
Islam et djihâd sont indissociables. Il est indispensable de comprendre que sans djihâd il n’y pas d’islam. Le djihâd est l’âme satanique de l’islam, son centre autour duquel tourne toute son idéologie et toute sa dangerosité. En dehors de l’utilisation et de l’interprétation souvent fallacieuse des textes du judaïsme et de la chrétienté la seule nouveauté du Coran, son seul nouveau message, n’a rien de religieux, rien de spirituel, comme nous pourrions l’espérer d’un livre dont l’auteur est supposé être Dieu, mais tout de conquérant, de sanglant, de guerrier, de destructeur et d’obligatoire. A l’aide de la taqiya – mensonge légal dans l’islam – les imposteurs utilisent tous les artifices pour cacher cette sanglante vérité. Oui, le premier message du Coran, le plus important, le plus incontournable et le plus dangereux, se résume à l’obligation permanente pour tous les musulmans valides, de toutes les époques, de faire dominer l’islam par la force, la ruse, le mensonge, le crime, le terrorisme, l’assassinat, par tous les moyens, par toutes les violences et de participer à la réalisation du criminel djihâd, à la destruction de tout ce qui n’est pas l’islam et à l’élimination physique de ceux qui osent résister et refusent de se soumettre à son idéologie obscurantiste. Il n’est pas question dans le djihâd de foi ou de vertu : seuls les actes priment. Il y a dans le Coran plus de 120 versets qui imposent le djihâd à chaque musulman. Une domination qui se veut universelle, avec de faux prétextes et un faux nez de religiosité. En dehors de la criminelle obligation du djihâd, le Coran n’a aucun autre nouveau message ni aucune spiritualité qui n’aient déjà été plus profondément et plus clairement formulés dans les textes des juifs et des chrétiens.
Mahomet affirmait : “J’ai reçu ordre de mener la guerre contre les hommes jusqu’à ce qu’ils attestent qu’il n’est pas d’autre dieu qu’Allah, que Muhammad est l’envoyé d’Allah, qu’ils accomplissent la prière et qu’ils versent l’aumône (…) (Bukhari, sahîh 2/17).
Depuis son origine, l’islam a déclaré au reste de l’humanité une guerre universelle perpétuelle divisant le monde en dar al-islam – maison de l’islam – et en dar al-harb – maison de la guerre – également qualifiée : terre du djihâd. Le Coran ne cesse de répéter que le djihâd est un devoir sacré pour chaque musulman, une obligation religieuse, un ordre impératif d’Allah, qui absout tous les crimes commis au nom du djihâd et affirme que la plus haute dignité à laquelle un musulman peut prétendre est de pourchasser, de se battre et de tuer les ennemis de l’islam, ou de les convertir à la Loi d’Allah. Pour ne pas troubler le public occidental, les sournois imams osent prétendre que le djihâd n’a qu’une vocation défensive et qu’il ne saurait être offensif. Pour d’autres désinformateurs, le djihâd qualifié de grand djihâd ne serait qu’une guerre intérieure personnelle. Evidemment, le message coranique ne va pas du tout dans ce sens, il en est même l’inverse. En réalité, si le terme djihâd est communément interprété comme d’essence guerrière, c’est bien parce que cette composante est de loin la plus répandue et celle à laquelle le Coran et les hadiths font le plus souvent référence. 97% des emplois du terme djihâd dans le Coran et dans les hadiths font référence à la guerre et aux crimes qui en découlent. En se basant sur la vie de Mahomet, on constate que toutes les razzias qu’il a menées ainsi que toutes celles de ses successeurs étaient bien des guerres de conquête sans aucun caractère défensif. Des siècles d’histoire de l’islam confirment l’omniprésence du djihâd à toutes les époques. Le petit djihâd, celui de la conquête, est en fait le seul qui compte, et pour ceux qui ne veulent pas comprendre il est aussi appelé djihâd al-sayf : l’effort du Sabre ! Toute autre interprétation n’est que mensonge, enfumage et taqiya islamique.
