Fachosphère, fachosphère… Est-ce que nous avons une gueule de fachosphère ?…

Ré infosphère sans langue de bois ou Essai gratuit d’histoire contemporaine vivante et comparative.

Sous l’occupation, dès qu’un officier allemand était dézingué par un résistant gaulliste courageux et patriote, ce dernier était désigné par l’occupant comme terroriste. Sa tête était recherchée et mise à prix. Les délateurs se délectaient d’avance pour le dénoncer par lettre anonyme, même s’ils n’étaient sûrs de rien, n’avaient rien vu ni entendu, rien compris. Je crois même que ces salauds s’appelaient des franco-collabos.

  • //Un saut en avant de quasi huit décennies atteste que les méthodes d’investigations restent les mêmes. Les délateurs se sont mués en ONG, associations partisanes, partis politiques en marche ou insoumis, SOS Racisme, LICRA, CCIF, organisations islamiques et salafistes aux moyens financiers et justiciers internationaux considérables type OCI. Les collabos n’ont pas perdu une ride mais « ils sont partout » infiltrés à tous les niveaux sociétaux. Le prochain procès en appel de l’historien Georges Benssousan mené par le CCIF soutenu par le Parquet (gouvernement !!!!) est un immense scandale au point qu’on ne peut pas continuer à s’engluer encore dans l’indignation et qu’il faudra trouver vite autre chose. Tant pis pour feu Monsieur Hessel. Benssousan est un historien de gauche, mais où sont les Charlie ?… //

Cependant pour continuer à faire régner la terreur, l’occupant devait trouver un ou des coupables afin de lui réserver un sort sans lendemain, censé décourager tous les autres de résister.

  • //L’arbitraire semble prononcé par des tribunaux d’exceptions en France. La double peine opposée à la liberté d’expression confisque le débat démocratique. Tout témoigne que rien n’a changé et ne changera pas, depuis des siècles d’injustice. Ainsi perdure inlassablement pour les naïfs le règne de la terreur des thuriféraires aux ordres, actionnant l’arme de la dissuasion psychologique avec ceux qui tentent de dévoyer la justice et l’ordre moral établi. Robe, jabot et manteau d’hermine, ces nouveaux voiles, les rendent invisibles derrières les volutes de fumées des spécialistes de cet ordre. M’enfin monsieur la Justice lisez donc Riposte laïque ne serait-ce pour avoir une idée réelle de l’avenir qui attend vos chers !.. //

Mais lorsque le résistant patriote, courageux auteur du dézingage, s’était évaporé incognito dans la nature, des innocents responsables devaient prendre sa place. Il fallait, en ce temps-là, montrer aux occupés, que le crime ne payait pas, ne pouvait perdurer, [alors que les leurs se chiffraient en millions de morts !…], il fallait toujours montrer que la “loi” était toujours dans le camp du plus fort, celui de l’occupant germano-nazi !

  • //Condamnés pour blasphème et pour répandre la haine de l’islam en France, Christine Tasin et Pierre Cassin sont jugés coupables et Pierre risque 3 mois de prison. Malgré leurs appels de jugements, s’ils ne fuient pas leurs responsabilités, nous indigner ne suffira pas ! Ils servent d’exemples avec les mêmes mécanismes d’inculpation que sous l’occupation d’une justice d’exception, on l’a vu, pas du tout indépendante, depuis la révélation du mur des cons par un courageux journaliste qu’on ne voit plus !//

Alors pour servir d’exemple, pour faire disparaître toute forme de résistance à l’occupation, [mais pas aussi arbitrairement que l’histoire veut bien nous le faire croire], ils prenaient de force, dix otages parfois plus, souvent des femmes et des hommes jeunes, l’occupant les mettait le long du mur et les fusillait sans autre forme de procès.

  • // Que dire de plus, sinon que le-dit terroriste contextuel est devenu, huit décennies plus tard, un présumé coupable ; que le système politique, après enquête accélérée du parquet, comme jamais, se laisse le droit de retirer l’adjectif présumé. Coupable commis d’office. Un système judiciaire acharné se reconnait par son entêtement [grosse fixation psy ou névrose grave] à toujours vouloir trouver un bouc émissaire idéal (surtout s’il est étiqueté d’extrême droite comme sur le site Wikipédia), un coupable qui sera éliminé socialement, financièrement, politiquement, juridiquement professionnellement… pour empêcher la réinfosphère, rebaptisée pour les besoins de la terreur en fachosphère, pour la diaboliser, la bâillonner, l’empêcher de dire des vérités qui dérangent, au risque d’éveiller les consciences. Les foudres de Jupiter s’abattront sur les fake-news, sur la fachosphère, sur celle qui prend tous les risques pour nous ré-informer, nous alerter du danger visible en cours. Celle qui n’hésite pas à dénoncer le chaos des soumis au diktat européen, sans jamais avoir eu une seule fois l’intention de renverser la table du pouvoir en place, seulement celle de l’alerter pour mieux exister demain. Ils le font, en rébellion, pour préserver l’avenir de leurs enfants. Il faut y voir non pas des fachos, des suppôts candides du fN-RN, mais des Français nostalgiques de Jean Moulin, de la Résistance, de la France gaullienne, de l’appel du 18 juin, de la libération de Paris, celle qui a vaincu le nazisme de l’intérieur, de cette France profonde qui s’est mis dans la tête de libérer leur pays du nazislamisme qui le menace.
  • Les diktats du politiquement correct servent le pouvoir en place et sa justice perdra son temps  à s’acharner de condamner injustement ces patriotes nostalgiques. Comme dans le chant des Patriotes lorsqu’un ami tombe, un autre prendra sa place inlassablement. Les bâillonner sur le poteau avant exécution ne les empêchera pas de les voir crier tous en cœur :    
    •                                             « Vive la France ».                                       
  • Le peloton d’exécution et son image terrible de mise à mort, comme a été celui de Gabriel PÉRI n’est plus d’actualité. Il symbolise une autre époque où en temps de guerre ou encore la paix revenue, l’on punissait les traîtres à la patrie. Les femmes ayant copulé et enfanté avec l’ennemi, le boche, se sont vues tondues et malmenées par une justice populaire de rues. Un siècle et demi avant, place de la Concorde, Robespierre le faisait autrement en actionnant sa guillotine sur beaucoup de notables. Notre exécutif ne veut pas réveiller les consciences par un retour à l’exécution physique, depuis l’abolition de la peine de mort. Cette image étant jugée nuisible à l’angélisme du monde de bisounours qu’il cherche à créer. Le peloton, s’il n’est plus dans l’air du temps, aura du moins été remplacé par des tribunaux d’exception, réservés aux seuls patriotes et résistants qui refusent l’invasion imminente de la France, de clandestins, qui leur est imposée – comme on introduit un suppositoire – politiquement et financièrement, contre leur gré, comme une fatalité et qu’ils ressentent comme un grand remplacement de peuple. Est-ce grave docteur Freud ?

