Depuis le 12 juillet 2021, quand Macron, trahissant ses promesses, a imposé le passe sanitaire, puis vaccinal, à l’ensemble des Français, chaque samedi, Vannes est le fer de lance de la résistance à la dictature sanitaire.
Impulsé par le militant nationaliste breton Bertrand Deléon, régulièrement candidat à des élections locales, les manifestations ont atteint, au plus fort des mobilisations, plus de 10.000 personnes.
Malgré l’usure inévitable des mouvements qui durent, Vannes demeurait le coeur de la résistance bretonne. Les manifestations se déroulaient sans le moindre incident, grâce, sachons le dire, à la sagesse des protestataires, mais aussi à l’efficacité des forces de l’ordre qui ne manifestaient pas, à l’époque, la moindre hostilité contre les marcheurs du samedi.
Les choses commencèrent à se gâter quand les forces de l’ordre, forcément sur instructions du préfet Joël Mathurin, nommé en juin 2021 après avoir été accusé, lors de son affectation précédente, d’avoir couvert une agression policière contre un Gilet jaune, commencèrent à verbaliser certains manifestants, sans que ceux-ci n’aient été interpellés par les forces de l’ordre.
Les malheureux, dont la majorité ne roulent pas sur l’or, se virent recevoir, à leur domicile, comme des automobilistes ayant été flashés par un radar, des amendes de 135 euros pour non-port supposé du masque. Sans la moindre preuve !
Notre fondateur Pierre Cassen, qui avait impulsé des rassemblements devant la mairie de Ploërmel, les deux premiers mois, avant de rejoindre Vannes, et d’en devenir, avec son haut-parleur, un des principaux animateurs, y voyait les prémices d’un contrôle social à la Chinoise, et suspectait le préfet, socialiste, de faire du zèle dans ce sens.
Le préfet Mathurin fait de Vannes le laboratoire du modèle chinois
Dans ce contexte, chaque semaine, le nombre de manifestants diminue, bien sûr. On est passé de 1000 à 500, de 500 à 300, de 300 à 200, et à présent, il ne reste plus qu’une petite cinquantaine de manifestants réguliers.
Le masque n’est plus obligatoire. On aurait donc pu penser que la vingtaine de verbalisations enregistrées aurait pris fin, d’autant plus que certains “rackettés” faisaient appel, souvent victorieusement. C’était sans compter sur la volonté du préfet Mathurin de briser par tous les moyens un mouvement qui ne comporte pourtant aucun casseur, aucun manifestant violent, et dont les mots d’ordre, certes souvent très politiques, demeurent raisonnables.
Un premier manifestant qui avait tagué la permanence de LREM passa aux comparutions immédiates et se vit infliger 3 mois de prison avec sursis, une amende de 500 euros et curieusement l’interdiction de détention d’arme pendant 1 an.
Des témoignages attestent que les contrôles d’identité de manifestants s’intensifièrent, ces dernières semaines, au fur et à mesure que le nombre de manifestants diminuait. Une manifestante, suspectée d’avoir à son tour tagué la permanence LREM, passa une nuit en garde à vue, et les menaces judiciaires demeurent à son encontre.
Il y a un mois, un animateur de la manifestation, qui vient toujours avec sa sonorisation et de nombreuses musiques, contribuant à la bonne ambiance du groupe, se vit arrêté pour tapage diurne, et verbalisé à hauteur de 68 euros.
Refusant ce qu’il ressentit, à juste titre, comme une intimidation, ce combatif manifestant décida de faire comme si de rien n’était, et de revenir aux rassemblements suivants, toujours avec sa sono.
Samedi dernier, les choses se gâtèrent pour les manifestants. Un homme, qui joue un rôle très utile dans les rassemblements, en assurant, en tête de cortège, la circulation, arrêtant les manifestants, puis les faisant passer, fut contrôlé et accusé de tapage diurne parce qu’il avait une trompette !
Mais ce fut l’homme avec la sono qui fut particulièrement ciblé de nouveau. Après les manifestations, les participants se rassemblent sur le quai, apportent des gâteaux, des boissons, et continuent à discuter avec les amis avec qui ils ont marché dans la ville. Grâce à la sono, des danses se mettent en place, et la bonne humeur règne.
Insupportable pour le préfet Mathurin et sa police, qui décidèrent samedi de cibler de nouveau le propriétaire de la sono. Ils allèrent le chercher au milieu des quelques manifestants, pour procéder, dirent-ils, à un nouveau contrôle d’identité… alors qu’ils l’avaient déjà verbalisé un mois auparavant. Les choses dégénérèrent, puisque, sans raison apparente, le malheureux se retrouva plaqué au sol, brutalement, avec blessures au visage, et fut emmené en garde à vue, dont il ressortit seulement le lendemain midi… sans sa sonorisation.
Voilà ce qu’en dit succinctement la presse locale, Ouest-France et Télégramme.
Mais voici le témoignage que nous a fait parvenir une manifestante.
On était moins de trente aujourd’hui.
Les deux manifestants qui jouent de la musique bretonne étaient au rendez-vous sur le port mais n’ont pas voulu défiler avec nous. On les comprend. Ils ont été contrôlés samedi dernier et ils risquent de recevoir un PV.
On a longuement discuté avant le départ. Était-il judicieux de défiler en ville ?
On est finalement partis à 20 environ.
Tout s’est bien passé. Peu d’altercations avec les passants.
L’animateur, M…, avait pris sa sono, malgré le PV de 68 euros qu’il a déjà reçu il y a quelque temps.
