Il amalgame l’islamophobie à du racisme : taisez-vous, Elkabbach !
Je l’avoue, avec tout le respect dû à la douleur des deux frères Knoll, Allan et Daniel, fils de Mireille, sauvagement assassinée par un musulman qu’elle connaissait depuis qu’il avait 7 ans, je n’ai pas supporté cette interview qu’ils ont accordée à l’ineffable Elkabbach.
D’abord ce dernier, véritable islamo-collabo, s’est permis, à la 12e minute, de comparer l’islamophobie à du racisme, se faisant ainsi le porte-parole du gouvernement et des islamistes, qui veulent interdire toute critique de l’islam.
https://www.youtube.com/watch?time_continue=931&v=asa7XF8rwpE
Certes, à la 9e minute, un des deux frères nous apprend que sa mère a été égorgée, ce que les autorités se gardaient bien de nous dire. Il nous confirme que les assassins ont essayé de la brûler, ce qui rappelle à ces deux juifs des souvenirs terribles.
Mais ce qui me consterne, voire me terrifie, est cette absence de haine qui est la leur. Certes, on n’est pas ouvertement dans la propagande d’Antoine Leiris, le mari d’une des victimes du Bataclan, qui nous a fait le coup de “Vous n’aurez pas ma haine”. On n’est pas davantage dans la grossière propagande orchestrée par le pouvoir socialiste, qui a laissé le “mari” du policier nous sortir un discours humaniste pour honorer son époux assassiné sur les Champs-Elysées.
Ils sont gentils, les frères Knoll. L’un fait de l’humanitaire avec le Mali et est franc-maçon. Il était élu à Montreuil. Cela ne l’émeut pas que ce soit des soldats français qui meurent pour sauver le pays de l’emprise islamiste, pendant que les sympathiques Maliens installés en France profitent, pour beaucoup, du système et n’ont jamais envisagé d’aller eux-mêmes défendre leur pays.
L’autre est agent immobilier. Quand Macron vient aux obsèques de leur mère, et leur dit à l’oreille “Je ferai en sorte que ce sacrifice n’ait pas été vain”, ils ne réagissent pas. Sacrifice ? Elle s’est vraiment sacrifiée, leur mère ?
Ils n’ont aucune colère. Le fait que l’assassin ait la même religion que celle de l’assassin d’Ilan Halimi, de Sarah Halimi, de l’épicerie casher, de la libraire de Bruxelles ne les choque pas. Le fait qu’il n’aurait jamais dû être en liberté ne les scandalise pas davantage. Ils sont gentils, les frères Knoll. Ils voulaient que tout le monde soit présent aux obsèques de leur mère, condamnent l’exclusion de Marine et Mélenchon, mais ne veulent pas dire du mal du Crif.
Ils sont conscients (du moins l’un d’entre eux, Daniel) que la vie en Europe va être de plus en plus impossible pour les juifs, mais ils réussissent, par un amalgame révoltant, à expliquer que les musulmans sont autant victimes des islamistes que les juifs.
Et bien évidemment, ils opinent quand Elkabbach affirme que les islamistes ne comprennent rien au Coran, et que ce n’est que le problème de quelques extrémistes. Et bien évidemment, la solution, c’est le vivre ensemble et que tout le monde s’aime !
Ils sont vraiment très gentils, les frères Knoll, mais ce n’est pas avec des gens comme eux qu’on va gagner la guerre que l’islam nous a déclarée. Quand on voit sa mère, à 85 ans, se faire égorger, et brûler, par une ordure musulmane, on doit avoir envie de le buter, et en vouloir aux salopards qui ont permis sa présence en France, et sa liberté. On doit hurler après ceux qui ont sur les mains le sang de sa mère. On doit avoir la haine, même si ce régime veut criminaliser ce sentiment. Il y en a marre des gentils, des bouquets de fleurs et des bougies !
Quant à Elkabbach, j’en appelle à Georges Marchais pour régler le problème !
Martin Moisan