Effarant, Cohn-Bendit sur LCI s’est brutalement comporté comme un Jack Dalton énervé à l’encontre de Lucky Lucke-Raoult ; tel un tchékiste en fin de vie; pour cet ex-anar la vieillesse s’avère décidément un naufrage ; Raoult minimiserait en gros la létalité du Covid-19 qui, pourtant, fait en effet bien moins de morts -hors projection la dernière étant celle de Fauci dupliquant, quoique modérément, les simulations anglaises qui ont fait frémir les dirigeants mondiaux- que les infections pulmonaires annuelles mondiales, en particulier infantiles, sans parler de celles liées au tabac ; le « record » de ce qui est appelé « grippe saisonnière » (terme bien trop vague rappelle Raoult…) n’étant cependant pas, encore, battu en Europe : 60.000 morts par an. Dans le monde 650.000… Ajoutons également cette remarque d’un ancien ministre béninois indiquant que le peu de cas encore avéré en Afrique ne s’explique pas seulement par le non dépistage mais le fait qu’ayant des populations bien plus jeunes celles-ci résistent beaucoup mieux à la virulence du virus. Une piste à approfondir en tout cas…
Luc Ferry, présent durant l’échange (de corps de garde) a soutenu cette colère bougonne de « Danny le rouge », subjugué sans doute par toute cette affirmation virile de charretier soixante-huitard en manque, personnage sacré s’il en est, Duhamel (Olivier) ricane comme à son habitude (on parle trop de ce « Raoult » marmonne-t-il). Raphaël Enthoven, lui, dans l’Express avait tenté de jouer plus finement en saltimbanque-orchestre du stoïco-cynisme (en pack de huit) écrivant par exemple de sa haute tribune d’expert en méthodologie des sciences que « les études du Pr Raoult sont imprécises, biaisées, non-relues, sans groupe de contrôle » alors que, se targuant, paraît-il, « d’éthique » dans quelques ouvrages à la mode, il en vient ainsi à exiger en quelque sorte que l’on donnât non pas de la brioche mais du placebo aux souffreteux (ledit « groupe de contrôle » ), ce qui n’est pourtant pas supportable éthiquement du moins selon le Serment d’Hippocrate, mais les serments vous savez en période de « moralités provisoires »… ; tandis qu’un Duhamel (Alain) après avoir louvoyé dans le constat (la pluie mouille etc) n’a pas pu s’empêcher de traiter Raoult, entre deux compliments fourbes, de gilet jaune « déséquilibré », celui-ci ayant en effet opéré une espèce d’attentat de lèse-majesté en mettant en cause la doxa officielle sur « le confinement comme seul traitement » qu’un professeur comme Vincent Perronne conteste, du moins s’agissant de la nécessité impérieuse d’adopter le protocole médicamenteux proposé par Raoult.
Qu’en dire de plus ? Sinon un vague soupir las devant tant d’approximations et de raccourcis, d’autant qu’à cette crise sanitaire émerge peu à peu une crise humanitaire mondiale liée à l’arrêt brutal des divers rouages économiques mettant à mal le gagne-pain de nombre de gens en Asie en Afrique en Amérique vivant de salaire journalier et non pas mensualisé…
Ajoutons tout de même ceci concernant ces sieurs si sûrs d’eux (et reprochant à « Panoramix » Raoult de l’être aussi…): Luc Ferry semble donc subjugué par la ruade du désormais homme de main Cohn Bendit envoyé (?) ainsi exécuter Raoult. Pourquoi une telle sidération de la part de Ferry en guise de permissivité poussive (on le voit en effet mal à l’aise alors qu’il a soutenu, ailleurs, le protocole de Raoult) ?…
Sans doute parce que Cohn Bendit semble encore incarner « Mai 68″ dans son souffle gouailleur persifleur etc alors qu’il ne l’a personnifié au fond que dans son rictus (en face du CRS dans la célèbre photo) les gauchistes de l’époque y compris « anars » étant aux antipodes d’un Lennon par exemple désirant, lui, que la paix et l’amour libre se répandent, réellement dans le monde (sous les pavés la plage) alors que les amis de « Danny le Rouge » (le bien-nommé) ne rêvaient que d’en « finir avec le capitalisme » une fois pour toutes bien entendu (et on a vu le résultat).
