Dilemme musulman : heureux chez les mécréants ou malheureux en islam?

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Le dilemme du musulman : être heureux chez les kouffars ou malheureux en terre d’islam ?musulmanevoilees.jpg

Sans l’islam, personne ne contesterait les sapins de Noël dans la rue, ni les crèches dans les mairies.

 Sans l’islam, nous ne subirions pas la présence de 2500 mosquées, à raison d’une nouvelle par semaine, payées tantôt par les émirats du Golfe, tantôt par les pays d’Afrique du Nord, et la plupart du temps avec nos impôts.

Sans l’islam, autour de ces mosquées, nous n’assisterions pas à la mise en place d’un État dans l’État, où le petit État islamique ronge de plus en plus le grand État républicain et lui impose ses codes

 Sans l’islam, nous n’assisterions pas à une recrudescence d’agressions homophobes, antisémites, sexuelles, meurtrières, encouragées par les textes  soi-disant sacrés du Coran et la vie de ce pédophile de Mahomet.

 Sans l’islam, nous n’assisterions pas, dans certaines périphéries urbaines, à la mise en place d’une politique de Grand remplacement, de changement de peuple et de civilisation.

 Sans l’islam, Saint-Denis serait toujours la ville des rois de France.

 Sans l’islam, nos policiers ne subiraient pas une guerre quotidienne, visant à saper l’édifice de l’État français.

 Sans l’islam, nous n’aurions pas de halal dans l’armée française, ni des militaires musulmans qui refusent de se battre contre leurs frères.

 Sans l’islam, nous n’aurions pas, sur le territoire français, la mise à mort barbare d’animaux égorgés sans étourdissement (halal), qu’on laisse agoniser pendant un quart d’heure.

Sans l’islam, nous n’aurions pas l’impression, dans certains quartiers, d’avoir changé de continent.

 Sans l’islam, le Qatar ne serait pas en train d’acheter des pans entiers de la France.

 Sans l’islam, nous ne subirions pas sur les plateaux de télévision, les enfumeurs comme ce violeur de Tariq Ramadan, Malek Chebel, Dalil Boubakeur, Dounia Bouzar et bien d’autres, qui roulent dans la farine les ignorants en leur faisant le coup de la RATP.

 Sans l’islam, un Français d’origine pourrait aimer une née-musulmane sans être obligé par sa belle-famille de se convertir.

Sans l’islam, il y aurait moins de crachats sur les trottoirs, et le maire de Béziers n’aurait pas été obligé de faire un arrêté municipal pour sanctionner les fautifs.

Sans l’islam, nos médecins et l’ensemble du personnel médical ne risqueraient pas de se faire agresser par des maris violents qui refusent qu’un homme observe leur épouse.

Sans l’islam, nous n’aurions jamais subi, dans un pays laïc, des prières musulmanes sur nos trottoirs ou dans les rues, afin de marquer la volonté d’occupation de l’espace public.

Sans l’islam, les enfants juifs pourraient encore aller dans les écoles publiques en Seine Saint-Denis.

Sans l’islam, on pourrait enseigner la Shoah et parler de Charles Martel dans nos écoles.

 Sans l’islam, nous n’aurions pas d’appel au muezzin par haut parleur, comme à Nanterre.

Sans l’islam, nous n’aurions pas de revendications alimentaires dans nos cantines scolaires, dans les entreprises.

Sans l’islam, nous n’aurions pas d’accompagnatrices marquant leur religion par un voile lors des sorties scolaires.

Sans l’islam, nos enfants ne seraient pas en danger, lorsqu’ils mangent halal sans que leurs parents ne le sachent, à cause du bacille e-coli, comme nous en alerte le docteur Alain de Peretti.

Sans l’islam, il y aurait davantage de places dans nos prisons.

Sans l’islam, les Français ne connaîtraient pas la souffrance de voir leur pays défiguré…

 Sans l’islam, ils pourraient savourer les douceurs, les insouciances délicieuses et les frivolités légères qu’offre souvent la vie.

 Sans l’islam, les chers souvenirs resteraient doucement mélancoliques et ne seraient pas devenus des regrets brûlants de nostalgie et de rancœur.

