Églises catholiques profanées et silence complice de l’Église

6 juin 2023 : Un immigré vandalise l’église Saint-François-Xavier, cinq statues brisées (Màj : le profanateur récidive trois mois après). Ce fait s’inscrit dans une longue liste. Les lieux de culte, les édifices, les cimetières, les sépultures catholiques sont régulièrement attaqués ou profanés.
En 2008, 275 lieux de cultes catholiques ont été vandalisés, 146 cimetières et 129 églises et chapelles.
En 2009, 389 lieux de cultes, 180 cimetières et 209 églises ou calvaires.
Ces chiffres sont en constante progression. Voici quelques exemples.

Saint-Loup dans le Jura : croix renversées et souillées de symboles nazis au sanctuaire dédié à la Vierge Marie.
Hénin-Beaumont dans le Pas-de-Calais : tombes et chapelle vandalisées.
Valenciennes dans le Nord : statues arrachées dans l’église Saint-Géré.
Pouan-les-Vallées dans l’Aube : lustres réduits en miettes et chemin de croix incendié à l’église Saint-Pierre, classée et datant du XIIIe siècle.
Nîmes, octobre 2011 : Des chrétiens sont attaqués lors d’une procession, pendant la traversée d’une “cité”.
Dijon, septembre 2012 : Des chrétiens sont attaqués en pleine messe à l’église Élisabeth de la Trinité. Des « jeunes » d’origine maghrébine, de 8 à 12 ans, ont lancé des marrons et des pierres contre le patio et les vitres.
Lencloître dans la Vienne, 29 juillet 2023 : l’église du XIIIe siècle, classée monument historique, est la cible d’actes de vandalisme.
Rabastens dans le Tarn, 18 juillet 2023 : une statue de la Vierge vandalisée.

Les messages sont explicites. Strasbourg, église Saint-Florent, 14 octobre 2010, on peut lire, tagué à l’encre noire : « La croisade pour la terre sainte Islam » « Jérusalem aux musulmans ».
Église de la ville de Chassieu, nuit du 21 au 22 septembre 2012 : les auteurs du tag écrivent en orange : « L’islam monte en puissance » « M. Merah » le nom du terroriste, idole des banlieues.
Lillebonne en Seine-Maritime, 16 janvier 2014 : les habitants découvrent avec consternation des inscriptions sur les portes de l’église : « Satan est en enfer » Adam et Ève la honte de la France »
et autres grossièretés du même acabit.

Toutes ces profanations et vandalisations de sites chrétiens restent souvent inconnues des Français car médias et politiques s’en tiennent à un silence assourdissant. Les chrétiens, c’est la France rance et moisie qui n’a que ce qu’elle mérite. Les responsables français, comme européens, ont décidé de renoncer à défendre leur population et le christianisme. Ils appliquent la politique exposée par la revue Eurabia.

La population n’est pas bigote. L’enseignement du christianisme est un facteur de défense de nos droits humains fondamentaux, un des barrages possibles, un rempart contre la remise en cause de ces droits par l’islam. Mais toucher à une église, c’est atteindre au plus profond de l’identité d’un pays. Il ne passe plus un seul jour sans qu’un tel acte soit commis en France. La banalisation et la fréquence de ces profanations marquent la haine intense de certaines personnes à l’encontre de la religion chrétienne.

À force de dénigrer sans cesse le christianisme et l’Église, de railler la foi ou la pratique des catholiques, on suscite chez certains un réflexe de rejet. Aujourd’hui l’édifice. Demain les personnes ?
Au lieu de bêler à l’unisson « vivre-ensemble », au lieu de voir en tout délinquant une victime de la société, une personne qui a perdu ses repères sociaux et familiaux, qui a besoin d’être aidée, nos politiciens, évêques et responsables de tous genres seraient plus avisés de condamner sévèrement cette atteinte à l’unité nationale et l’imbécile lâcheté moutonnière qui génère de tels comportements.

