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Elsa : À Saint-Brevin, maire et le préfet sont responsables du désordre

Bonjour à tous, valeureux courageux venus en nombre de toute part, nous porter soutien et combattre à nos côtés pour notre cause !
Tout d’abord, je tiens à dire que c’est avec beaucoup de fierté et de détermination que nous sommes encore réunis ce jour, pour la quatrième fois, devant notre mairie. C’est beau de voir que la résistance s’installe et ce, partout en France ! Bravo à tous, on peut d’ores et déjà s’applaudir !
Encore une fois, personne n’est là pour le plaisir, nous avons tant d’autres choses bien plus gaies à faire mais malheureusement, nous n’avons vraiment pas le choix. Sur notre affiche, il est écrit : “État et élus : responsables du projet, coupables du désordre”. Oui, c’est vraiment ça ! Messieurs, Mesdames les Élus, VOUS êtes les responsables du trouble à l’ordre public et surtout vous, Monsieur le Maire, pour Saint-Brevin ! Le Karma se charge de rappeler à chaque être vivant le poids de ses actions passées…
Aujourd’hui, en France, il est impossible de se faire entendre. Notre voix ne compte plus, nous sommes devenus transparents et nos élus ne considèrent même plus notre présence si bien que la préfecture nous a bien redit qu’elle se moquait bien de l’insatisfaction des Brévinois, des inquiétudes des locaux, des nombreuses conséquences néfastes sur place ; elle souhaite imposer de force ce CADA, coûte que coûte, à notre commune et à ses habitants.
Comment un élu, qui est censé défendre nos intérêts, travailler pour nous les citoyens peut-il répondre cela ? Nous sommes outrés, choqués, nous n’avons plus de mots pour dire notre dégoût à ces élus qui ne pensent qu’à leur propre carrière politique, sans se soucier un instant de leurs administrés ! Une honte !
Il nous a bien redit que la préoccupation de la préfecture (et on le voit bien tous les jours) est uniquement de faire en sorte que ces migrants arrivant sur nos territoires soient bien installés, confortablement logés, nourris, bien soignés, habillés et accompagnés, bercés, choyés, formés, instruits… La préfecture a même été encore plus loin en demandant aux locaux d’accepter ce projet insensé et en plus, avec le sourire !
Formidable Monsieur le Préfet ! Le seul problème, c’est que nous, pauvres Français, n’avons plus les moyens de nous occuper de nous-mêmes et de nos propres enfants, vous comprendrez donc aisément, que nous ne sommes ni racistes, ni d’extrême droite, ni fascistes, nazis, etc. mais nous sommes juste dans la constatation terrible et triste que notre pays – et ses services publics – endetté à milliards, ne peut plus se permettre cette idéologie de l’accueil à Saint-Brevin comme partout.
Ce CADA n’est ni plus ni moins que la manifestation de ce que nous ne pouvons plus nous permettre : un bâtiment pour loger 110 personnes, coûtant 3,7 millions d’euros, gavé de subventions publiques, ni ses coûts de fonctionnement avoisinant le million chaque année entre le personnel d’associations pro migrants (dont on sait maintenant que les comptes sont abusifs) et toutes les dépenses qui y sont liées.
Les Brévinois sont plus intelligents, informés et clairvoyants que nos élus le pensent ! Donc logiquement, ils n’en veulent pas, ne le souhaitent pas juste au titre du bons sens et voient bien l’inégalité sociale de traitement qu’ils subissent au quotidien… Quand on n’a plus d’argent, on ne peut plus le dépenser, Monsieur Le Préfet. Nous sommes choqués, outrés, vexés de ce décalage de traitement notable entre natifs et migrants. Nous n’avons rien contre ces pauvres accueillis, mais nous ne pouvons plus nous le permettre ! Tout simplement !
Alors non, nous n’instillons pas la violence, non, nous ne diffusons pas la haine, non, nous ne sommes pas des violents, non, nous ne ferons pas d’actions illégales. Par contre, nous sommes et nous serons toujours là pour rappeler à nos élus que nous sommes bien présents, qu’ils doivent compter et composer avec nous et que nous ne serons jamais coupables et complices de leurs inactions envers nous-mêmes ! Nous ne laisserons pas nos communes s’appauvrir sous couvert de faux idéaux humanitaires.
Alors, que va-t-il se passer à Saint-Brevin et ailleurs ? Eh bien, pas d’autre choix que se s’imposer par la force de nos paroles et de nos actions ! Le combat à Saint-Brevin ne s’arrêtera pas, de nouvelles forces vives nous rejoignent chaque jour, nous continuerons à informer et à diffuser des messages de bons sens qui finiront pas être compris par tous.
La victoire est proche, nos élus ne sont plus sereins, ils n’assument plus leurs décisions prises à la va-vite, sans réflexion réelle ni concertation. Ils commencent à décliner, nous assisterons à leur défaite et nous savourerons à Saint-Brevin, à la Pierre Attelée, la paix retrouvée un fois ce projet stoppé.
Merci beaucoup à tous et force et honneur !
Au nom du “Collectif de la Préservation de la Pierre Attelée”
Elsa