Ce pourrait être une histoire belge. Mais ce n’en est pas une. Un converti belge voulait créer un « village écomusulman » en Afrique. Quand on lui demanda ce qu’il entendait par ce terme, il répondit écologie + islam. Le mariage de la carpe et du lapin. Comme si les genristes farfelus aux mœurs dissolues et le sévère salafisme pouvaient fusionner.
Un instable extatique devenu pousse-au-crime
Jean-Louis Denis, 49 ans, est le fils d’un Albanais mahométan et d’une mère flamande dame-pipi. Il n’y a pas de sot métier. Élevé dans une caravane, il arrête l’école comme Greta, quasiment analphabète, et devient vendeur de hamburgers (pas hallal, trop la honte !) autour du stade de football d’Anderlecht.
Devenu dépendant au jeu et à l’alcool (horreur, quelle impiété !), cet errant apparaît déguisé (comme le grand courageux qu’il est !) pour témoigner sur France 2 dans une émission de feu Jean-Luc Delarue consacrée à l’addiction au jeu. Il ne sait pas encore que Allah a dit : « Le vin et les jeux de hasard, ne sont qu’une abomination, œuvre du Diable. Écartez le Diable qui veut se jeter parmi vous, à travers le vin et les jeux de hasard. »
Marmiton dans une brasserie d’Ixelles (qui sert de l’alcool et du cochon, quel cauchemar !) il sympathise avec un plongeur mahométan en apnée métaphysique, qui lui rappelle ses origines et le pousse à prononcer la chahada. Qui n’est pas une danse brésilienne comme croient beaucoup de petits Belges.
Dès lors, avec l’ardeur des néophytes (on dit nez aux frites en Gelbique) il se pique de convertir la terre entière. En commençant modestement comme prédicateur de rues. Ce n’est pas interdit. Les « Jéhovah » le font bien. Mais lorsqu’il devient le caïd de la fraction bruxelloise de l’armée salafiste Sharia Belgium, il intéresse la police.
Recruteur pour Daech
L’organisation Sharia Belgium, opérant depuis Anvers, prône l’instauration d’une république islamique soumise à la charia en Belgique. Considéré comme un groupe terroriste par la justice, Sharia Belgium aurait favorisé le départ pour le Proche-Orient de plusieurs dizaines de moudjahidines enrôlés chez Daech.
Personnage exalté, Dini al Islami, comme l’appellent ses coreligionnaires, prêche le djihad dans les mosquées. Mais pas que… Il est arrêté à Médina Molenbeek en 2012 lors d’émeutes ayant pour prétexte le contrôle d’identité d’une femme en burqa. Avec son compère Fouad Belkacem, alias Abu Imran, il hurlait à qui voulait l’entendre que « les serviteurs du diable » qui avaient contrôlé la bâchée, « voulaient faire la guerre aux musulmans ».
Ce ne sont que broutilles. En 2013 il est condamné pour avoir endoctriné et recruté de jeunes mahométans, Belges d’importation, pour aller combattre en Syrie. Son zèle missionnaire lui vaut de passer cinq ans enfermé de 2013 à 2018 (condamnation à 10 ans, réduite de moitié) dans la partie spéciale de déradicalisation de la prison de haute sécurité d’Ittre. Un séjour à l’ombre qui, loin de le calmer, semble avoir exacerbé ses délires extrémistes.
Pas d’autre alternative pour les infidèles que la conversion ou la mort !
Depuis sa libération, cet exalté, qui ne travaillait plus que du chapeau, se faisait entretenir par sa mère miséreuse, à Londerzeel en Flandre.
La chaîne française RMC Story s’est emparée du personnage. Mythomane comme beaucoup de trublions de son espèce, il prétendait que les services secrets voulaient le recruter. En fait, les flics espéraient faire un indic de ce « prêcheur » mouillé dans toutes sortes de trafics sous couvert de religion. Ce genre de bons clients fait toujours de l’audience. Leur coté folklo booste l’audimat. Surtout quand ce sont des filles qui veulent se faire sauter. Avec une ceinture d’explosifs.
