Descoings-Ferran-Aounit, trois militants francophobes de la préférence immigrée

En quelques semaines, ce sont trois piliers de l’idéologique de François Hollande et des siens qui sont brutalement décédés. Richard Descoings, retrouvé mort dans une chambre d’hôtel, dans de curieuses circonstances, à New York, incarnait le combat pour la discrimination positive, qu’il a imposé à Sciences Po, n’hésitant pas à baisser le niveau du concours d’entrée pour y imposer des élèves, souvent issus de l’immigration post-coloniale, qui n’avaient pas le niveau requis.

Olivier Ferrand, président de Terra Nova, brutalement décédé une semaine après sa victoire aux législatives, militait ouvertement pour que la gauche abandonne son électorat ouvrier classique, accusé d’être trop réactionnaire, et se tourne vers les sur-diplômés et surtout vers les nouveaux-arrivants, jugés plus adaptés aux défis du nouveau monde… et capable d’amener un nouvel électorat qui fuyait la gôche.

Mouloud Aounit a lui, au nom de l’idéologie anti-raciste, passé sa vie à insulter notre pays et ses habitants, considérés comme des racistes nostalgiques de l’Algérie française. Il a d’autre part été un militant actif de l’islamisation de la France, et de l’adaptation nécessaire de nos lois à une nouvelle religion, au détriment de la laïcité.

Nous savons que la mort de ces trois personnages n’a pas fait pleurer  beaucoup de lecteurs de Riposte Laïque. Mais à chaque fois, évitant de réagir sur le seul ressenti, nous avons traité ces événements de la manière la plus politique possible. Ainsi, quelques heures après le décès du président du Mrap, Pierre Cassen écrivait-il un article intitulé : Mouloud Aounit, mort d’un militant qui a préféré combattre la France que l’aimer.

http://ripostelaique.com/mouloud-aounit-mort-dun-militant-qui-a-prefere-combattre-la-france-que-laimer.html

Le ton était totalement différent de celui, beaucoup tripal, de Christine Tasin sur son blog.

http://christinetasin.over-blog.fr/article-aounit-est-mort-bon-debarras-puisse-le-mrap-mourir-aussi-108985140.html

Notre rédacteur en chef concluait son article sur le président du Mrap ainsi :

« L’ancien président du Mrap est venu, avec ses parents, s’installer en France dès son plus jeune âge. Certes, notre pays a bénéficié du travail de son père, mais celui-ci, son épouse et ses enfants ont profité, eux aussi, d’une France qui a permis au jeune Aounit de réussir un parcours scolaire qui lui a assuré, plus tard, un niveau de vie – fort supérieur à celui de la moyenne des Français – qu’il n’aurait jamais eu s’il était resté dans son pays natal. Il a pu être soigné gratuitement, et ses deux enfants ont, à leur tour, profité des avantages du système social français. Cela ne méritait-il pas une petite reconnaissance ? Or, qu’est-ce que Mouloud Aounit a apporté à notre pays ? Il n’a eu de cesse de présenter notre France comme un pays de racistes, de nostalgiques du colonialisme, se montrant par ailleurs fort discret sur l’ampleur de l’antisémitisme, essentiellement d’origine musulmane, qui proliférait dans les banlieues. Il n’a eu également de cesse de combattre notre modèle laïque, pour le contraindre, au nom des accommodements raisonnables avec l’islam, à se rapprocher du modèle anglo-saxon, un comble pour quelqu’un qui se réclamait communiste.

Voltaire disait : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrais pour que vous puissiez le dire ». Mouloud Aounit et ses amis ont adopté une autre devise : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, et je vous traînerais devant les tribunaux pour que vous ne puissiez plus jamais le dire ».

Je terminais le propos, devant la caméra, en disant que le pire reproche que je pouvais faire à Mouloud Aounit était que non seulement il n’avait jamais su aimer la France laïque, ni sa liberté d’expression, mais que toute sa vie, il s’était comporté en militant hostile au pays qui l’avait accueilli, contribuant à le miner de l’intérieur. »

Quand Olivier Ferrand est décédé, nous avons tenu également à réagir immédiatement.

http://ripostelaique.com/olivier-ferrand-mort-de-celui-qui-voulait-tuer-la-france-au-nom-dune-gauche-moderne.html

Nous écrivions : Olivier Ferrand détestait tellement l’idée qu’il puisse demeurer une once de souveraineté à la France qu’il poussait à un ministère des Finances européens, où les technocrates de Bruxelles auraient eu droit de regard sur les finances de la France… ce que Hollande est prêt à accepter.

