Du zéro à l’infini

Les Arabes, dit-on, ont inventé le zéro, et ils en sont restés là, depuis près de 1 500 ans.
Certes on peut compter quelques personnalités qui ont marqué l’Histoire, tels Soliman le Magnifique, Averroès, Oum Kalsoum, Saladin… au XIIe et XVe, du temps où l’Islam illuminait le monde. Et depuis ? Rien ou presque rien.

On nous rebat les oreilles avec des clichés éculés « islam, religion de paix et de lumières », répétés à l’envi comme par exemple au lendemain du massacre perpétré dans les locaux de Charlie Hebdo, par notre ancien ministre de la Culture, sans doute atteint d’une bouffée délirante et d’un amour inconsidéré, démesuré, aveugle, pour l’Islam.

La paix, parlons-en. Le prophète Mahomet, fondateur de la religion musulmane a été,  en 570 après J.-C., un conquérant, un politique, un administrateur et surtout un guerrier, initiateur d’une doctrine guerrière, le djihad, la guerre sainte, afin de propager et d’imposer la religion musulmane aux mécréants.
Depuis la mort du prophète, l’Histoire nous conte tous les méfaits, les homicides, les massacres commis au nom de l’islam.
Quant aux lumières, parlons-en,  car il y a bien longtemps qu’elles sont éteintes. L’islam est plus qu’une religion, un credo, mais une doctrine et un code de bonne conduite qui détermine la vie de tout musulman.
Mais alors pourquoi au XXIe siècle, sous couvert d’être une religion de paix, l’islam se révèle-t-il être un système de conquête, de propagande, d’endoctrinement, au  point de favoriser et d’encourager les crimes, les attentats contre les mécréants, c’est-à-dire contre tous ceux qui ne sont pas musulmans ?

Hormis les pays du Golfe, qui se sont enrichis grâce à la manne pétrolière, et qui ont  appris à gérer et à faire fructifier leurs capitaux, la plupart des pays musulmans vivent plus ou moins dans la misère, dans des chicaneries sans fin, des querelles byzantines stériles, des luttes intestines et fratricides.
La majorité de ces États, nouvellement indépendants, survivent péniblement, traversés de périodes d’instabilité, de coups d’État, de révolutions plus ou moins larvées, de dictatures camouflées en démocraties new look.

Après bien des vicissitudes, des drames, des tentatives de communion, beaucoup de ces territoires se révoltèrent contre leur émancipateur à l’aide d’une puissante doctrine, l’islam.
Mais pourquoi ces populations vivent-elles aujourd’hui dans un climat d’hostilité, d’inimitié, voire de haine à l’encontre des mécréants, c’est-à-dire des juifs et des chrétiens ?

Sans mener d’études psychanalytiques, d’explications sociologiques et de commentaires historiques, il semblerait que le monde musulman veuille prendre sa revanche contre l’Occident.
Depuis les Xe, XIIe siècles, nous avons été confrontés au monde islamique. On ne peut passer sous silence les conflits et les affrontements avec les Barbaresques, les Maures, les Sarrasins qui écumèrent la Méditerranée pendant des années, et qui, à maintes reprises, pillèrent nos côtes et tentèrent de nous soumettre.

Certes, il ne faut pas oublier les croisades qui laissèrent durant des siècles des blessures et des ressentiments.
Puis vint la période des colonisations, où Français, Allemands, Anglais, Belges… se heurtèrent aux  autochtones et à leur civilisation.

À des degrés divers, rancune, animosité, hostilité, ont pris naissance chez nos anciens colonisés. Nous reprochant de les avoir réduits en esclavage, d’avoir détruit leur civilisation et d’avoir pillé leurs richesses.
Sans entrer dans cette polémique des bienfaits et des méfaits de la colonisation, on ne peut que reconnaître la férocité de certains musulmans qui nous pourchassent de leur vindicte, obnubilés par leur idée de vengeance. Ils veulent  prendre leur revanche sur leur histoire ponctuée de passéisme, de fatalisme, de fanatisme. Raisonnement simpliste mais pourtant véridique tant les faits sont probants.

L’islam nous a déclaré la guerre et malgré les dénégations de certaines personnes atteintes de cécité, ou de crétinisme congénital, on perçoit les prémices d’un  cataclysme où des communautés vont s’affronter.
La doctrine islamique voudrait non seulement châtier les coupables, mais tout faire pour les dominer. Pour ce faire, la stratégie est simple : il faut occuper le terrain, ne rien négliger, prôner des revendications à caractère religieux, inlassablement revenir sur ces exigences, se distinguer du reste de la population en arborant des tenues vestimentaires marquant leur identité (et qui n’ont strictement rien à voir avec le Coran). Les musulmans se  servent de ces accoutrements (voile, niqab, burqa, burqini) pour tester ou provoquer les pouvoirs publics, le peuple de France en affirmant leur différence. C’est une façon de nous blesser, de nous offenser.

C’est là le nœud du problème. Nous avons lamentablement échoué dans nos politiques d’intégration et d’assimilation. Nombre de musulmans refusent et réfutent notre civilisation judéo-chrétienne, nos lois, nos traditions. Aujourd’hui, notre incommensurable mansuétude se heurte à des problèmes insolubles : comment interdire ces déguisements qui ne sont que des bravades.

Comme d’habitude, nos gouvernements sont incapables de résoudre ces questions : interdiction dans les lieux publics, mais acceptation  dans les facultés, interdiction lors de la pratique de sport, mais consentement si un chef d’établissement est d’accord. En outre, la consommation de viande pose problème, car les musulmans nous ont imposé de supprimer la viande de porc dans les cantines, les hôpitaux…

Dans tous les domaines, dans tous les secteurs, nous baissons les bras, par couardise, lâcheté, et les interventions de quelques humanistes progressistes qui prônent une civilisation multiculturelle, multiconfessionnelle, ne font qu’aggraver une situation explosive. Quant à notre brillantissime Président, il semble atteint d’un aveuglement total et se révèle être aboulique, mou, velléitaire.

C’est le bazar le plus complet. D’une civilisation arabe musulmane égale à zéro, nous aboutirons à un infini crétinisme.
Incapables que nous sommes de protéger notre civilisation et de mettre un terme définitivement aux exigences de l’islam : du zéro à l’infini de notre stupidité (le mot est un peu faible).

Yves Rectenwald