En ce jour anniversaire (malheureusement !), lâattaque des tours Wall Towers à New York le 11 septembre 2001 avait été prévue dès 1982 par lâartiste peintre André Girod. A cette époque, André parcourait le monde se déplaçant de New York à Sydney, de Singapour à Tokyo, de Paris à Londres. Partout le même phénomène urbain prenait une ampleur considérable : la construction de tours en acier et en verre. Les exploits technologiques étaient nouveaux et permettaient de monter des immeubles en acier aux façades de verre de dizaines dâétages allant jusquâà 60, et même plus, étages.
Ce qui était nécessaire pour de tels bâtiments était dâabord lâespace. Or dans les grandes métropoles, les terrains disponibles étaient rares et chers. Il fallait faire le vide. Alors, des vieux quartiers entiers furent vidés de leurs habitants et les maisons rasées. Au milieu du terrain vague commençait la construction.
André Girod y vit alors la concrétisation de sa théorie DCD (Destruction, Construction, Destruction) qui avait parcouru lâHistoire de lâhumanité. Dés que lâhumain put détruire dâabord son ennemi puis la Nature, le cycle établit les grandes lignes de lâHistoire. Les exemples foisonnent pour nâen prendre que quelques uns : les Conquistadors vainquirent lâEmpire Inca et à Cuzco se servirent des pierres des temples incas pour élever la cathédrale. A Paris la Bastille fut utilisée pour construire une partie du quartier.
Dans toute destruction, les premiers dégâts sont les vitres et les fenêtres. A la moindre explosion, tout saute et les débris de verre jonchent le sol. Puis suivent les toitures et enfin les murs.
Alors pour exprimer cette idée, le peintre voit ces nouvelles constructions au travers dâune vitre brisée. Vous remarquez autour du tableau des restes de vitre. Puis au pied de la construction, le vieux quartier qui disparaît et la tour qui monte.
En poursuivant cette idée quâil développe dans son principe DCD, il a imaginé dans un de ses 40 tableaux, le résultat de la destruction dâune tour : un immeuble en feu dans les étages supérieurs, dû à une attaque soudaine soit par un missile, soit par un avion. Câest ce qui se produisit dix-neuf ans plus tard en 2001. Le 9/11 était aussi très symbolique : le 911 est le numéro dâappel dâurgence aux Etats-Unis et ce jour-là à New York, il nâa pas marché !
Les signes que nous lance lâavenir sont soit pas compris soit mal interprétés. Le peintre en 1982 avait lu dans les étoiles une lecture de lâHistoire qui avançait le cycle DCD et il lâa alors représenté sur ses toiles.
Autre point dâinnovation de lâartiste : le cadre brisé. Fini le tableau rectangulaire, carré rond ou ovale. Les coins ont disparu et, à la place, la recherche dâune Åuvre difficilement mise dans une catégorie conventionnelle. Au 16eet 17e siècles, les grands artistes avaient des élèves qui, une fois le centre terminé par le Maître, comblaient, comme exercice, les vides des angles. Pas dâélèves, donc pas de coins à remplir ! Simplification de la peinture !
André Girod
Nostradamus?
Vous avez oublié ces saloperies d’arabes qui ont démantelé la surface de calcaire des pyramides d’Égypte après un tremblement de terre au 11eme siècle pour reconstruire leurs maisons, certainement construites par les Egyptiens eux même puisque ils sont incapables de créer quoi que ce soit,par contre détruire, ça ils savent le faire,on en à la preuve tous les jours.
Comme un certain Chaplin a deviné qui allait être vraiment Hitler avec « Le Dictateur »… Et pleins de gens ont devinés des faits qui allaient se passer des années plus tard … Surtout des artistes bizarrement…
la tour attaquée par un avion : c’était déjà dans une bande dessinée d’avant 1970 !
Incroyable! Bravo! Une telle clairvoyance est extraordinaire!
L’Histoire ne cesse de faire des clins d’œil:
A Los Alamo, en 1836, un Français quitte avant l’assaut ( Louis Rose) qui était à Waterloo..
Sur la brèche de Constantine en 1837, est tué le commandant Vieux, du Génie, le même qui, à Waterloo, avait placé le sac de poudre qui avait fait sauter la porte de la ferme de Hougomont.
Et Merda, qui fracassa la mâchoire de Robespierre et meurt colonel en 1812 à Borodino.
Et Robespierre, à Louis le Grand, choisi, en 1775, pour complimenter, Louis XVI
Bonjour, j’ai du mal à comprendre ce que vous voulez dire. (Ceci mis à part; je souhaiterais rentrer en contact avec vous. Par l’intermédiaire de RL et si vos l’acceptez, je vais voir si c’est possible). Merci.
il s’agit évidemment de Fort Alamo et non Los Alamo ( lapsus).
Les prémonitions d’A. Girod et les clins d’oeil de l’Histoire montrent que tout se tient, qu’il y a une suite logique, quand on cherche dans les petits faits apparemment anodins. Le hasard n’existe pas. La « chance » s’attrape par les cheveux mais elle est chauve.
certains sont doués pour voir l’avenir
d’autres sont doués pour refuser de voir le présent (couteau fou, voiture déséquilibrée etc)
J’avais un collègue peintre qui affichait à l’entrée de sa Galerie :
« Nul n’entend plus de bêtises qu’un tableau » !
Vous lui donnez tort !
Je crois que Lapierre/Collins aussi, dans leur roman « Le 5ème cavalier »…