Elsa Gautier : journaliste à Ouest-France ou informatrice d’antifas ?

J’ai raconté, hier, la séquence ahurissante qui s’est déroulé, devant le lycée Dupuy-de-Lôme, à Lorient, où une dizaine de militants de la Cocarde, soutenus par quelques cadres de Reconquête, ont voulu protester contre l’accueil, dans cet établissement public, de SOS Méditerranée.

Lorient : une dizaine de militants de La Cocarde face à cent gauchos hystériques

J’aurais pu insister sur l’incroyable attitude des forces de l’ordre, qui n’ont même pas protégé ces jeunes, pourtant insultés, menacés, bousculés par des gauchistes hystériques. J’aurais pu préciser que le rectorat avait envoyé des inspecteurs d’académie dans le lycée, façon de montrer que l’institution soutenait une initiative partisane politiquement.

Les retombées médiatiques sont importantes sur les réseaux. Certains vantent le courage exceptionnel de ces jeunes, d’autres, de l’autre côté, se vantent d’avoir piqué leur banderole, ce qui, à dix contre un, n’est pas un exploit militant exceptionnel.

La journaliste Hélène Musca, du Télégramme, qu’on hésite à appeler de ce nom, tant elle paraît davantage militante que carte de presse, avec les obligations que cela comporte, ose carrément titrer que ceux qui portent la haine, ce sont les dix malheureux militants de La Cocarde, pourtant cernés et injuriés par cent gauchos vraiment haineux, eux.

https://www.letelegramme.fr/morbihan/lorient/rassemblement-contre-la-cocarde-devant-dupuy-de-lome-a-lorient-on-ne-peut-pas-tolerer-ce-climat-de-haine-14-04-2023-13318476.php

Mais ce sont deux articles d’une autre journaliste de Ouest-France, après celui de Nadine Boursier, qui ont attiré ce jour mon attention. Elsa Gautier, nom de la carte de presse, a mené une enquête digne de celle d’une inspectrice de police.

Dans le premier article, le titre est sans ambiguïté. “Ils se sont mobilisés contre l’extrême droite”. Autrement dit, les héros, ce sont les syndicalistes et les faux étudiants qui, à cent contre dix, ont insulté, encerclé, menacé et bousculé dix jeunes garçons.

https://www.ouest-france.fr/bretagne/lorient-56100/lorient-au-lycee-ils-se-sont-mobilises-contre-lextreme-droite-5e5d04ee-daa5-11ed-b034-18f842c182cc

Mais le pire est à venir. Dans un autre article, elle donne carrément à ses lecteurs les noms du jeune leader de la Cocarde et des trois cadres de Reconquête venus soutenir les jeunes.

https://www.ouest-france.fr/bretagne/lorient-56100/lorient-qui-sont-ces-militants-de-reconquete-mobilises-contre-sos-mediterranee-40918760-dac2-11ed-b1ec-c97a4aa9228c

Certes, c’est beaucoup plus facile que de donner les noms des vaillants leaders syndicaux et politiques présents, qui ont cautionné, par leur présence, l’attitude, digne de celle de fascistes, de militants de gauche qui entendent, par la violence et l’intimidation, empêcher des opposants politiques de s’exprimer. Si les militants cités dans cet article avaient des ennuis, ils sauraient qui remercier.

Comment ne pas penser à cet article d’un autre journaliste de Ouest-France, Raphaël Laurent, qui avait donné le nom et l’appartenance politique supposée des principaux animateurs des rassemblements contre la dictature sanitaire. Pierre Cassen avait été longuement cité, et bien sûr classé à l’extrême droite, comme les jeunes de La Cocarde ou de Reconquête.

https://www.ouest-france.fr/bretagne/ploermel-56800/ploermel-qui-sont-les-manifestants-anti-passe-sanitaire-6896b8ae-fd0e-11eb-a7c7-18076227e413

Conséquence de cet article, que ne pouvait pas ignorer son auteur, quelques jours plus tard, pour la première fois, cinq crasseux d’extrême gauche étaient venus perturber le rassemblement de Ploërmel, et il avait fallu tout le sang-froid des organisateurs pour que les choses ne dégénèrent pas.

Nous ferons confiance à la déontologie de ces journalistes quand ils donneront le nom des antifas qui ont attaqué les cortèges de Saint-Brevin-les-Pins ou de Callac, et de tous les syndicalistes et politiciens (les photos sont claires, elles existent) qui viennent foutre le bazar à toutes les initiatives des patriotes. Faute d’équilibre dans l’information, nous considérerons ces articles comme de la délation, et de l’oeuvre de basse police au service des nervis gauchistes.

Jeanne Bourdillon

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5 Commentaires

  1. Les journeaux subventionnés ne se lisent plus (nice matin ,la provence ,le télégramme de brest ,ouest france ,la voix du nord , le midi libre ect ) ils ne leurs reste plus qu’a soudoyer les blacks blocs ( police parallele) pour se faire un peu de PUB afin de continuer a éxister . Les jeunes ne lisent plus et nos quelques vieux qui achetent encore ces torches cul nous quittent les uns apres les autres ( ma tante de 90ans est connectée a internet tous les matins)

  2. bah ! ces journaleux pourraient bien donner le nom et l’adresse des meneurs gauchos et antifas, ceux là ne risquent jamais rien, ni du pouvoir en place ni des pseudo ” nervis de l’eSStrême drouatte” fantasmé, bien malheureusement 🙁

  3. Comment attendre la moindre morale, la moindre dignité des gauchards et autres
    qui ont cautionné et cautionnent toujours les massacres communistes et autres?
    Ils ne céderont que lorsque ils seront écrasés comme les nazis par les russes.

  4. La PQ (R) de l’Ouest du frankistan est particulièrement gauchiasse*, il n’y a d’ailleurs que très peu de journalistes, beaucoup de journachiottes. L’un d’eux s’est pointé une fois chez moi pour essayer de vendre son torche-balle, je lui ai répondu que je m’abonnerai à sa presse lorsqu’il y aura des journalistes.

    Il a très vite compris, sans nullement me dédire, ni insister.

    *Probablement parce que l’ouest du frankistan n’est pas encore totalement colonisé par les CPF, mais c’est en bonne voie, ça part de Bretagne, ça pourrit par la Charente et maintenant pris en tenaille par la gironde, Bordeaux en tête.

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