Fiction : demain une Afrique Blanche ?

Image de titre : Un spectacle africain où l’on retrouve tout l’humour hautement subtil de voir des bébés blancs embrochés…

Article long

Le titre complet mais plus long serait :
« Aujourd’hui l’Europe Noire et pourquoi pas demain une Afrique Blanche… ? »

Nous, au moins, Occidentaux, n’embrochons pas des bébés de quelque origine que ce soit à cause d’une haine viscérale de nous-mêmes qui nous rongerait…
Spectacle affligeant, abject et morbide inspiré du rappeur Nick Conrad (un grand intellectuel), qui appelait à tuer les bébés blancs dans les maternelles (et également un morceau intitulé « Pendez les Blancs » en 2018).
La grande classe !
On ne voit d’ailleurs aucun rapport avec la colonisation.
Non, il ne s’agit là que de la haine pure de certains contre la race blanche. Aucun Européen n’aurait jamais eu le culot de produire une telle sorte de spectacle immonde, reflet d’une néo-pseudo culture inspirée de ce qu’il peut y avoir de plus abject et barbare en l’homme.
Ni la gauche bien-pensante ni aucun politicien en France n’a d’ailleurs dénoncé cette atteinte grave à la morale universelle, au respect humain, au respect de la vie et du droit de tout humain à vivre dans la dignité.
Je crois que l’indignité et l’inhumanité sont du côté de ceux qui véhiculent ce genre de discours et de symboles.
« Bébés blancs embrochés dans une pièce de théâtre « décoloniale » en France »
https://quebecnouvelles.info/bebes-blancs-embroches-dans-une-piece-de-theatre-decoloniale-en-france/

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Si l’Europe est blanche depuis des milliers d’années et si l’Afrique est noire depuis des milliers d’années aussi et si elles sont très différentes culturellement, ce n’est pas de ma faute.
C’est la nature qui l’a voulu, le darwinisme, les lois de l’évolution des peuples du monde, pas les humains.
C’est la nature qui a créé les races selon les régions du monde. Les races existent et il est vain de le nier. Mais aucune race de l’espèce humaine n’est supérieure ni inférieure à une autre. Elles sont différentes, comme les humains sont aussi tous différents entre eux au sein de la même race.
Il y a les Noirs (Afrique), les Blancs (Europe et Moyen-Orient), les Jaunes (Asie) et les Rouges (Amérindiens) aux USA. Mais il n’existe pas vraiment de race rouge. Les Amérindiens sont plutôt un mélange d’anciens immigrants asiatiques, sibériens, blancs et de populations du sud de l’Amérique aux origines méconnues. C’est compliqué…
Le terme « nègre » pour désigner les Noirs vient simplement de l’espagnol « negro » qui désigne la couleur noire, en général.
Aujourd’hui, le terme est moins utilisé.

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Ce texte est un modeste essai, un jeu de l’esprit, une FICTION ou une ANTICIPATION (sur le futur) et une réflexion sur les grands mouvements migratoires des peuples du monde provoqués par de nombreuses raisons qui ne sont pas toujours évitables.

Que l’on ne vienne donc pas m’accuser, au nom de la loi de 1881 (Loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse), de toutes sortes de délits de haine et d’incitation à la haine et à la violence contre des races, des peuples, des nations, des ethnies et des religions dont je me fous et dont notre gouvernement est si friand, dans le seul but d’abolir peu à peu la liberté de pensée et d’expression qui sont toujours et plus pour longtemps inscrits dans la Constitution de notre pays.
Enfin, pour certaines parties de la population française uniquement…

Je suis un être paisible et pacifique. Je n’ai de haine contre personne et je souhaite juste exprimer des points de vue et des analyses qui ne me semble pas moins intéressants ni réalistes et cartésiens que les millions d’âneries pitoyables que le gouvernement Macron, le plus grand ennemi de la France, nous assène quotidiennement.

Je pense que si les Africains ont tellement envie de venir vivre en Europe et de la peupler, nous avons le devoir fraternel de leur donner leur chance, à leur tour, de réaliser ce rêve merveilleux de colonisation.
Bien sûr, lorsque nous aurons tous quitté notre berceau européen pour leur céder la place, il est évident qu’ils auront tout un monde à reconstruire, un monde à leur image et à l’image de leur culture, un monde dans lequel, bien évidemment, il n’y aura plus de subventions d’État, plus de sécurité sociale, plus d’allocations familiales et plus d’Assedic, puisque nous ne serons plus là pour remplir les caisses de l’État et de toutes ces organisations sociales.
Ce sera pour eux une expérience et une aventure merveilleuse de reconstruire cette Europe qu’ils auront entièrement détruite.
Et je suis sûr que le résultat sera magnifique.

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Le concept de migration Sud-Nord

Ce concept n’est pas nouveau.
Il en est question depuis très longtemps.
De nombreux auteurs, historiens, démographes et spécialistes des mouvements migratoires l’avaient prévu et développé.
Ces migrations sont planétaires et ne concernent pas que l’Afrique et l’Europe.
Elles ont été prévues et analysées depuis plus d’un siècle par de nombreux spécialistes de ces questions qui ont averti des dangers que cela représentait.