C’est ainsi que le national-socialisme hitlérien, craignant pour sa survie, effectuait ses purges.

L’empire de la terreur était à l’œuvre pour : museler, contrôler, censurer, humilier, endoctriner, torturer, condamner, éliminer. Les autodafés allaient bon train. Les dissidents ne vivaient pas très vieux. Le cinéma était censuré. L’Art expressionniste ou moderniste inimitable et inaccessible au pseudo peintre raté Hitler était interdit car qualifié d’art dégénéré, pire si les artistes peintres étaient juifs.

Les artistes étaient persécutés pour leurs idées politiques contraires à l’idéologie du IIIe Reich… [Depuis, rassurez-vous, ils ont su s’adapter pour exister avec les télés et autres magazines taillés à leurs mensurations artistiques !]. La culture était sous contrôle par l’endoctrinement des masses sous-tendue par la propagande aux ordres de Goebbels. Les Français, sous occupation allemande, vivaient des heures terriblement sombres.

Quand on pense que le mentor d’Hitler s’appelait Alfred Rosenberg. Nul besoin de faire de la généalogie pour trouver l’origine de son patronyme. Une ordure, un déchet humain, un dégénéré psychotique qui a trahi son identité et son peuple. Lui qui, avec Adolf Eichmann et Joseph Mengele le bourreau d’Auschwitz, sont à l’origine de la destruction planifiée de plusieurs millions de morts en particulier… des juifs d’Europe.

La trahison, entre les mains de ces malades, était une arme absolue pour effacer notre civilisation.

Qui s’en soucie vraiment de nos jours ?…

  • //Qui peut objectivement nier le parallélisme historique de l’autodafé avec celui de la fermeture des sites de ré-information taxés de mensonges, calomnies, médisances (fake-news). La justice et les RG du p’tit cron, incarnent le Big Brother d’Orwell qu’il écrivit dans 1984, pour dénoncer la dictature soviétique stalinienne. Les lanceurs d’alertes, se voient contrôlés, ciblés, muselés, censurés, condamnés, et prêts à être éliminer du terrain de leur action. Les pamphlets croquignolesques de RI7, se voient muselés puis condamnés au même titre que l’Art dégénéré. Le dissident du site, accusé d’être “her director”, dont l’étoffe est celle d’un héros, d’un résistant, d’un patriote, voit alors la justice s’acharner contre lui.  Epié par Big Brother dans la peau d’un inspecteur de police, persécuté jusque chez lui, privé de son ordinateur, de son portable. Sa liberté d’expression et sa parole sous séquestre. Accusé tel un criminel de dénoncer, à grande échelle ( 50.000 clics jour), depuis une décennie, le danger imminent, irréversible, d’un islamo-nazisme pire que le nazisme. Une invasion rampante qui va envahir toute l’Europe sans concession. Un islamisme antisémite, raciste et anti blanc occidental, relayé stratégiquement de partout. Une armée de l’ombre, qui  s’est forgée historiquement à la source du nazisme revanchard, de l’après-guerre, avec tous les nazillons en fuite et planqués en Égypte, à Damas, en Argentine, au Paraguay, au Brésil… Nous l’évoquerons dans un prochain article avec Olivier Guez, Prix Renaudot 2018, chez Grasset.

 

  • Après cet essai d’analyse – qui se focalise vers une histoire vivante, contemporaine et comparative – y voyez-vous matière à s’esclaffer pour actionner la chape de plomb du mutisme ambiant affirmant doctement que : « comparaison n’est pas raison » ?…
  • Finalement à vouloir comprendre en tentant de rapprocher toujours les faits historiques passés et patents avec ceux de la réalité, ne frôle pas le délire, ni la 17e Chambre, mais permet plutôt de grandir.  

                                    Pour preuve : l’histoire repasse souvent les plats ?…

 

 

Au rendez-vous allemand
Paul Eluard

1944
Comprenne qui voudra
Moi mon remords ce fut
La malheureuse qui resta
Sur le pavé
La victime raisonnable
À la robe déchirée
Au regard d’enfant perdue
Découronnée défigurée
Celle qui ressemble aux morts
Qui sont morts pour être aimés
Une fille faite pour un bouquet
Et couverte
Du noir crachat des ténèbres
Une fille galante
Comme une aurore de premier mai
La plus aimable bête
Souillée et qui n’a pas compris
Qu’elle est souillée
Une bête prise au piège
Des amateurs de beauté
Et ma mère la femme
Voudrait bien dorloter
Cette image idéale
De son malheur sur terre.

Patrick Granville.