En 1940, Plenel aurait dit que les juifs agressaient les nazis
Nous sommes dans une inversion accusatoire complète. La gauche multiplie les signes d’une dérive liberticide, qui se sont traduits, ce week-end, par l’annulation, ordonnée par Darmanin et Nunez, de cinq rassemblements classés à l’extrême droite.
Les milices gauchistes multiplient les agressions contre leurs adversaires politiques, et ont déjà blessé 2 000 policiers et gendarmes lors de leurs manifestations. Ils vandalisent systématiquement les lieux où ils agissent. Ils menacent ouvertement de mort deux étudiants de l’Uni, à la faculté islamo-gauchiste de Grenoble.
La seule mouvance politique qui tue, par des massacres de masse, en France, en Europe et dans le monde, sont les disciples d’Allah.
À Saint-Brevin comme à Callac, seules les milices gauchistes ont attaqué les forces de l’ordre, brûlé des voitures et cassé des vitrines.
Et pourtant, Plenel, comme toute la presse, comme toute la caste politicienne mondialiste, multiplie les numéros spéciaux sur le péril supposé d’une extrême droite qui a le tort de manifester dans le calme et de défendre ses positions sans violence.
Il est intéressant de se dire, dans certains contextes historiques, comment Plenel et ses complices auraient relayé l’information.
En 1940, ils nous auraient servi la propagande que les salauds de juifs agressaient les paisibles nazis.
En 1970, ils nous auraient dit qu’en Chine, les révisionnistes agressaient les gentils Gardes rouges.
En 1973, au Chili, ils nous auraient dit que les militants de gauche agressaient les militaires de Pinochet.
En 1976, au Cambodge, ils nous auraient dit que les petits bourgeois agressaient les vaillants Khmers rouges.
En 1981, en Pologne, ils nous auraient dit que les syndicalistes de Solidarnosc agressaient les militaires de Jaruzelski.
Et en 1972, à Munich, Plenel nous aurait dit que les assassins palestiniens de Septembre noir étaient des héros qui avaient assassiné des salauds sionistes.
Ah zut, cela il l’a vraiment dit !