En réalité, c’est bien plutôt Raoult qui incarne l’esprit bravache de 68 et non pas Cohn-Bendit ; les anarchistes, surtout bakouninistes, les trotskistes, les maos, puis leur mixte autonome adoubé par Sartre façon FAR allemande et japonaise, BR italienne, AD française, ont en effet tenté tout au contraire de dévier l’énergie anti-autoritaire et anti-productiviste balbutiante vers sa canalisation néo-léniniste qu’incarnait Althusser Sollers puis toute la suite dont Foucault Deleuze Bourdieu ; tout en s’excluant de la critique ; au contraire des situationnistes,des mao-spontex, (d’Adorno également) c’est d’ailleurs le reproche que fait Baudrillard (à la suite de Lacan) aux admirateurs de Guy Debord: ces gens s’excluent de la critique alors que la mise en « spectacle » du monde, la manipulation intéressée des rapports de pouvoir transcendent en permanence les rapports de classe et les conflits entre sexes : la paille et la poutre, toujours, éternellement; il n’y a donc pas de « progrès » là dedans, au sens où un jour il en sera fini de façon « irréversible » avec le conflit la jalousie l’envie alors que ce combat reste permanent : il ne suffit pas de s’émanciper, sa perfectibilité doit être permanente, Madame de Staël l’avait pourtant compris en bonne lectrice du second Rousseau (mais qui la lit encore ?) soit ce travail permanent sur soi propre à toutes les transcendances dignes de ce nom.
C’est d’ailleurs ce que ne saisit guère un Raphaël Enthoven qui dernièrement lors de ladite « Convention de la Droite » s’en est venu asséner cette vieille tournure de l’universel abstrait (que critiquait tant Hegel) stipulant que tout humain, toute nation, devrait adopter de façon « irréversible » telle ou telle « avancée »en matière de moeurs (alors qu’Enthoven semble paradoxalement la refuser pour la langue inclusive dite de féminisation absolue); comme si le fait de repérer le même sang les mêmes organes dans les corps humains les rendaient aptes également à générer les mêmes habitudes au sens fort : considérer par exemple que les mêmes formes culturelles devraient être dorénavant comme compressées homogénéisées mondialement sans sélection préalable, sans admettre que la diversité du vivant a fortiori humain intègre précisément certaines singularités qui ne peuvent être dites, par définition, en progrès ou en retard : en quoi le dinosaure serait-il une « erreur » et le pigeon son descendant une « avancée » ? Ce qui n’est cependant pas le cas de la polygamie semble-t-il car outre les problèmes d’héritage n’existe-t-il pas ces « affinités électives » qui font que certain/es s’en trouvent délaissé(e)s impliquant dans ce cas la supériorité affective du couple judéo-chrétien?…
La « singularité » (en général ou « spéciation ») cherche, déjà, ce qu’il y a de mieux, de « bon », y compris dans son « optimisation évolutive » ; même Nietzsche avait admis ce fait quant au fondement du « bon » (Généalogie de la morale, 1/17 dernière phrase) ; et, en ce sens, le fait qu’un enfant ait la possibilité d’avoir un père et une mère est bon pour lui ; et le fait de l’y soustraire ne s’avère, en aucun cas, quelque chose « d’irréversible » comme le prétend Enthoven en s’adressant à cette même « Convention de la Droite » (supra); de même, s’agissant de l’avortement: cela ne concerne pas seulement « que » le corps de la femme si du moins l’enfant à venir aura été « fait » à deux; il faut bien en parler à deux aussi non ? Du moins hors viol inceste etc… D’autant que certaines femmes par peur de perdre leur emploi par manque de temps, de moyens divers à disposition, s’y refusent aussi; résultat, les « experts » misent alors sur l’immigration pour compenser la perte démographique et non pas en repensant, d’abord, une réelle politique d’aide à la famille dès le premier enfant (mise à mal depuis des décennies en France et au sein de l’U.E) le débat est là, or, il s’avère que même dans ces calculs, froids, misant uniquement sur l’immigration, les secondes et troisièmes générations de celle-ci font bien moins d’enfants, happées elles aussi par les mêmes contraintes techno-urbaines, hormis certains groupes cependant qui, refusant cette tendance, tentent de la contrebalancer en se multipliant, tout en restant néanmoins dans les seules mêmes traditions du « bon » dont les limites ont fait précisément surgir l’individuation moderne et ses dérives diverses…
C’est ce paradoxe, là, cette contradiction, qui reste cruciale : comment concilier le fait de préserver des traditions solides et, aussi, intégrer une évolution donnée qui enrichirait la liberté d’être sans cependant échapper au dilemme perçu plus haut entre émancipation et affinement de soi ?…Un « soi » qui ne concerne pas seulement la dimension humaine en général, mais également les dimensions culturelles et sociales (ces acquis) ce que minimisent les économètres dans leur modélisation réductrice homogénéisante aujourd’hui de plus en plus mise à mal….
