avec un dogme religieux mais ce paltoquet ose en plus le nier.
Il croit bon de préciser en outre que la perte financière ne représente qu’un coût très faible, comme si cela suffisait à le dédouaner de son incompétence et de sa lâcheté. Même pour un seul euro son acte aurait été inacceptable.
N’ayant pas le courage de ses actes, il se déballonne doublement en invoquant, auprès des directeurs des écoles, la « sécurité alimentaire » et la « non-conformité » des denrées, serrant sans doute bien les fesses à l’idée qu’un précieux petit musulman puisse ingérer l’une des mousses au chocolat. Fort heureusement, le personnel de cantine a fait acte de civisme en choisissant d’informer sur cet honteux gaspillage.
Quant à la CFDT, plus préoccupée elle aussi du bien-être de la sacro-sainte minorité musulmane récalcitrante, et décidément bien peu encline à s’assimiler au pays qui l’a accueillie, que du respect de la loi et des Français non encore islamisés, elle se défausse par la voix d’une de ses représentantes ne trouvant rien de mieux à rétorquer que nul n’était censé apprendre cette histoire, et que de toute façon « cela ne nous regarde pas trop ». C’est tout de même extraordinaire que dès lors qu’il s’agit de l’islam et des musulmans, tout le monde se retranche dans un même mutisme coupable et indécent, quitte à balancer opportunément la loi par-dessus les moulins et à négliger le bien-être alimentaire de nos enfants. C’est très grave.
Alors, au vu de la dhimmisation galopante qui gangrène nos villes, nul doute que sous peu il conviendra de prendre quelques dispositions afin d’indiquer sur les produits contenant du porc « attention poison » écrit en rouge avec une tête de mort, ou encore « spécial mécréants, non approuvé par l’imam d’Evry ». Des étiquetages informatifs qui pourront figurer sur les yaourts, les plats préparés, les bonbons, les crèmes cosmétiques, le maquillage, les gâteaux, les biscuits, les sauces, le dentifrice, mais aussi les médicaments, les pommades, les gélules, suppositoires, etc.
Et d’ailleurs pour aller encore plus loin, dans la mesure où nous-mêmes ingurgitons du porc, il serait judicieux de nous imposer le port de petits badges roses pour que les précieux adeptes de Mahomet puissent nous éviter, d’instaurer des horaires spécifiques pour que les purs musulmans soient précautionneusement tenus éloignés des impurs mécréants, dans les transports, les lieux publics, les écoles. Pourquoi par exemple ne pas instaurer à l’école publique un principe de classes séparées « porc » et « sans porc », avec des maitresses mécréantes pour les élèves « porc » et des maîtres (le choix d’hommes permettrait aussi d’éviter le souci des menstrues des femmes dont il faut se tenir éloigné pour ne pas être sali à leur contact, ainsi on ferait d’une pierre deux coups) pour les pieux et saints petits musulmans ? Mais sans remettre en cause « la philosophie de la ville et ses principes de laïcité », il va de soi.
En attendant que de telles dispositions, pas si délirantes, soient prises, il nous reste encore la possibilité de faire pression et de communiquer en faveur de la filière porcine. Résistance Républicaine va proposer à partir de janvier des tracts et une campagne de communication dans ce sens (amis végétariens, prenez sur vous), afin que cesse cet ostracisme anti-gaulois et anti-cochon. Alors tenez-vous prêts….
Caroline Alamachère
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