On a manifesté avec de la musique et des slogans.
Les gens qui nous attendent habituellement sur la place Brûlée avec des panneaux d’information sur le Covid n’étaient pas là. Une femme qui fait partie de leur groupe est venue nous trouver. Ils ont tous été contrôlés samedi dernier, après notre passage sur la place, et ils ont bien failli être embarqués. Elle nous a dit de rester sur nos gardes.
A notre retour sur le port, le manifestant qui marche en général en tête a été contrôlé par la police. On lui a confisqué sa trompette et il sera convoqué à la police ou à la gendarmerie – je ne sais plus. Il est ensuite revenu parmi nous.
M… nous avait fait un gâteau et on discutait tranquillement quand la police l’a contrôlé lui aussi. Il a été emmené à une petite distance et nous avons pensé qu’on vérifiait ses papiers d’identité.
Soudain, M… s’est débattu, on voulait le menotter. L’instant d’après, il était plaqué au sol, le visage sur la pierre.
Il a été emmené par plusieurs policiers, certains en civil, d’autres en tenue.
Un homme qui n’avait pas manifesté passait par là et il a croisé la police. Il venait simplement chercher une amie. Il était au mauvais endroit au mauvais moment. Cet homme a reçu deux coups de matraque, un sur la mâchoire, l’autre dans le cou. Une dent cassée. Il nous a dit que ce n’était pas un hasard et qu’il avait été reconnu.
Après le départ de M…, on a trouvé des traces de sang à l’endroit où il avait été plaqué. Il semble qu’il a été blessé au visage.
On est restés longtemps sur le port, choqués par autant de violence.
On s’est dit qu’on ne parlerait pas de cette manif sur les réseaux avant que M… ne soit sorti et avant d’en savoir un peu plus.
Certains d’entre nous reviendront samedi. On ne défilera sans doute pas. On restera sur le port, sans musique, sans panneaux, sans drapeaux… On sera certainement très peu nombreux.
Le pouvoir profite vraiment de notre petit nombre pour passer à un autre stade de répression !
Ainsi va la France de Macron et de son appareil d’Etat au service des puissants. Après avoir suspendu 15.000 soignants dans toute la France, dont des centaines dans l’Ouest, dans une région où Nantes, grâce à la politique d’invasion migratoire encouragée par la socialiste Johanna Rolland, est devenue la première ville de France en terme d’insécurité, les autorités, derrière le préfet Mathurin, s’acharnent, à Vannes, contre le dernier noyau de manifestants, coupables de refuser, entre autres, la vaccination obligatoire qui se profile à l’automne prochain et de dénoncer les crimes commis, au nom de la lutte contre le covid, contre nos libertés les plus fondamentales.
On remarquera l’impunité totale des antifas, très actifs dans cette région, quand les manifestants qui défendent les libertés publiques sont persécutés, le silence complice de l’ensemble de la gauche devant la suspension des soignants et le harcèlement que subissent ces courageux manifestants.
Martine Chapouton
La photo c’est Mathurin ou Idi Amin Dada ?
C’est la continuité de la mise en place du PLAN KALERGI !
Voila une raison de plus de detester encore plus ces flics de merde,mais ce sont de bons chiens de garde,le jour ou les mouches vont changer d ane,il va falloir qu ils apprennent a courir,ces crevures.
Le sang breton appel le sang du frappeur, je plains les kapos, le maquis va recommencer comme en 40.
La répression va pouvoir s’intensifier pour les 5 années à venir grâce à des crétins d’électeurs qui n’ont rien compris.
Casser du blanc est le plaisir suprême du Tonton Macoute , une friandise rare à laquelle on goûte avec des frissons de gastronome .
Bonjour, ce n’est pas nouveau ! A Nantes cela fait des années que les préfets successifs font charger les manifestants pacifiques en laissant les ”anti-fa” massacrer tout sur leur passage sans réaction aucune des forces de l’ordre pourtant toujours en surnombre. Belle journée.
Quand un négresse peut casser du blanc ou baiser des blanches en toute immunité, il s en donne à cœur joie….une base vengeance pour des siècles d esclavage gérés par des negres et des arabes, alimentés par des negres et des arabes…mais ce sont les blancs les méchants….evidemment, ce sont les blancs qui bâtissent des pays et des entreprises, que les arabes et les noirs sont incapables de bâtir….
Eh Mathurin, taper sur des blancs, ça serait pas du racisme?
J’ai weçu des o’des ! Ci’culez, y a ‘ien à voi’ !
King Kong avec une gapette, c’est ridicule…
Coluche disait dans un sketch: “N’ayez pas peur Madame, on n’est pas d’la police !”
Les flics de Vannes lui donnent raison.
résultat : la bretagne vote en masse pour ses bourreaux, le syndrome de stockholm en marche avant toute
Ce ne sont pas les bretons qui votent en masse pour les corrompus du gouver-ne-ment, mais les bobos des grandes villes. Ils viennent s’installer en “régions” lorsque ça commence à puer chez eux ; font construire ou achètent à n’importe quel prix et naturellement viennent avec leurs votes pourrir les élections.
C’est à Vannes aussi, qu’il y a des soupçons de fraude électorale pour les présidentielles… Serait-ce un hasard, ou pas ?
Cet individu serait plus à sa place dans une république bananière….
République bananière ? Mais il y est !
Avec sa tête de bocassa le cannibale, y a rien d’étonnant à ses réactions, c’est typique…