Véritable commissaire politique du politiquement correct, il avait entamé, la semaine dernière, à la tête de Terra Nova, une campagne politicienne, ciblant Riposte Laïque, accusé d’être un instrument au service du nouveau parti UMPFN, rien de moins !

Naturellement, Ferrand était fasciné par les dernières primaires socialistes, qui dépossédaient les militants socialistes de leur droit de désigner leur candidat, comme son modèle fédéraliste européen entend déposséder les peuples des libres choix de leur avenir… Il est vrai qu’il avait été nommé à Marseille par l’appareil, contre l’avis des militants.

Olivier Ferrand incarnait le camp des fossoyeurs de la France, et de ceux qui avaient un tel mépris pour les Français qu’il leur préférait « une nouvelle civilisation », chargée de remplacer une population ouvrière jugée rance et moisie. Naturellement, il militait activement pour le droit de vote des étrangers, pour une immigration massive et pour les accommodements raisonnables avec l’islam. Bien évidemment, il faisait sienne la nécessaire austérité réclamée par les oligarchies financières, au nom du dogme européiste. Voilà ce que disait un site de gauche, supporter de Jean-Luc Mélenchon, qui pourtant avait appelé à voter François Hollande, et qui, au lendemain de la victoire du nouveau président de la République, semblait découvrir qu’ils avaient porté au pouvoir les adeptes de Terra Nova.

Quant à Richard Descoings, Christine Tasin, encore elle, avait eu ces mots : Alors au lieu de pousser les enfants de la diversité à travailler trois fois plus que les autres, comme l’ont fait avant eux les enfants d’immigrés italiens, espagnols ou portugais, handicapés par une langue mal maîtrisée à la maison ou bien, encore auparavant, par ces jeunes Bretons ou Basques qui découvraient le français à l’école, on a fait des quotas, on a fait entrer à l’école des enfants non pas parce qu’ils étaient brillants mais parce qu’ils étaient boursiers, créant une nouvelle injustice, puisque ces boursiers qui n’avaient d’autre mérite que de venir de quartiers défavorisés prenaient la place d’autres peut-être mieux à même de devenir l’élite de la nation.

Élite dont nous avons besoin, cruellement.

Mais Descoings s’en moquait, prêt à brûler La Princesse de Clèves et avec elle l’épreuve de culture générale sur l’autel où se consume déjà la patrie.

Parce que c’est bien ce dont il s’agit. Comment devenir un homme politique, un haut fonctionnaire, un journaliste talentueux… quand on ne connaît pas l’histoire de son pays, sa littérature et l’histoire des idées ?

Cela n’est pas possible. Sauf…

Sauf si ces futures élites sont des élites européïsées, mondialisées… qui n’auront que mépris pour leur héritage et leur patrimoine, ce qui leur permettra de le brader et de le brûler à leur tour.

Est-ce ce que vous voulez ?

Le journaliste du Nouvel Observateur Hervé Algalarrondo a écrit un livre intitulé « La gauche et la préférence immigrée ». Il est intéressant de noter la complémentarité des trois actions de Descoing-Ferrand-Aounit. C’est à un véritable détricotage de la France souveraine, de la République laïque une et indivisible, à laquelle ils ont contribué, au service du mondialisme et de l’européisme. Ces trois hommes n’aimaient pas une France qu’ils voulaient voir disparaître, ni ses habitants qu’ils méprisaient. Ils incarnaient, à eux trois, toutes les trahisons et tous les reniements de la gauche, notamment par son abandon de la Nation, du peuple et des Français. François Hollande était le débouché politique de leur militantisme.

La disparition brutale de ces trois hommes, bien jeunes pour mourir, ne changera en rien la ligne de ce gouvernement. D’autres Descoings-Ferrand-Aounit reprendront le flambeau, et appliqueront le programme de Normal 1er et des siens. Mais il est évident que si le soulèvement des patriotes que nous appelons de nos vœux voyait le jour, et qu’il faille juger ceux qui ont délibérément trahi notre pays, ces trois là auraient eu toute leur place dans un procès auxquels les complices de l’UMP et du PS ne pourraient pas échapper.

Ils ont tout de même milité toute leur vie pour détruire la France…

Lucette Jeanpierre