La grande question que l’on peut et que l’on doit se poser est :
« Est-ce que l’Europe peut accueillir un milliard d’Africains ou ne serait-ce que quelques dizaines de millions et pour en faire quoi ? »

Plus récemment.
« Immigration, idéologie et souci de la vérité »
https://www.revuedesdeuxmondes.fr/immigration-un-deni-qui-coutera-cher/
« Migration Sud-Nord et commerce : une revue de la littérature [article] »
https://www.persee.fr/doc/recod_1245-4060_2000_num_8_3_1043
« Sud/Nord ou Sud/Sud, les enjeux de l’immigration au XXIe siècle »
https://information.tv5monde.com/international/sudnord-ou-sudsud-les-enjeux-de-limmigration-au-xxie-siecle-21232
« Les migrations internationales (cours) »
https://www.kartable.fr/ressources/geographie/cours/les-migrations-internationales/51052
« Pourquoi les migrants quittent-ils leur pays ? »
https://www.lacimade.org/faq/pourquoi-migre-t-on/

Aujourd’hui, les flux migratoires sont de plus en plus liés, soutenus, accompagnés et prétextes politiques à des flux culturels ou religieux qui ont largement compliqué les choses.
Les pays d’accueil qui acceptent de recevoir un certain quota de migrants ne sont plus d’accord pour en recevoir en excès et encore moins lorsque ces migrants représentent des populations fortement marquées par des principes et des cultures profondément différents et une menace propre à favoriser de la discorde, du chaos, des troubles, de la haine, de la violence et de la guerre dans ces pays.
Personne ne veut de ça.

Renaud Camus avait très bien préfiguré et décrit dans son livre « Le Grand Remplacement » l’invasion migratoire à venir et il ne s’était pas trompé.
Actuellement, cette invasion migratoire à 99 % africaine est en train de prendre un nouvel élan et une accélération encore jamais vue.
« Invasion de Lampedusa : que les clandestins retournent en Afrique ! »
https://ripostelaique.com/invasion-de-lampedusa-que-les-clandestins-retournent-en-afrique.html
« Lampedusa : 7 000 puis ce soir 11 000 envahisseurs… et demain ? »
https://ripostelaique.com/lampedusa-7-000-puis-ce-soir-11-000-envahisseurs-et-demain.html

Et les conséquences bien évidemment inévitables de cette vague de migration :
« La guerre civile est inéluctable : constat lucide d’un officier supérieur »
https://ripostelaique.com/la-guerre-civile-est-ineluctable-constat-lucide-dun-officier-superieur.html

Mais nous le savons tous, cette immigration est loin d‘être « naturelle. »
Elle est la réalisation d’un projet de destruction de la civilisation occidentale démocratique, constitutionnelle, blanche et chrétienne visant à lui retirer toute identité culturelle, intellectuelle et morale.

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En effet, lorsque l’on voit que des millions de natifs de ce continent africain ne s’y plaisent pas et préfèrent migrer vers le Nord, l’Europe occidentale et les pays avancés culturellement et technologiquement, on se demande bien pourquoi, dans la mesure où, une fois en Europe, ils ne cessent de maudire l’Europe…

Le continent africain, nous le savons tous, est un des plus riches du monde par ses ressources de surface comme de sous-sol.
Les Occidentaux l’ont compris et il leur a suffi, depuis des décennies, d’arroser généreusement les dirigeants corrompus de ces pays pour obtenir le droit de prospecter, d’extraire et d’exploiter ces ressources de surface ou souterraines fabuleuses et intarissables.

Il existe, certes, un petit nombre de pays africains qui ont réussi à exploiter eux-mêmes leurs ressources naturelles, mais un grand nombre ne l’ont pas fait et ont préféré se faire protéger, subventionner et se nourrir à la mamelle de l’Occident avancé et riche, jusque-là.

Mais le monde change et les humains aussi, car ils doivent s’adapter aux changements, dans la mesure où il leur est absolument impossible de l’éviter.

Aujourd’hui, des centaines de millions de représentants de ces pays et de ce continent de cocagne, estiment plus judicieux de venir profiter des systèmes sociaux de solidarité européens et de les parasiter plutôt que de tenter de travailler comme salariés, artisans ou créateurs de petites entreprises chez eux, dans leur pays.
C’est leur vision du monde, entachée d’une haine sans limite contre les Blancs et les Occidentaux, anciens colonisateurs supposés, qu’ils estiment responsables de tous leurs maux.
Cela dit, d’autres nombreux africains, attachés à leur pays ou à leur région de naissance, préfèrent rester à travailler chez eux, parfois durement, et continuer de vivre près de leur famille, dans le cadre de leur culture et de leurs traditions.
Ceux-là sont courageux et méritants, car la vie en Afrique n’est pas toujours facile.

Mais nous nous trouvons néanmoins aujourd’hui face à de vastes mouvements migratoires Sud-Nord favorisés par les décisions des dirigeants français, de l’UE, de l’OTAN, des USA et du Nouvel Ordre Mondial de Klaus Schwab et sa clique de séniles dégénérés qui se prennent pour de nouveaux dieux missionnés pour refaire le monde.

