Éliminer le wokisme, question de vie ou de mort

Quand on prend connaissance de certaines informations concernant des mondes qui vous sont inconnus, vous vous demandez si cela existe réellement.
Si tout cela n’est pas l’invention maladive de la dernière application chatgpt qui nous aurait créé un nouveau monstre de Frankenstein qui échappe à ses créateurs :
https://bookvillage.app/blog/ecrire-un-livre-avec-chatgpt-reve-ou-realite/

Ainsi du woke, dont les turbulences ne semblent pas réelles pour tout individu normalement sociable, fondé à penser qu’il serait en train de croiser l’impensable au détour d’un roman d’horreur façon 1984 dopé au double rail de coke pour potentialiser les effets, et dont le surgissement dans son réel le conduirait à se pincer la couenne afin de se réveiller, se demandant, comme Charlton Heston, le héros de la Planète des singes, s’il est encore bien sur sa bonne vieille Terre ou son avatar-ersatz, ou pire, si un Jésus malveillant ne l’aurait pas damné en l’envoyant dans le monde des enfers, cauchemar et peur de tous les enfants devant un insolite menaçant.

C’est ce que commencent de vivre certains importateurs de l’idéologie woke dans notre pays qui se croyaient malins alors qu’ils n’étaient qu’instrumentés par le Malin, de pauvres guignols donc ; lisez ces témoignages qui laissent de glace ou même font marrer tout individu qui n’a jamais versé dans la connerie humaine généralisée, se gardant d’épidémies d’imbécillités dont pour l’instant aucun labo n’a réussi à trouver le vaccin salvateur qui pourrait prémunir en dopant les défenses naturelles de raison :
https://www.fdesouche.com/2023/02/26/une-generation-hypersensible-wokisme-dans-les-ecoles-dart-de-cinema-et-de-theatre-quand-les-etudiants-deboulonnent-godard-koltes-ou-tchekhov-et-remettent-en-question/
https://www.lemonde.fr/culture/article/2023/02/26/quand-les-etudiants-deboulonnent-godard-koltes-ou-tchekhov_6163345_3246.html

Là est le propre du woke qui est d’emmerder les autres, ce qui est l’un des marqueurs fort de tout totalitarisme.
Découvrir ces témoignages rapportés par le Monde, c’est découvrir une France sectaire qui renvoie furieusement à la Palestine du temps de Jésus entre Zélotes, Saducéens, Pharisiens, Esséniens, Baptistes, Thérapeutes et autres Samaritains.

La France est en train de devenir un genre de Palestine du Ie siècle avec la particularité qu’il reste encore un certain nombre de citoyens qui bossent tous les jours, attachés à leur pays plus qu’à ces idéologies nauséabondes qui n’ont rien à envier au maoïsme, au pol-potisme ou au stalinisme.
Citons le témoignage de Jean-Luc Verna (lien ci-dessus) : « C’est ainsi que les rebelles d’hier, dans leur refus de tout diktat, se retrouvent en première ligne : « Quand le “wokisme” est arrivé, j’étais plein d’espoir, cela allait apporter de l’air frais, témoigne le plasticien Jean-Luc Verna, qui enseigne le dessin aux Beaux-Arts de Cergy (Val-d’Oise). Puis c’est devenu une idéologie, et enfin du marketing. Cela donne des groupes fermés, beaucoup d’entre-soi, les queers avec les queers, les racisés avec les racisés.

Ces gens non binaires ont une vision très binaire. Quid du droit au flou ? Je n’en peux plus des “alphabet people” (référence à l’acronyme LGBTQIA+ : lesbiennes, gay, bisexuels, transexuels, queer, intersexe, asexuel). C’est le monde d’Internet, des catégories, qui crée de la souffrance pour ceux qui n’entrent pas dans le cadre… Tout ça, ce sont des élèves qui érigent des pyramides de pouvoir. Plus ils réclament de l’horizontalité, plus ils recréent de la verticalité. »

Comment faire comprendre à une caissière de supermarché, un balayeur des rues, une infirmière dévouée, un petit commerçant qui fait ses 12 heures par jour, un gars du BTP et autres professions exigeantes au plan physique ou psychique, blancs de peau pour une petite majorité encore mais cela devrait interpeller tous les travailleurs y compris Rachel Kéké qui a eu son lot de lutte, qu’une partie de leurs prélèvements obligatoires sert à entretenir des parasites malveillants qui les insultent à longueur de journée par la haine qu’ils cultivent dans leur entre-soi.

