Du sursaut de Clichy au raz-de-marée de Varsovie : un même refus de l’islam !
Depuis plusieurs semaines, j’avais décidé de me rendre, en compagnie d’amis patriotes, de Riposte Laïque, Résistance républicaine et d’autres mouvements, en toute discrétion, à Varsovie, pour voir de mes propres yeux la réalité polonaise, à l’occasion de la Fête nationale du 11 novembre.
C’est depuis l’aéroport que j’ai suivi les événements de Clichy, le vendredi 10 novembre, à partir de 12 h 30. Rappelons que depuis 8 mois, les musulmans locaux, avec une rare indécence, malgré les crimes commis par leurs coreligionnaires, imposent leurs prières illégales à la municipalité et à l’Etat.
Une provocation qui n’aurait pas dû durer plus de quelques secondes, dans un Etat digne de ce nom, où les délinquants auraient dû être chargés, arrêtés et expulsés immédiatement du pays. Car tout de même, il y a deux ans, des ordures musulmanes assassinaient sauvagement 130 innocents au Bataclan, et allumaient à la kalachnikov des terrasses de café parisiennes. Mais dans la France de Macron, au nom de la laïcité, on veut faire couper la croix de la statue de Jean-Paul II à Ploërmel, on veut interdire à Robert Ménard de faire une crèche dans sa mairie. Par contre, on fout une paix royale à des musulmans qui bafouent nos lois, et nous confirment leur volonté d’islamiser notre pays et d’y imposer la charia.
Il y a 8 jours, nous eûmes un premier soubresaut, avec la venue d’une dizaine de militants de Forces Laïques, derrière Laurence Taillade. Et, ce vendredi, ce furent une centaine d’élus LR, derrière le maire, qui provoquèrent l’événement, se faisant bien évidemment insulter par les islamo-gauchistes collabos de service, mais aussi par Le Parisien, Le Point et Libération, qui osèrent leur reprocher d’avoir perturbé la prière (juste illégale) des paisibles musulmans.
Peu importent nos réserves sur Forces Laïques, sur Pecresse ou sur LR, l’essentiel est que ces initiatives aient eu lieu, et qu’elles soient sur le devant de l’actualité. Bien évidemment, tout au long de la semaine, nous allons suivre de près la suite des événements, et sommes prêts à appeler nos lecteurs, s’il le faut, à venir nombreux à Clichy, vendredi prochain. Et nous allons nous occuper des collabos les plus en vue, lors de ce vendredi de Clichy, et notamment de celle-là…
Mais je l’avoue, j’étais surtout mobilisé sur Varsovie, où je tenais compagnie à Pierre et Christine, qui avaient tenu à faire le déplacement. Ce que j’ai vu, durant l’ensemble du week-end, m’a donné confiance en une Europe éternelle, fière de son identité, de son Histoire, de ses traditions (catholiques en Pologne).
Imaginez, en ce 11 novembre, un peuple entier, mobilisé dans tout le pays (les cérémonies les plus importantes se tenant à Cracovie). Songez à ce que serait, en France, à Paris, la manifestation considérée comme la plus radicale, à l’appel de Génération Identitaire, par exemple, avec, dans les rues, des dizaines de milliers d’enfants, de jeunes, majoritaires dans le cortège, de couples, de femmes, mais aussi des personnes âgées, crier leur amour de leur pays et de leur civilisation, sans qu’aucun groupuscule de gauche ou d’extrême gauche ne vienne perturber la fête.
Imaginez cela, dans un pays comme la France, où on se fait traiter de fasciste quand on déploie un drapeau bleu blanc rouge, quand on chante La Marseillaise, quand on refuse l’invasion de son pays, son islamisation, ou quand on défend son héritage culturel et historique.
Et là, à Varsovie, pendant des heures, nous en prenions plein les yeux, plein les oreilles, et émerveillés de ce que nous découvrions : le berceau de l’Europe, l’âme de la Résistance aux élites européennes, le coeur d’un peuple qui ne veut pas mourir, et qui le montre à ceux qui rêvent de lui faire subir le sort des pays occidentaux.
Ecoutez, à travers les slogans repris par des milliers de Polonais, la ferveur des manifestants (vidéo 1′).
Songez à l’image de ce peuple ethniquement homogène, où aucune diversité ne vient troubler les cérémonies. Bien évidemment, pas une seule trace de l’islam, de voilées, de djellabas, de crasseux gauchistes sur le parcours. Une manifestation qui rappelait l’organisation parfaite des rassemblements de LMPT, mais avec un public bien plus jeune, et surtout bien plus dynamique (vidéo RR 5′).
Nous avons rencontré une équipe de TV-Libertés, ainsi que le correspondant du journal “Présent”. Pierre et Christine furent sollicités pour des interviews, ce qu’ils acceptèrent avec plaisir.
Les Polonais ne veulent pas d’envahisseurs étrangers, venus d’Afrique, porteurs d’une autre culture, d’une autre religion, et d’une autre civilisation. Ils ne veulent pas entendre parler de l’islam. Et ils le disent sans le moindre complexe. Nous nous en sommes rendus compte, en voyant leur réaction devant les autocollants RL-RR qu’avaient affiché sur leurs blousons une dizaine de manifestants français. Beaucoup de marcheurs polonais vinrent féliciter les Français, et furent ravis de se voir offrir quelques-uns de ces “stickers” qu’ils utilisèrent au mieux.
Il y eut, dans les rues de Varsovie, sous un froid assez vif, entre 80.000 et 100.000 manifestants. Des contacts polonais, grâce à l’entregent de Tatjana Festerling, nous permirent de mieux comprendre l’âme d’un peuple qui, fréquemment envahi, pris en tenailles il y a bientôt 80 ans entre l’Allemagne nazie et l’URSS stalinienne, a toujours su préserver son âme. Ils ont connu le communisme durant plus de 40 ans, et tiennent trop à leur liberté pour accepter que les disciples d’Allah et autres “migrants qui fuient la guerre” ne viennent contester leur mode de vie. Peu importent que nous puissions avoir une vision différente sur des questions sociétales, l’essentiel n’est pas là, il faut d’abord sauver la civilisation.
Ajoutons que, contrairement au cloaque qu’Hidalgo fait de Paris, la capitale polonaise est propre, aucun mégot n’est écrasé par terre, aucune crotte de chien. Ce sont des Polonais qui balaient les routes, qui servent dans les cafés ou dans les restaurants, et officient dans les hôtels.
Un week-end complet, qui a galvanisé l’ensemble des Français présents à l’événement, et leur a confirmé, quelles que soient les trahisons des dirigeants occidentaux, que l’âme de l’Europe ne disparaîtrait jamais.
Je n’ai pas vu un musulman du week-end, dans une grande ville européenne, et cela fait du bien. A Peine descendu de l’avion, et rentré dans l’aéroport, je tombais nez-à-nez avec une grosse voilée adipeuse…
J’ai compris que j’étais de retour en France, et que ce que j’avais vu durant un week-end, c’était cela, mon pays, jusqu’en 1970.