En décembre 2019, la bourgmestre de Médina Molenbeek publie une ordonnance lui interdisant le territoire de sa commune. Elle justifie : « Cet individu n’a rien à faire ici. Il continue à tenir des propos haineux dont il faut protéger nos jeunes. Vu son passé d’agitateur, je prends mes responsabilités afin d’éviter de nouveaux troubles à l’ordre public. »
Un exil qui n’est pas bénin
Les pratiques religieuses de Sidi Dini sont très proches de celles du groupe terroriste État islamique. L’Afrique offre un champ immense de conversion aux prédicateurs mahométans les plus radicaux. Entre promesses, aides, cadeaux, menaces, violences, crimes, tout est bon pour imposer leur foi.
Au Bénin (ancien Dahomey) essentiellement chrétien et animiste, il masquait ses véritables activités en prétendant développer un projet nébuleux d’agriculture et de permaculture en terre d’islam. Car il ne doute pas de convertir toute la population…Voici un échantillon de sa propagande offrant des livres écrits en arabe classique à des gens qui, comme lui, peinent à déchiffrer le franco-belgicain.
https://www.youtube.com/watch?v=x26lyVYUG4c
Pas si vite Pépère !
Début février 2023, il est arrêté pour excès de vitesse à Tourou, près de Parakou au Bénin. Présenté sans délai à un procureur spécial chargé des affaires de terrorisme, le personnage, qui n’est pas inconnu des juges, est incapable d’expliquer les raisons de sa présence et comment il entendait financer son « village écomusulman». Devenu sperma culture dans les médias locaux !
Méfiante à l’égard d’un séditieux déjà condamné à dix ans de prison pour le recrutement de djihadistes armés, et constatant qu’au Bénin il se livre à une intense propagande salafiste, la Cour de répression du terrorisme décide le 5 février de l’expulser immédiatement et de le renvoyer faire le chou à Bruxelles. Une histoire sans fin. Car il est bien connu que ces gens-là, tu les vires par la porte, ils reviennent par la fenêtre. Et si la fenêtre est fermée, ils passent par la cheminée comme le Père Noël. Ou par les égouts comme les rats.
Un Noir peut-il être raciste contre d’autres Noirs ?
Avec les Peuls, la réponse est oui. Ces bergers nomades à l’origine, devenus guerriers, pillards et esclavagistes, fondèrent un empire de prédation, asservissant pendant des siècles la plupart des tribus d’Afrique de l’Ouest. Leur conversion massive à l’islam ne les a pas calmés, bien au contraire… Sauf pendant la période coloniale. Mais depuis les indépendances, ils tentent par mille et une manières, de restaurer leur prééminence.
Au Bénin, les « bonnes âmes » craignent que la lutte anti-djihadiste stigmatise les Peuls. Surtout pas d’amalgame, on a déjà entendu ça quelque part. Or, à l’instar d’autres États du golfe de Guinée, le Bénin est touché depuis quelques années par une multiplication des attaques terroristes dans la zone qui jouxte les frontières avec le Niger et le Burkina Faso.
Ainsi, en mai 2019, une intrusion djihadiste enlève et retient deux Français dans le parc national de la Pendjari. Même si les otages sont libérés par une intervention de forces françaises, cet événement confirme la présence de groupes djihadistes qui rackettent, terrorisent et pillent les villageois. Au moment où le président béninois, Patrice Talon, ambitionne de développer le tourisme dans son pays dont les plages ourlées de cocotiers, vantées par Trip Advisor, peuvent prétendre concurrencer celles de bien d’autres pays tropicaux.