On pose également la question cruciale : si la France devait entrer en conflit armé avec la Russie, ou l’Algérie, ou la Turquie par exemple, la vie d’un soldat français mérite-t-elle d’être mise en jeu pour un woke racisé dont l’idéologie le conduit à devenir l’ayatollah tortionnaire qui ruinera des millions de vies françaises paisibles si on le laissait vivre et arriver un jour au pouvoir ?
Cela pose bien la question de l’élimination des risques dès les prémisses et le tracé de la trajectoire probable détecté, comme dans le film tiré de la nouvelle de Philip K Dick, Minority Report.

Tout le monde a le droit et le devoir de se délecter des ces profs d’universités, de ces politiques, de ces soi-disant influenceurs de la société y compris le woke Pap Ndiaye qui ont accouché d’un monstre qui va les dévorer et les renvoyer au ban d’une société assainie dès 2027 : l’aller simple sans retour fera partie des efforts que les Français de souche accepteront volontiers de faire compte tenu de l’investissement pour l’avenir de la Nation que cela représente ; en 6 mois on peut facilement faire la culbute et je peux vous l’affirmer, la généralisation des allers simples pour certaines populations rapportera mille fois plus que n’importe quelle réforme des retraites, ce qui incline à penser que les politiciens français ne savent pas hiérarchiser les maux du pays à soigner.

Bien entendu comme tout article de la bien-pensance, le Monde articule le sien en consensuel avec l’en même temps où un témoignage balance l’autre avec pour le deuxième et dernier la note d’espoir dans le souci de gagner à la cause woke le lecteur, c’est ici que l’on repère les reportages orientés.
Ainsi dame Ghada Amer se voit dépassée par un phénomène plus agressif en France qu’aux US, elle vit désormais dans la Pomme :
« Un mois après, une autre ancienne de l’école, l’artiste égyptienne réputée féministe Ghada Amer se voit, elle aussi, reproché de n’être     « pas assez ». « C’est beaucoup plus agressif qu’aux États-Unis », raconte celle qui vit et travaille désormais à New York. De passage en France cet hiver, elle donne quelques conférences dans les écoles d’art. À Marseille, la voilà prise à partie. « Je suis inclusive, pas exclusive, #metoo est devenu ça. »

Tandis qu’un certain Clément Cogitore se voit tout gai de participer à la déconstruction, allant jusqu’à pronostiquer un mouvement important, probablement par analogie avec l’impressionnisme, le fauvisme, le dadaïsme, le surréalisme ou le cubisme par exemple :
« Sur quel art, quel cinéma, quel théâtre, tout cela ouvre-t-il ? Telle est la question qui travaille ces enseignants mis au défi de leur propre déconstruction. Aux Beaux-Arts de Paris, où il enseigne, le cinéaste et plasticien Clément Cogitore n’est pas inquiet, bien au contraire : « De tout ça, on me parle beaucoup, de ces échanges violents. Moi, je n’y suis pas confronté. Mes étudiants pensent la complexité, et cela me donne une grande foi en l’avenir. Parce que, entre un paternalisme qui regarde le monde d’un point de vue dominant et des slogans qui simplifient, le vrai sujet est là : celui de la complexité, souligne l’artiste de 39 ans. Tout mouvement important crée sa radicalité ; il n’en reste pas moins important. »

Pour ma part, à partir du moment où une bande de guignols fachos prétend faire de l’art en m’excluant parce que blanc ou en m’obligeant à m’agenouiller et faire pénitence pour des crimes imaginaires que j’aurais commis depuis l’époque où je réglais les premiers loyers de ma grotte à Altamira ou à Lascaux, je les prends pour des SA, des SS ou des gardiennes de camps de concentration allemands, aucunement pour des artistes.
Dali, Monet, Manet, Sisley, la Joconde, Poussin, Delacroix, etc.., tout cela en fonction des goûts de chacun peut émerveiller et faire rêver.
Un monde de schlague où des matrones et des matons tortionnaires vous imposent leurs choix, non, ça n’émerveille décidément pas grand monde de sensé.

Si on laisse faire les woke, un témoignage de prof vous laisse entrevoir le génocide à venir avec camps de détention et de torture façon S 21 Khmer :
« À Cergy, mes collègues blancs, hétéros, de plus de 50 ans, rasent les murs. Ils sont considérés comme des agresseurs potentiels, suppôts du patriarcat. Le fait que je sois solidaire et que je le dise en public, ça ne passe pas. »
Vous, le Blanc de souche, quel que soit votre âge, c’est dans ce monde-là que vous souhaitez vivre ?
N’est-il pas temps d’éliminer avant de l’être et de crier comme des Républicains espagnols devant Guernica de Picasso « No pasaran » ?

C’est une question de survie maintenant, toute guerre idéologique est exclusive, jamais inclusive, et le slogan d’usage se nomme « c’est eux ou nous ».
Comme au cinéma, Il n’y a pas de fauteuil pour deux.

Jean d’Acre