Mais il n’y a pas qu’eux, il n’y a pas que « lui » (R.E, marri d’ailleurs que BHL ne lui emboîte pas le pas contre Raoult…): cette complexité là cherchant à associer tradition et « optimisation évolutive » n’est pas non plus perçue par certains politistes tels les Duhamel (Olivier et Alain) qui ne voient par exemple dans la « montée du populisme » que xénophobies, envies, dysfonctionnements divers, fermeture sur soi (idem Enthoven également dans son discours à la Convention supra) alors que cette volonté de préserver dans son présent ce qu’il y a de mieux du passé, afin aussi que l’avenir soit bien préparé, n’est en rien une affirmation de supériorité, même si celle-ci n’est pas à être rejetée en soi en terme technique au sens fort: ainsi tel procédé est supérieur à tel autre, il donne de meilleurs résultats (supra, le couple monogame) telles aujourd’hui les libertés de penser et d’entreprendre…et leurs limites…
En fait, le réel débat, à niveau d’enjeu, est, semble-t-il, uniquement porté ces temps-ci, sur tous ces sujets, par Eric Zemmour et Chantal Delsol : le premier parce qu’il a souligné que la déclaration des droits de l’Homme concerne aussi le « citoyen » ce qui implique de prendre en compte précisément sa « singularité » pleine et entière (que d’aucuns appellent « souverainisme »,terme cependant critiquable au même titre que “l’émancipationnisme” comme le souligne Pierre-André Taguieff s’il n’y a pas de transcendance à la clé, même Robespierre l’avait avoué en son instauration du culte de l’Être Suprême…).
Une singularité que Chantal Delsol avait déjà développé depuis longtemps et qu’elle prolonge dans son dernier ouvrage lorsqu’elle critique précisément cet universel abstrait qui persiste aujourd’hui sous les traits dits « déconstructionnistes »: ceux-ci prétendent encore faire la leçon en voulant s’imposer comme absolus malgré leur dire infiniment relativiste; le tout quasi-identiquement au vieil universel patriarcal du républicanisme bon teint croyant que les peuples « primitifs » étaient dénués de « logique » parce qu’ils n’avaient pas atteint le même degré de technicité que l’Occident alors qu’il ne s’agit pas de cela, mais, précisément, de cette singularité civilisationnelle atteinte en Occident qui faisait dire à Weber mais aussi à Husserl que dans cette contrée, l’Europe, avait été saisie une dimension morphologique fondamentale -aujourd’hui déployée dans la liberté d’être cette réalité sensible choisie (du moins pour certains…) cet imaginaire qui ne se réduit pas au “développement des forces productives” comme le croyait Marx ; et dans lequel “on” se love, telle « la substance jouissant du calice de son infinité » indique Hegel en citant à la fin de la Phénoménologie de l’Esprit ce vers de Schiller, mais une substance, libre, refusant de s’aliéner, de se définir en cette identité, là, pour agir dans le monde, restant ainsi la belle âme qui n’a pas à se salir les mains, n’en ayant pas…
Ou le rêve de Marx au fond: comment faire pour ne rien faire, payé éternellement par l’État, cet Esprit incarné selon Hegel (la conscience commune chez Durkheim) ? Comment ? Sinon en tentant de placer le Monde sur pause, sous respiration (financière) artificielle plutôt que de le transformer (prévoir en amont les éternelles vicissitudes et les optimisations évolutives ces affinements pluriels permettant ce bonheur d’être ensemble disait Aristote pour définir le terme de Politique) ; le révolutionner (délirium tremens de la table rase) a échoué…
Une pause, sans fin, donc, n’est-ce pas l’autre nom de la mort ?… N’en parlez pas à nos nouveaux Dalton ils risqueraient de se mettre en colère…
Lucien Samir Oulahbib
Si cette pourriture de Cohn machin,cette ordure notoire a encore accès aux médias,c’est simplement parce qu’il possède des dossiers bien dégueu et compromettant sur nos “élites”.
Et,que dire du ferry cul qui voulait qu’on tire à balles réelles sur les GJ,et les duhamels qui sévissent sur les ondes depuis la TSF et qui retournent leurs vestes à chaque changement de gouvernement depuis de Gaulle ?
Pouah,à vomir toute cette clique.
excellent article….un peu mal au crâne….
les quidams sur le plateau étant tous d’éminents spécialistes de la médecine épidémiologique , c’est un peu perdre son temps que de les écouter….