Mais non. La France laisse des Musulmans saccager et dévaster les édifices catholiques. Pourtant, il reste dans le pays un puissant mouvement de « France moisie et rance », une France à base chrétienne, avec des chrétiens de foi et des chrétiens de culture. Le pouvoir gauchiste, socialiste, mondialiste poursuit un vaste plan d’éradication des Français chrétiens et du christianisme, vise à mater cette France moisie par une « vaste politique pour les minorités ».

La neutralisation, l’extirpation des Français chrétiens, avec l’aide des minorités, musulmanes, homosexuelles, aboutira au Grand remplacement, à la colonisation par les peuples venus d’Afrique.
Le pape, des évêques, des cardinaux, soutiennent et justifient le plan de matage des Français chrétiens. Cette attitude, favorable à l’immigration et à l’islam, contribue à la politique de déchristianisation conduite par le pouvoir gaucho-mondialiste.

Hitler, en son temps, usa d’une tactique contre l’enseignement du christianisme, non pas l’opposition frontale, mais l’utilisation du clergé pour auto-détruire l’Église. Les militants socialistes et islamiques usent d’une tactique comparable : l’application de nos institutions basées sur les droits humains, droits qui correspondent aux idéaux gréco-romains et chrétiens, pour autodétruire ces institutions.

Hitler voulait que le peuple allemand ne reste pas « fidèle à la religion judéo-chrétienne et à la morale servile de la pitié ». Il voulait délivrer le peuple allemand de cet esprit chrétien, extirper le christianisme de l’Allemagne. Hermann Rauschning, homme politique allemand, membre du parti national-socialiste de 1932 à 1934, puis opposant au régime nazi, exilé aux États-Unis, (1887-1982), écrit dans « Hitler m’a dit » :
« Le fascisme peut, s’il le veut, faire sa paix avec l’Eglise. Je ferai de même. Cela ne m’empêchera nullement d’extirper le christianisme d’Allemagne. Quel programme devrons-nous suivre ? Exactement celui de l’Eglise catholique lorsqu’elle a imposé sa religion aux païens : conserver ce qu’on peut conserver et réformer le reste.
Pensez-vous qu’ils n’enseigneront pas ainsi notre dieu dans leurs églises, ces prêtres libéraux qui n’ont plus aucune croyance et qui exercent simplement une fonction ? Qu’ils ne remplaceront pas leur croix par notre croix gammée ?
Nous les obligerons à détruire eux-mêmes leur religion par effondrement intérieur, en les vidant de toute autorité et de tout contenu vivant, en ne laissant subsister qu’un vain rituel de phrases creuses. Je vous garantis que, si je veux, j’anéantirai l’Eglise en quelques années. Nous les prendrons par leur rapacité et leur goût proverbial des bonnes choses. Pourquoi nous disputer ?
Ils avaleront tout à condition de pouvoir conserver leur situation matérielle. Ils succomberont sans combat. D’ailleurs peu importe. Dès que j’ai la jeunesse avec moi, les vieux peuvent moisir au confessionnal si ça leur chante ».

L’Église vaticane est complice de l’islamisation de nos pays et du Grand remplacement. Elle rejoint le projet socialiste, celui de leurs différentes « écoles de pensée » et d’influence, le think tank « Terra Nova », le Groupe Bilderberg, le Siècle, la French American Foundation qui promeut les « futures élites » de notre pays.
L’offensive contre notre pays est lancée, téléguidée par les instances oligarchiques financières apatrides de la mondialisation et les institutions anti-démocratiques de l’Europe de Bruxelles.

L’Église vaticane s’invite dans cette offensive. Elle produit le texte papal qui appelle à l’accueil des migrants islamiques, à l’islam comme religion « de paix et d’amour », à la fraternité comme outil de la justification des flux migratoires que demandent l’Europe et les oligarchies financières mondiales pour peser sur les salaires, détruire les espaces sociétaux des pays accueillants, faire fondre les peuples dans des magmas informes et communautaristes dont la vocation violente et destructrice est inhérente à leur existence même.