“Les docteurs autoproclamés de la religion musulmane pratiquent universellement un enrobage mielleux pour camoufler la vaste escroquerie de l’islam. Ils affirment haut et fort l’importance d’accepter les choses sans discuter, dénigrent la raison, alternent la carotte et le bâton et exigent une soumission inconditionnelle en contrepartie de la promesse du bonheur et du salut (…) Tu utilises le djihâd de l’épée si tu peux, ou sinon le djihâd soft puis tu dégaines le sabre pour terminer le boulot. Et surtout, n’oublie pas : “La fin justifie les moyens” (…) Les apologistes de l’islam n’exposent jamais la vérité nue de l’islam. Ils ne mentionnent jamais cet islam qui se nourrit de haine, jette de l’acide au visage des femmes qui ont omis leurs voiles et aux fillettes sur le chemin de l’école, fouette ceux qui arborent des coiffures non-islamiques, lapide à mort ceux qui dévient de ses normes sexuelles et toutes ces sortes d’atrocités comme les crimes d’honneur. Ils ne disent jamais non plus que la pédophilie est institutionnalisée par l’islam” (Amil Imani, article du Post, le 28/11/2011).
Nous trouvons dans le terme djihâd une autre notion moins connue : le qital, de la racine Q-T-L, qui veut dire tuer. Ce terme technique désigne le combat et le pillage qui est mentionné quarante et une fois dans le Coran. La sourate 47 est appelée soit Mahomet, soit Qital. La proximité de ces deux titres possibles ne laisse aucun doute quant à la nature guerrière de Mahomet et de celle du Coran.
“Si une foi ou une croyance n’est pas irriguée par le sang, elle ne pousse pas. Les principes se renforcent par les sacrifices, les opérations suicide et le martyre pour Allah. C’est en comptant quotidiennement les morts, en additionnant les massacres et les charniers que la foi se propage.” (Ali Benhadj, fondateur du Front Islamiste du Salut, FIS Algérien, disciple des Frères Musulmans).
Pour le juriste syrien Ibn Taymiyya, le djihâd est plus important que la prière puisque le djihâd est l’acte de foi le plus méritoire, le plus gratifiant et le plus incontournable pour chaque musulman. S’il existe de multiples dérogations possibles dans la pratique des piliers de l’islam – la prière, la zakat (l’aumône, uniquement autorisée entre musulmans), le jeûne (ramadan), et le pèlerinage à La Mecque – par contre, il n’existe aucune dérogation pour la pratique du djihâd qui de ce fait est la prescription la plus importante du Coran. La seule qui soit une obligation incontournable pour tous les musulmans de tous les temps, et en tout lieu. En réalité le djihâd est le premier pilier de l’islam – pilier caché, taqiya oblige. Le centre, l’âme, la véritable raison de cette idéologie conquérante.
“Juridiquement, d’après la doctrine classique et dans la tradition historique, le djihâd consiste dans l’expansion de l’islam et éventuellement sa défense (…) Le djihâd est une obligation. Le précepte est proclamé dans toutes les sources” (E.Tyan, Encyclopédie de l’Islam II, p. 551-3.). Cette volonté permanente de domination universelle est un des nombreux points que le communisme, le nazisme et l’islam ont en commun. L’islam est de très loin la plus dangereuse de ces trois idéologies destructrices. La plus perverse, la seule qui ait osé prendre Dieu comme complice pour justifier ses crimes permanents. C’est également la principale raison de sa longue survie. L’islam porte en lui tous les ferments nauséabonds du nazisme et du bolchevisme, laissant même paraître ces deux derniers comme plus humains.
“L’islam n’est pas une religion ordinaire comme les autres religions dans le monde, et les pays musulmans ne sont pas comme les autres nations. Les nations musulmanes sont très spéciales, car elles ont reçu d’Allah l’ordre de gouverner le monde entier et d’être supérieures à toutes les nations du monde (…) Le but de l’islam est de dominer le monde entier et de soumettre l’ensemble de l’humanité à Allah. L’islam combattra et détruira toute nation ou puissance dans le monde qui tentera d’entraver cet objectif. Pour atteindre son objectif, l’islam peut utiliser tous les moyens disponibles pour apporter la révolution dans le monde entier. C’est le djihâd” (Le djihâd dans l’islam, d’Abou al-Maududi, fondateur du Jamaat-e-Islami au Pakistan).
