Evêques et islam : bravo Metz, honte à Strasbourg

 

Il est un fait que l’Alsace et la Moselle bénéficient du statut du Concordat hérité de l’histoire agitée de ces provinces. Ce régime spécifique à l’Alsace-Moselle reconnaît et organise les cultes catholique, luthérien, réformé et israélite et permet, entre autres, à l’État de salarier les ministres de ces cultes et d’enseigner la religion dans les établissements scolaires. Il va sans dire que les musulmans poussent à l’intégration de l’islam dans le Concordat et que nombre de politiques et de religieux français islamo-collabos mettent régulièrement ce sujet sur la table.

Aussi, un projet de création d’un enseignement religieux (en sus de l’enseignement religieux déjà en vigueur) dans le secondaire visant l’éducation au dialogue inter-religieux et interculturel (EDII) a été élaboré depuis plus de deux ans par le diocèse de Strasbourg, l’Union des Eglises protestantes d’Alsace et de Lorraine (UEPAL), et pour lequel, avec le Grand rabbin de Strasbourg, le Président du Conseil régional du culte musulman et le Président de la Communauté bouddhiste d’Alsace, ont apporté leur accord.

Ainsi donc, quand arrivera le moment où l’enseignant musulman s’adressera aux collégiens et lycéens pour leur parler de l’islam et de sa soi-disant culture, va-t-il leur expliquer d’Allah ordonne à ses fidèles de soumettre, de gré ou de force, ceux qui ont le toupet de ne croire en lui ? Va-t-il leur citer les sourates où à vingt reprises Allah ordonne à ses ouailles de combattre et de tuer ceux qui ne voudront pas se soumettre à son dogme ?

Va-t-il leur expliquer que Mahomet était un assassin, un pervers, un bandit de grand chemin, un esclavagiste, un obsédé sexuel ?

Bien sûr que non ! Il sortira la Taqiya magique de sa poche et enfumera nos garçons et filles du slogan menteur de la religion de tolérance, d’amour et de paix, alors qu’elle n’est qu’intolérance, intimidation, châtiment et crime. Et tout cela avec la bénédiction des autorités religieuses catholiques, protestantes, juives et bouddhistes d’Alsace et de Moselle. On croit rêver !

Heureusement, Mgr Jean-Christophe Lagleize, évêque de Metz, a transmis à la presse son désaccord affirmant que son diocèse ne partage absolument pas cette perspective d’un cours inter-religieux. Il en a donc informé par courrier le président de la République, les ministres de l’Intérieur et de l’Education nationale et la Rectrice de l’Académie de Nancy-Metz de sa position.

Aussi, bravo à l’évêque de Metz et pouah à nos traîtres et collabos alsaciens. Que vont-ils donc chercher du côté de cet islam qui les traite de chiens et de porcs ? A y bien réfléchir, ce sont bien les seuls adjectifs qu’ils méritent.

Jean-Louis Burtscher