Le pape est celui de la mondialisation et du mondialisme, de l’immigration tous azimuts, de la destruction des peuples, surtout quand ils sont marqués par l’esprit laïque. Bergoglio est lié au monde oligarchique.
Mars 2011 : Monseigneur Barbarin, primat des Gaules, déclare qu’il ne voit aucun inconvénient à réciter la chahâda au chevet d’un musulman mourant (la profession de foi de l’islam, premier des cinq piliers). L’évêque de Lyon est réduit à jouer les imams de remplacement, à trouver cela très bien et à s’en vanter dans la presse.
Le cardinal Tauran, cardinal français de la Curie romaine (1943-2018), remercie les Musulmans d’avoir permis le retour de « Dieu en Europe ».

L’Église catholique soutient l’expansion islamiste et l’imposition de la charia. Elle participe aux effets néfastes de la mondialisation et de la construction européenne en matière de valeurs morales, sociétales, sociales.
Lors de la conférence des évêques de 2013, les évêques dénoncent le populisme : « Les discours populistes répandent la suspicion contre toute représentation politique ». C’est l’aveu de leur suspicion contre ce qu’on appelle l’extrême droite. Le mot « populiste » a un contenu qui se veut injurieux. Le concept de populisme sert surtout à injurier ceux qui n’obéissent pas à la pensée unique. D’ailleurs, le Christ lui-même n’était-il pas populiste, si être populiste, c’est s’occuper du peuple avant tout ?

Les évêques appellent à l’ouverture sans limites de nos frontières, sous prétexte « d’accueil et de défense des pauvres », position hypocrite quand on s’inscrit dans l’outil de la mondialisation économique des délocalisations et de la libre circulation de la main-d’oeuvre. Cette caution « spirituelle et morale » sous-tend toutes les mesures que proposent la Commission européenne et les gouvernements successifs, pour insuffler dans notre peuple les ferments létaux qui le feront disparaître.

Avant d’envahir notre territoire, de détruire notre culture, et d’annihiler notre identité, l’islam vise
à éteindre la provocation irrésistible du Christ : le libre arbitre, la conscience de l’homme, la Raison, la réflexion, la liberté, la responsabilité, le respect de l’homme, le respect de la femme, le Christ en tant que Dieu compatissant et consolateur (après avoir été le tout-puissant Seigneur, terrible justicier aux alentours de l’an 1000). Toutes ces idées humaines et humanistes, totalement étrangères à l’islam, islam de soumission, d’obéissance et de sanction, constituent un défi envers l’islam, soulèvent la flamme du ressentiment, aiguillonnent sa certitude de supériorité.
Alors, l’islam cherche à éteindre la provocation par un pillage idéologique. En volant le christianisme, en le présentant comme un rejeton dégénéré, en définissant Jésus-Christ comme un « prophète d’Allah », comme un prophète de seconde classe. Jésus-Christ, un prophète tellement inférieur à Mahomet, que six cents ans après, ce dernier a dû tout recommencer, parler avec l’archange Gabriel, écrire le Coran.

Les théologiens musulmans nient que Jésus ait été crucifié. Ils l’ont mis dans leur Djanna, à manger comme un Trimalcion, à boire comme un ivrogne, à baiser comme un maniaque sexuel.
Trimalcion, personnage fictif de Satyricon, roman attribué à l’auteur latin Pétrone. Trimalcion est un esclave affranchi, héritier d’un maître richissime, un nouveau riche parvenu, amateur de festins pantagruéliques, adepte de discours creux.
Les théologiens musulmans ont conclu : Jésus, le pauvre malheureux, prêchait bien le Verbe d’Allah, mais ses disciples ont appelé christianisme ce qui était déjà en réalité l’islam. Ils ont déformé ce qu’il avait dit.

Sous prétexte d’«  aimons-nous les uns les autres », l’Église catholique accueille les immigrés musulmans, les cache dans des refuges, obtient leur asile politique, empêche leurs expulsions.
L’Église catholique se tait quand on offense le crucifix, quand on le définit en termes de petit cadavre nu. Elle se tait sur la polygamie, sur la répudiation, sur l’esclavage.
L’Église catholique se tait parce qu’elle se veut libérale, ouverte au monde, parce qu’elle pratique l’œcuménisme, parce qu’elle a peur des commentaires malveillants.

Jean Saunier