Exécutions collectives en Irak et en Syrie : MM. Bush, BHL et Sarkozy, c’est votre oeuvre !

12 Otages Nepalais EgorgesCORANERIE ABSOLUE, surpassant tout le reste, le “Califat” instauré sur la moitié de l’espace Irak-Syrie, s’installe avec pour méthode l’exemple khmer rouge rectifié taliban. Une population est mise en esclavage, son élite va être éliminée. Ce qui se passe dans ces pays abandonnés par un Occident démissionnaire rejoint pour l’Histoire les grands crimes de masse du vingtième siècle.

Le programme est clairement précisé :

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Malheureux Occident ! Son travail n’ayant pas été terminé au début des années 2000, l’hydre née dans l’Orient des désert arabes et des montagnes afghanes s’est reconstituée, patiemment. Des tentacules ont poussé et continuent de le faire jour après jour sous ses têtes multiples. Elles rampent désormais à découvert sur le sol de France et d’Europe. Il faut l’insigne lâcheté de nos maîtres pour faire semblant de ne pas les apercevoir.

Il convient de regarder encore ces images terrifiantes d’exécutions collectives. Elles sont la faillite totale des calculs de nos têtes pensantes. Que pense Nicolas Sarkozy en les voyant ? Et ce violon désaccordé nommé Bernard-Henri Lévy, grotesque pantin dégoulinant de sang, aux ficelles tenues par des magiciens de cauchemar ? Et George Bush ? Et les autres, les stratèges, les petits Bonaparte de tout poil, brillantissimes tacticiens dansant aujourd’hui sur la scène avec une plume dans le cul ? Regardez, bande de larves ! C’est votre oeuvre, sur des commentaires rappelant à ceux qui ont encore un peu de mémoire le ton des speakers nazis glorifiant à la radio les victoires du Reich millénaire.

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Les massacreurs de 2014 ont grandi sur les tombes des soldats morts en Afghanistan. Ceux-là ont donné leur vie pour un résultat qui déshonore les commanditaires de leur mission. Morts pour rien, ou plutôt, non. Morts pour que la bannière maudite sous laquelle succombent ces jeunes irakiens et Syriens se déploie chaque semaine ou presque, librement, dans les rues des grandes villes de France, quand elle n’est pas imprimée sur des cotonnades estivales. C’est à vomir. De honte. De colère. Et de ce dégoût qui dévaste les sens quand la gouvernance dépassée par les événements, puant la mort à cent mètres, se met à ressembler à un ramassis d’étrons sur le pavé de la cité.

Jean Sobieski

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