Et si la voilée de chez Etam c’était un coup monté… avec le CCIF ?
Ci-dessus une capture d’écran du compte Twitter de la voilée prétendument éplorée parce qu’elle se serait fait refouler chez Etam où elle voulait déposer un CV. Capture d’écran datant de la veille du jour où elle va faire son cinéma. On est tenté de croire au coup monté, même si on se dit que, comme les deux voilées du Cénacle, la voilée aurait pu filmer la scène qu’elle prétend avoir vécue.
Macron-Schiappa veulent faire des testings pour vérifier que les voilées ne sont pas discriminées, on se demande bien pourquoi., ils ont juste à payer les activistes du CCIF, passé maître dans l’art de monter des coups de ce genre. Très doués pour le théâtre le Muhammad et le Samy Debah, celui qui a reconnu (caméra cachée) qu’il était financé par le Qatar et les Frères musulmans.
Quoi qu’il en soit, partout les petites soldates de l’islam vont essayer de piéger nos chefs d’entreprise. Il va falloir que ceux-ci soient plus malins qu’eux. S’ils ne veulent pas embaucher de voilées, ils ne peuvent plus le dire clairement sans s’exposer à procès, campagne, attaques personnelles et contre leur entreprise. Face à la taqîya il va falloir inventer une contre-taqîya… Histoire de légitime défense.
Admirez comme tout s’enchaîne avec cette vidéo…
Vous noterez le ton pleurnichard, l’exagération d’une prétendue souffrance, d’une prétendue humiliation… on croirait qu’on vient de lui tuer un enfant au Bataclan…
Vous noterez sa haine de la France. France qu’elle n’a pourtant pas l’intention de quitter. Non, le beurre, l’argent du beurre et le travail de soldate de l’islam, conquérir notre pays et imposer la charia à tous.
Vous noterez sa violence, son regret de ne pas avoir giflé la responsable du magasin Etam.
Chez cette sale bonne femme, la violence est automatique. Les gens n’aiment pas le voile, refusent le voile ? Ils vont en bouffer, à coups de poing dans la gueule. Voici la menace que se plaît à faire cette « mugiwara ».
Menace relayée évidemment par le CCIF qui s’empare de l’affaire et en profite pour asséner son mensonge habituel « l’islamophobie est un délit ». Non, pas encore. L’islamophobie n’est pas reconnue comme un racisme dans le code pénal…
Et, comme dans l’affaire Nocibé, Etam se couche…
Cela me rappelle la montée du nazisme en Allemagne.
Exactement la même atmosphère, des campagnes contre les juifs, des menaces, des agressions, des mises à l’index, des faillites orchestrées…
Et Etam se couche.
La pleurnicheuse aurait dénoncé la responsable, qui serait la patronne d’un magasin Etam à Montpellier… J’espère que cette dernière, si c’est elle, ne fera pas la sottise de reconnaître les faits. Ils sont tout à fait capables d’inventer une histoire tirée par les cheveux et d’en rajouter pour jouer les victimes et interdire la critique du voile.
Ils jouent sur du velours, avec un Macron à l’Élysée.
Ils ne savent pas, à Nocibé comme chez Etam, comme dans tous ces endroits où on accueille et embauche les voilées par peur, par force, que ça ne sert à rien de se coucher ? Tôt ou tard, c’est tout leur magasin qui sera aux mains de musulmans ; tôt ou tard, c’est tout leur quartier, toute leur ville, tout leur pays, tout notre pays qui sera aux mains des Frères musulmans ?
Le CCIF c’est les Frères musulmans. Un objectif : faire de notre pays un pays musulman. Sans faire la guerre traditionnelle.
En faisant la guerre psychologique, en utilisant nos lois.
Se coucher c’est leur offrir notre pays et renoncer à l’égalité hommes-femmes. Tout simplement.
Ces petites soldates de l’islam ne portent le voile que pour nous défier, nous mesurer, nous contrôler. Nous conquérir.
Ne cédons pas un pouce de terrain, en étant plus malins qu’eux.
Christine Tasin