 Sans l’islam, le passé ne serait pas si présent, sans l’islam, l’avenir ne serait pas si terrifiant…

 Sans l’islam, nous ne subirions pas dans la rue, les tenues guerrières des salutistes en djellaba ou en kamis.

 Sans l’islam, il y aurait beaucoup moins de bénéficiaires de la CMU et de l’AME, considérée comme une nouvelle version des razzias du 21ème siècle dans l’esprit de certains musulmans.

Sans l’islam, on pourrait consacrer davantage d’argent à nos malades et à nos retraités, sans oublier toutes les aides utiles qui font avancer une société.

Sans l’islam, nous ne subirions pas, un mois par an, le cirque du ramadan, avec le bruit, les violences et les entreprises désorganisées.

Sans l’islam, après le ramadan, il y aurait moins d’absentéisme à l’école.

Sans l’islam, nous n’aurions pas des abattoirs mobiles où les jeunes garçons prennent l’habitude de voir égorger des animaux de manière barbare.

Sans l’islam, nous n’aurions pas des clips agressifs, sexistes et racistes, de rappeurs haineux.

Sans l’islam, les sites internet ne seraient pas pollués par des messages haineux et menaçants, qui nous menacent de mort, disent qu’ils vont faire la loi dans notre pays, et que nous sommes foutus.

Sans l’islam, nous ne partagerions pas les angoisses de Michel Onfray, jugeant que dans cinquante ans, notre pays sera intégralement sous domination musulmane.

Sans l’islam, il n’y aurait plus de péril fasciste en France, et nous pourrions jouir de tous les charmes d’un pays formidable.

 Sans l’islam, nos enfants ne seraient pas confrontés à un choix terrible devenir résistants ou dhimmis, avec forcément beaucoup de dégâts dans les deux cas.

Donc…

La France ne redeviendra un pays formidable, que quand elle se sera débarrassée définitivement de l’islam…

 Faut-il avoir pitié du musulman… ?

La triste vie du musulman :

– Pas de Noël

– Pas de femmes nues

– Pas de côtelettes de porc

– Pas de hot-dog

– Pas de hamburgers

– Pas de bière

– Pas de bacon

– Des guenilles comme habillement

– Des serviettes comme chapeaux

– lls attendent constamment l’idiot qui gueule dans la tour.

– Ils ont plus d’une femme, donc, plusieurs belles-mères.

Les musulmans ne sont pas heureux :

– Ils ne sont pas heureux à Gaza.

– Ils ne sont pas heureux en Égypte.

– Ils ne sont pas heureux en Libye.

– Ils ne sont pas heureux au Maroc.

– Ils ne sont pas heureux en Iran.

– Ils ne sont pas heureux en Iraq.

– Ils ne sont pas heureux au Yémen.

– Ils ne sont pas heureux en Afghanistan.

– Ils ne sont pas heureux au Pakistan.

– Ils ne sont pas heureux en Syrie.

– Ils ne sont pas heureux au Liban.

 

Alors où sont-ils donc heureux ? :

– Ils sont heureux en Allemagne.

– Ils sont heureux en Australie.

– Ils sont heureux en Angleterre.

– Ils sont heureux en Belgique

– Ils sont heureux au Canada.

– Ils sont heureux en Suisse.

– Ils sont heureux au Danemark.

– Ils sont heureux aux États-Unis.

– Ils sont heureux en France.

– Ils sont heureux en Hollande.

– Ils sont heureux en Norvège.

– Ils sont heureux en Suède.

– Ils sont heureux au Vatican.

 

EN FAIT, ILS SONT HEUREUX DANS TOUS LES PAYS QUI NE SONT PAS MUSULMANS ET MALHEUREUX DANS TOUS LES PAYS QUI LE SONT !

ET QUI BLÂMENT-ILS POUR LEURS MALHEURS ?

– Pas l’Islam.

– Pas leurs chefs spirituels.

– Pas eux-mêmes

 

ILS BLÂMENT TOUJOURS LES PAYS OÙ ILS SONT HEUREUX !… ET ENSUITE, ILS VEULENT CHANGER CES PAYS POUR QU’ILS DEVIENNENT COMME LES PAYS D’OÙ ILS VIENNENT ET OÙ ILS ÉTAIENT MALHEUREUX.

Excusez-moi, mais la question mérite d’être posée : le Coran brûle-t-il les neurones ?

Martin Moisan