Dictionnaire de l’islamophobie : un véritable plébiscite pour Riposte Laïque !

Ne mettez surtout pas 18 euros dans le commerce pour acheter ce livre, publié par les islamo-collabos catholiques de Bayard, et intitulé “Dictionnaire de l’islamophobie”. L’auteur, à qui nous ne ferons pas l’honneur de citer le nom, se prétend historien des religions, spécialiste de l’islam, auteur et conférencier dans le dialogue des cultures et des civilisations. Bref, le CV classique pour piéger les gogos et imposer l’islam religion de paix et d’amour aux pays occidentaux.

Résumé de l’ouvrage. Ce qui se passe en France est terrible. Les musulmans y sont persécutés comme l’étaient les juifs dans les années 1930. Critiquer l’islam, c’est raciste envers les musulmans, et il faut donc un délit d’islamophobie.

Vous partagerez donc ma conclusion : cela ne vaut pas 18 euros ! Le seul plaisir à parcourir cet ouvrage est de découvrir qu’il constitue un véritable hommage à Riposte Laïque. Sans vouloir froisser Marine Le Pen, Bat Ye’Or ou les Identitaires, souvent cités, c’est notre site qui occupe, et de très loin, la place principale dans cet ouvrage.

Un chapitre spécial de 18 pages, mais également des reprises de Riposte Laïque dans presque tous les chapitres. N’en jetez plus ! Salem Benammar a même droit, en dehors du chapitre consacré à Riposte Laïque, à trois pages spécifiques pour lui tout seul. Autre bête noire, Pascal Hilout, mais aussi Christine Tasin et Pierre Cassen, Jean Pavée, Cyrano, Véronique Hervouet, Caroline Alamachère, Roger Heurtebise, René Marchand, et même Jean Robin, assimilé à RL (!).

Reste, et cela montre les limites de l’auteur, malgré le CV qu’il s’attribue, que le livre est truffé d’erreurs qui montrent l’amateurisme du prétendu historien, et celui de l’éditeur qui publie de telles énormités.

Commençons par ce qui est le plus drôle, Christine Tasin se voit, tout au long de l’ouvrage, affublée de deux compagnons : Pierre Cassen, fondateur de Riposte Laïque, et Bernard Cassen, rédacteur en chef du Monde Diplomatique. Rappelons que BHL, pour avoir fait la même confusion, au lendemain des Assises sur l’islamisation de nos pays, s’était pris un procès. On attend avec impatience la réaction de Christine, mais aussi celle de ses deux prétendus compagnons !

Sinon, le peu sérieux auteur se trompe dans le prénom de Fanny Truchelut, a vu Catherine Ségurane intervenir aux Assises de Charenton, reproche à Caroline Alamachère d’attaquer l’école publique, suite à un article sur une école privée catholique qui enseignait des versets du Coran aux gamins. Il nous qualifie de “barbouzes du laïcisme”, de “Racistes Libérés” et signale, oubliant notre appel, la condamnation devant la 17e chambre de Pascal Hilout et Pierre Cassen, ce qui pourrait, si nous étions procéduriers, valoir quelques désagréments à l’éditeur.

La fin du chapitre est sans surprise : il faut interdire Riposte Laïque, et au plus vite. L’auteur exprime cette revendication dans ces termes : “Qu’attend notre ministre de l’Intérieur pour démanteler cette association promotrice d’une haine qui met en péril notre cohésion nationale ?” Décodage : vive la liberté d’expression, à condition qu’elle soit compatible avec la charia, article 22 de la déclaration du Caire sur les Droits de l’Homme en islam, version OCI.

Il est intéressant de constater que cet ouvrage reçoit le soutien de la socialiste Bariza Khiari, qui s’affirme musulmane et française, et est par ailleurs vice-présidente du Sénat. Et la conclusion est de l’ineffable père Lelong, qui déclare se joindre à ses amis musulmans pour combattre l’islamophobie. Les chrétiens d’Orient, massacrés par les disciples d’Allah, apprécieront !

Retenons donc que, chez de plus en plus d’officines musulmanes et de cerbères de gôche, l’idée d’interdire d’expression tous ceux qui osent refuser l’islamisation de notre pays ne se dissimule même plus. Nous le prenons comme un vibrant hommage à notre action, et comme un formidable encouragement à continuer de plus belle.

Lucette Jeanpierre