C’est vrai… Mais une page semble enfin se tourner, les puissants ont fini de manger leur pain blanc ou aux céréales peu importe. Reste encore leurs prédications et prédictions morbides alors que les infections pulmonaires tuent 650 000 personnes par an, le sachant et comme au poker ils decuplent la mise, en prévoient 40 millions… Tapis donc ? C’est alors que Big Pharma arrive dans un mois puis le vaccin dans six et à nous les milliards. Dans ce cas ce beatnik de Raoult joue le rôle du battement d’aile qui va créer une tempête du feu de dieu balayant tout ce beau monde. On peut rêver..?
Lennon désirait que la” paix et l’amour libre se répandent partout “…. Ah ! Quel projet enivrant, tourné vers l’aspiration au dépassement de soi, à l’acquisition des plus hautes vertus, à l’élaboration du beau.
Lennon vendait de la merde à des lobotomisés par leurs professeurs marxistes.
La liste des” intellectuels ” contemporains de mai 68 évoqués dans cet article est intéressante en ce que ces marchands de tapis, vendant du n’importe quoi, sont tous passés à l’oubli ou y passeront.
Cohn-Bendit est un con et un bandit. Par ailleurs, c’est son propre nom ! Mais – prouvant son illettrisme – avec deux fautes, une à “CON” – qu’il écrit avec emphase “COHN” – et une autre à “BANDIT”, qu’il écrit benoîtement “BENDIT”.
Jamais de toute l’histoire un bandit aussi con, n’a porté aussi bien son nom.
Con-Bandit, tu n’es qu’un pauvre et sinistre imbécile, un triste sir illettré. Et ça, ce n’est pas un poisson d’avril…
Parmi les frères Dalton le plus méchant et le moins bête n’est pas Jack mais Joe. Celui que tous ses frères craignent, en particulier Averell, qui à contrario n’est pas très méchant mais très bête, qui se fait souvent corriger par sa demie-portion de frère.
Qui serait Joe dans la brochette ? Enthoven ? On voit pour Averell…
Les français ne sont que des veaux ! Il suffit de boycotter LCI et toutes les chaines qui permettent à un pédophile de s’exprimer…Quand Cohn Bendit ouvre sa gueule cela sent l’égout, le mercaptan. Ce pourri aurait du être traité, des 1968, à la sauce Main Rouge !
On devrait renvoyer d’ un coup de pied au cul cet abrutis de con-bendit en Allemagne et lui interdire le territoire Français !
“En réalité, c’est bien plutôt Raoult qui incarne l’esprit bravache de 68 et non pas Cohn-Bendit ;” Oui mais ça, c’est autoproclamés consciences de l”univers ne le supporte pas ! Interdit d’interdire sauf eux !
A l’époque, nous avions 2 mots ” ALIENES et EXPLOITES, condition de l’OS ouvrier spécialisé, … et j’oubliais “je ne suis pas ta propriété”, dans les relations amoureuses.
Sauf qu’ici on ne parle pas libération de la société des vieux comportements mais d’utilisation d’un médicament donc de science. Et en la matière ce qui compte c’est l’avis majoritaire des scientifiques et la procédure de mise sur le marché d’un médicament. Comparaison n’est pas raison comme dit un vieux proverbe français.
Vous avez vu la dernière livraison de Paris-Match ? : https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Covid-19-c-est-avoir-tort-que-d-avoir-raison-trop-tot-Malheureusement-1680591
et puis aussi là pour le dépistage massif: https://www.les-crises.fr/coronavirus-galli-oui-aux-tests-pour-les-asymptomatiques-que-la-lombardie-fasse-comme-a-vo-euganeo-zero-cas-dans-cette-commune-actuellement/
Je ne suis pas un spécialiste mais le problème du dépistage massif est qu’il est massif, il faut une infrastructure énorme, le matériel pour faire le dépistage. Ce que l’Italie a fait pour une petite commune n’est pas transposable à la France. Mais avec des si ….
Cohn-Bendit n’est qu’un vieil étron stalinien moisi et au cerveau dégénéré. Dans un pays normal, ce type croupirait en prison pour pédophilie.
Et je suis certain que s’il était atteint du Covid-19, il pleurerait pour obtenir le traitement du docteur Raoult.
Ce genre de gauchiste arrogant et donneur de leçons aux “ploucs” que nous sommes, m’a toujours fait vomir. J’aimerais bien les voir passer tous à la guillotine.
c’est vrai qu’on se demande comment il se fait que ce type ne croupisse pas en tôle, comme Lang, et bien d’autres raclures…
je ne regarde pas ces 2 Chiens !
ce qui est incompréhensible c’est le fait qua PAS un journaliste présent a eu le courage de reprendre le con beni et meme de le virer du plateau !! accepter qu’un type sans aucune étude remarquable se permettent d’insulter et de juger un des plus grands epidemiologiste mondial une honte !!