Le 12 avril 2022, cinq militaires béninois sont tués et un autre grièvement blessé lors d’une attaque terroriste survenue dans la zone de Pendjari, à la frontière avec le Burkina Faso. Dini Al Islami, qui a voyagé dans tout le pays au cours des derniers mois, aurait, selon des sources au sein des services de sécurité, servi d’informateur et de recruteur pour des organisations terroristes.
Un projet d’allure caritative, mais qui finance sa couverture ?
Après ses démêlés avec les maires de Molenbeek et de Vilvorde, Dini al Islami avait repris ses activités de colporteur en offrant des livres dans la rue et en vantant son projet de « Hijra Permaculture autonomie » à « ceux qui se sentent prisonniers des griffes du monde occidental et sont devenus esclaves des incroyants ». Et c’est au Bénin, un pays chrétien, mais où les gens sont tolérants, qu’il avait prévu de s’implanter.
Les activités africaines du militant salafiste avaient déjà attiré l’attention des services antiterroristes de plusieurs pays. Mais après son expulsion, « Dini » a accusé les Belges d’être à l’origine de l’échec de son « projet humanitaire » en ayant livré des informations tendancieuses aux autorités béninoises.
Selon le quotidien de gauche De Morgen, Jean-Louis Denis disposait du soutien de quelque deux cents sympathisants et aurait réuni environ 10.000 euros avant de partir en prospection au Bénin. C’est sans compter avec les soutiens des monarchies et émirats pétroliers. Qui condamnent vertueusement le terrorisme afin de ne pas gâcher leurs relations économiques avec l’Occident qui leur vend des armes… Mais « encouragent » toutes les initiatives de diffusion de la religion de leur prophète, friand de gamines prépubères.
Pour Pieter Van Ostaeyen, spécialiste belge du terrorisme et professeur à l’Université catholique de Louvain, les vidéos diffusées par l’intéressé depuis l’Afrique « dégagent la même ambiance que les premières images de l’État islamique, qui n’évoquaient que des actions caritatives ».
Convaincre si possible de leurs bonnes intentions. Pratiquer la taqiya. Et éviter les provocations. Jusqu’à ce qu’ils soient assez forts pour ne plus avoir besoin de cacher leurs intentions et pouvoir agir au grand jour. Un grand classique depuis quatorze siècles. Qui n’a pas changé, à part de menues adaptations locales. Aussi, seule une intense corruption peut expliquer la cécité des « zélites » françaises et européennes.
Christian Navis
Une cartouche coûte moins cher que tous ces proces, ces expulsions, ces simagrées….
Fils d’un koranik, peut-on dire qu’il est “converti” ? Sa mère doit l’être, pour avoir épousé le père. Mais il n’est pas né chrétien. Ca serait étonnant.
Un mahométan peut parfaitement épouser une chrétienne ou une juive. Elle n’est pas obligée de se convertir. Leur pédo prophète a montré l’exemple.
Quant aux Albanais qu’on récupère, la plupart ne sont pas des fanatiques de la religion.
” Aussi, seule une intense corruption peut expliquer la cécité des « zélites » françaises et européennes. ”
Cette dernière phrase résume à elle toute seule, le gros problème, et c’est un euphémisme, que constitue le NAZISLAM !!!
Bien-sûr qu’ils, les politiques, SAVENT ce qu’est le NAZISLAM !!
Et cette corruption date de l’ère “giscard destaing” l’ordure !!
La date : le 07 juin 1975 … signature du traité EURABIA …
Pour ceux qui le découvre, Alain WAGNER décrit bien les principaux événements ici, fin 2016, au micro de Radio-Courtoisie :
https://www.youtube.com/watch?v=qj9qg7Gylh4
J’ai pris cette vidéo-là de par les sous-titres en anglais, permettant une diffusion bien plus importante autour de la France …
Encore un à rajouter sur la liste (déjà longue) des “coupables” tôt de bon matin…
Et lui il ira à la bascule à Charlot sans verre de gnôle ni p’tite clope, ça sera plus rapide !