Faire endossser les mariages forcés aux cathos, fallait oser, Gayet !

A l’occasion de la Journée de la Femme, Lisa Azuelos a réalisé un court métrage intitulé « 14 millions de cris » pour prétendument dénoncer le fléau du mariage forcé qui toucherait 14 millions de femmes dans le monde.

Durant ces quatre minutes de pellicule sans doute largement subventionnées par nos impôts, nous voyons la Gayet – Julie de notre Camembert Président – et Alexandre Astier – Roi Arthur déchu  – jouer le rôle de parents issus de la petite bourgeoisie chrétienne parisienne emmenant leur fille d’une douzaine d’années pour un mariage forcé avec un pédophile dans une mairie française à l’allure d’église.

[youtube]Cl-TtSFJS-g[/youtube]

http://www.youtube.com/watch?v=Cl-TtSFJS-g

Lisa Azuelos explique son parti pris par les excuses habituelles des apprentis dhimmis : « Je ne suis pas là pour braquer la lumière sur une population et dire regarder ce qu’ils font à leur femme, a-t-elle déclaré. De plus, on a besoin de s’identifier pour être en empathie. C’est pourquoi j’ai choisi de tourner à Paris. Quand les gens vont voir ce film, ils vont ressentir quelque chose qu’ils ne pourraient pas ressentir si cela ne les concernait pas. C’est malheureux mais très humain. Mon métier en tant qu’artiste c’est d’interpeller les gens dans leur sensibilité. »

C’est sûr qu’en visionnant ce film abject, j’ai ressenti quelque chose.

Est-ce que lors de la journée de la femme je pouvais traiter la Gayet et Lisa Azuelos de « salopes » ?

Parce qu’il fallait le faire, mettre en scène des parents chrétiens, une gamine ayant un poster du Christ dans sa chambre, une église-mairie française pour dénoncer les mariages forcés…

C’est sûr qu’avec ce genre de « chier d’œuvre », les musulmans ne vont pas se sentir stigmatisés.

Depuis quand dans toutes les mairies françaises, les élus marient-ils des fillettes avec de vieux pervers ?

Les derniers mariages de ce genre ont dû avoir lieu au Moyen Age.

Alexandre Astier s’est permis de traiter d’imbéciles ceux qui n’avaient rien compris au second degré du film..

J’en fais partie.

Je n’ai pas compris que depuis deux ans Hollande et sa clique nous font du second degré : maitresse rue du cirque, théorie-du-genre-qui-n’existe-pas mais qu’on enseigne dès la maternelle, milice Antifa tabassant les familles de la Manif parce qu’une poussette est une preuve d’extrémisme…

Tout le parcours sublime de Hollande doit être relu à l’aune du second degré.

Ce sont les millions de chômeurs qui vont se poiler en apprenant cela.

Mon usine ferme : second degré. Le Grand Remplacement est de plus en plus évident : second degré. Un président normal encore soutenu par 16% des citoyens : second degré. Des menaces contre le très patriote Vladimir Poutine : second degré.

A quand le 100e degré pour que tous ces bobos, ces supposées élites, ces politicards, ce show-biz soient définitivement ébouillantés?

Enfin moi qui me définirai à la manière d’un personnage de Tillinac comme un catholique sans Dieu tant j’aime les marques que cette religion a laissées sur nos paysages et notre intelligence, je trouve particulièrement odieux de cogner sur les Français de souche chrétiens, et particulièrement lâche de ne pas dénoncer les adorateurs de Mahomet qui emmènent leurs filles au bled pour les jeter dans les bras de vieillards décatis.

Il est vrai que vivre avec une fatwa au cul c’est bon pour Salman Rushdie et Robert Redeker, pas pour la Julie de Normal Ier et le Roi Camelote.

Marcus Graven

image_pdfimage_print