Un nouveau supporter pour le Pr Raoult et le traitement à l’hydroxychloroquine ; le Dr Philippe Douste Blazy sur RT. De bonnes réponses et surtout il soulève la question de l’après confinement et de la bonne utilisation des tests. Je crains que son poste à l’ONU lui soit supprimé par Macron….
Bel article bien argumenté et structuré autour d’une idée porteuse…Mais C-Bendit n’a jamais été qu’un agitateur au service d’autres, les mondialistes bien cachés…Les cocos
qui clament des idéaux sont des agitateurs masqués travaillant pour le N.O.M. sauf les
malheureux qui y ont cru et en sont morts…
Article bien construit mais très ardu!peut être plus à la portée de philosophes?les cohn vendit sont des bons bourgeois ayant fait leur petite révolution en 68 et se revent encore en révolutionnaire en culotte courte ,alors que ce sont des nantis ,des bobos au langage mensongers ,juste bon a effaroucher artificiellement les féministes revanchardes.Quant a Ferry ,le bourgeois profiteur du système apeuré par les GJ ne voulait t’il pas faire tirer sur eux ?
Pauvre France..T’es pas sortie de l’auberge avec ces politicards..
vu sur paris-première dans l’émission de zemmour et nolleau, le fameux philosophe de télé enthoven, toujours égal à lui même incapable de ne pas dire à zemmour qu’il rabachait les mêmes choses ! eh oui, quand on a raison……
C’est curieux, cette idolâtrie subite pour le professeur Didier Raoult.
Il n’y a pas si longtemps que cela, Riposte Laïque le traitait d’idiot :
https://ripostelaique.com/didier-raoult-specialiste-maladies-infectieuses-nie-virus-islamique.html
idolaterie !!! ou simplement bon sens logique !
On peut être en désaccord avec lui sur d’autres sujets, par exemple il encense Deleuze pour s’être accaparé la notion de rhizome mais ne voit pas que Deleuze s’en sert aussi pour asseoir l’instant comme instance suprême ce symbole du relativisme absolu
Par contre il critique la modélisation à l’excès de la projection climatique et c’est une bonne chose.
“Il critique la modélisation à l’excès de la projection climatique ”
est-ce que cela signifie qu’il a des malades en danger de mort dans son service qu’il cherche à sauver et qu’il se fiche que la terre se réchauffe dans 10 000 ans ?
Exact 🙂
Pas sur ses talents médicaux , et c’est de ça dont il est question en ce moment .
ces curieux ces messages à répétition partout dans tous les sujets !
quelle différence y a t’il entre cette salope de cohn-bendit,et le coronavirus.seul le premier touche les enfants.cette pourriture nous n’allons pas l’oublier. vermine cocolabobos pédophile et fier de l’être.quand une enfant de quatre ans me déshabille d’après son éructation de sous-merde entendez je jouis. il en est fier.personne sur le plateau pour lui faire tomber ses dents a cette sous merde.voila ou nous en sommes dans cette monstruosité.il n’est pas le seul dans ce vernis ignominieux pédophile. la ripouxblique pédophile en marche vers l’abime.micron et compagnie tous pourris.il faut tous les buter.faire le grand nettoyage.pas d’émotions et de pitié à avoir pour ses sous-merdes.marre de ces merdes gauchiasses pourries.pas de pitié et pas de quartiers pour ses monstres.
Il n’y a pas plus ringard qu’un soixante-huitard (Tiens… ça rime !)
Ces vieux déglingués, ébouriffés, avec leurs lunettes rondes en métal d’intellos ratés qui écoutent John Lennon et Janis Joplin, qui vantent l’amour universel sur fond d’idéal stalinien, va falloir tourner la page car en 2020 ça fait légèrement has-been !
Oui, hélas..On dit que les verres des lunettes sont en bois et que dans le poêle, il y a du H..
ils ont ré inventé le monde.. Nous avons avancé..Maintenant, il faut que dans chaque foyer..le père et la mère travaillent , sans pouvoir atteindre le niveau de vie d’autrefois..C’est effectivement une révolution….
Il n’y a rien de plus pourri et dégueulasse qu’un soixante huitard
Surtout le pedo pédé bandit !
Comme le dit Gainsbard dans sa chanson:
“68 année névrotique!”
affirmatif !!.