En France, tous les défenseurs de l’islam à l’instar de l’apôtre de l’islamisme en Occident, le petit fils d’Hassan al-Banna à l’origine de la sulfureuse secte des Frères Musulmans, l’hypocrite et cynique caméléon en chef Tariq Ramadan et ses nombreux clônes, tous aussi sournois et menteurs, comme Malek Chebel, Tareq Oubrou, Abdennour Bidar, Dalil Boubakeur, Mohamed Mousaoui, Camel Bechik, Houria Bouteldja, Dounia Bouzar, Kamel Kebtane, Abdallah Zekri, Haoues Seniguer, Abdelaziz Chaambi, Farida Belghoul, Hassen Chalghoumi, et de nombreux autres désinformateurs, sont tous des djihâdistes coraniquements assermentés, qui ne rêvent que de voir leur criminel islam dominer l’humanité. Tous sont des manipulateurs, des professionnels du double langage, des illusionnistes passés maitres dans l’art de faire passer les ténèbres pour de la lumière, l’agresseur pour la victime, le véritable haineux comme celui qui est détesté à tort. Tous utilisent l’islam et son Coran pour ce qu’ils sont : une arme de combat politique, une arme de conquête et de destruction dont l’unique objectif est la victoire de l’islam par tous les moyens, même les plus inadmissibles.
Le djihâd ce n’est pas seulement l’horreur du sang qui coule, c’est également en Occident l’utilisation de la taqiya et de toutes les fourberies disponibles pour faire avancer l’islam politique quand les musulmans ne peuvent pas l’imposer par la contrainte et la violence. Le djihâd c’est aussi les écoles coraniques, les prières publiques, les prénoms, le ramadan et tout ce qui est du grignotage de notre société pour imposer l’islam, petit à petit, le rendre incontournable et à terme le substituer à nos valeurs pour imposer la malsaine et liberticide Charia. Conscient ou inconscient, chaque défenseur de l’islam, chaque prosélyte, chaque femme voilée, chaque barbu en chemise de nuit ou pas, chaque supporter algérien, chaque émeutier dans les récentes manifestations de Barbès ou de Sarcelles, sont tous des djihâdistes visibles en action, de bons fanatiques soldats d’Allah enrégimentés et enfermés dans la caserne islam. L’islam est incapable de répondre autrement que par le mensonge, la haine, la violence, le crime, à la réalité de la vie et à celle de la civilisation Occidentale.
Il devient urgent, très urgent, que tous ensemble nous prenions conscience de la satanique dangerosité de l’islam et que tous ensemble nous empêchions cette idéologie politique totalitaire, fasciste, raciste et criminelle – véritable définition de l’islam – de continuer à nuire et à semer le désordre et la peur sans réagir, ou si peu. Il est temps de reprendre notre destin en main et de dire NON à l’islam. Il est temps de faire interdire la vente et l’enseignement du Coran responsable de toutes les horreurs commises quotidiennement depuis 14 siècles en son nom. Il est temps de poursuite le Coran devant les tribunaux et de le faire condamner. Il est temps de fermer les mosquées ces temples où la haine islamique et le djihâd se propagent. Interdire également la criminelle viande halâl – scandale plus important que celui du sang contaminé au début des années 80 – qui fait une centaine de morts, surtout des enfants, chaque année en France. Combien dans le monde ? Interdire enfin l’islam qui n’est une religion que pour les ignorants, les pervers et les malades mentaux.
L’islam affirme que le djihâd ne s’arrêtera que lorsque le dernier non musulman sera converti ou éliminé physiquement. A nous de le comprendre et de ne plus nous faire d’illusion, ni de rêver à une entente coraniquement impossible entre le monde musulman et le reste de l’humanité… avant que le sang ne coule.
L’islam peut se résumer par un seul synonyme : DJIHÂD
Hubert Lemaire