Alors, qu’est-ce qui motive ces millions d’Africains à quitter leur continent, leur terre, leur famille pour se rendre aveuglément dans des pays où rien ne leur garantit (à part des mensonges) que leur vie sera meilleure, ce qui s’avère en effet faux, aujourd’hui, pour la plupart… ?

C’est une bonne question.

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Migrations, rien de nouveau !

Les migrations ont toujours existé, tout comme les guerres, les exterminations, les génocides, les déplacements forcés de populations, les déportations, l’esclavage, les trafics d’êtres humains, etc.

Tout cela relève d’ailleurs, aujourd’hui, de certaines lois et traités internationaux, comme les traités de Londres ou de Nuremberg qui, après la Seconde Guerre mondiale, ont tenté de mettre un terme à ces pratiques inhumaines. Mais en vain, semble-t-il, car le Pacte de Marrakech sur les migrations d’Emmanuel Macron a relancé les trafics d’êtres humains et les déplacements de populations.

L’Occident lui-même, l’Europe et nos ancêtres blancs, ont tenté d’aller trouver une vie nouvelle et meilleure en Amérique du Nord.
Pour certains cela a été réussi, mais pas pour d’autres.
Migrer c’est toujours prendre le risque de perdre ce que l’on a quitté sans avoir la certitude de revenir un jour, de trouver mieux ailleurs, ni même de trouver quelque chose.
Et tant sont morts avant d’arriver, simplement pendant leur traversée ou leur voyage terrestre ou ont disparu par la suite… !

Nos amis africains sont-ils vraiment sûr de trouver le monde merveilleux qui les fait rêver ?
L’organisation de leur départ est-elle bien de leur seule initiative ?
Ne sont-ils pas déjà manipulés, poussés vers la sortie et financés par des politiciens opportunistes qui ont intérêt à les faire émigrer pour se débarrasser d’eux… ?
Et ensuite ils sont dépouillés par les passeurs qui ont trouvé là un commerce juteux.

L’Europe a-t-elle besoin d’eux et pour quoi en faire ?
En Europe, il n’y a pas déjà pas de travail pour les Européens.
Malgré les mensonges éhontés de nos dirigeants pour qui le chômage est éternellement stable et même en voix de diminution (un miracle divin, sans doute !), alors que chaque année nous accueillons des millions de migrants illettrés, sans formation et sans compétence, que vont-ils devenir, comment vont-ils travailler, se nourrir, se loger, s’habiller, circuler et vivre dignement…?
Les faits son là, ils ne peuvent pas y parvenir.

Alors, on les regroupe, on les cache, on essaie de les envoyer dans les régions, dans des villages, etc.
Mais ils sont déracinés, rejetés, pestiférés et ils souffrent. Ils ne sont plus chez eux nulle part.
Que leur reste-t-il ?
La délinquance, la drogue, le deal, le vol, et puis le viol, le crime, la haine, la violence et la prison.
Pas sûr que ce soit la vie de rêve qu’ils espéraient.

Tout cela engendre, bien sûr, beaucoup de problèmes de cohabitation multiculturelle et toute la méfiance, le rejet, la haine et la violence qui en découlent.
Faire cohabiter par la force des peuples, des ethnies, des races, des cultures et des religions différents s’est toujours terminé, historiquement, dans des bains de sang.
Alors, pourquoi le faire ?

En Europe et en France, le problème ne fait chaque jour que s’amplifier.
Beaucoup de jeunes Français ont commencé à quitter la France par peur de se retrouver dans la tourmente d’une guerre civile généralisée qui sera inévitable. Ils ont raison. D’autres se préparent aussi à fuir vers de meilleurs horizons. Ne resteront alors que les vieux et les plus fragiles ou plus pauvres qui ne pourront pas fuir et se feront massacrer.

Mais à terme la France ne sera plus la terre des descendants des Français historiquement de souche, les descendants de nos ancêtres communs depuis des siècles. Même si ces ancêtres ont parfois été eux-mêmes mélangés pendant des siècles à d’autres immigrés venus par petits nombres de toutes les régions du monde et qui se sont intégrés à notre peuple.
Il s’agissait alors d’une immigration naturelle et lente et non pas forcée ni planifiée massivement, comme aujourd’hui, par des puissances de l’ombre.

En l’état actuel des choses que l’on peut observer, peu à peu notre pays se peuple et se peuplera encore d’immigrés africains et deviendra une nouvelle terre africaine. Ils la nomment déjà eux-mêmes « Françafrique. » On ne pourra pas s’y opposer, car personne, parmi nos dirigeants politiques, ne semble s’en inquiéter ni avoir la moindre volonté de réguler les choses.

Il ne reste donc bien aux Français que la ressource de fuir.

Et si l’on regarde bien, pendant que l’Afrique va se vider de dizaines, voire de centaines de millions de ses habitants attirés par l’Europe et le reste du monde, l’Afrique dépeuplée va devenir une nouvelle terre d’asile pour les Européens en recherche d’un nouveau monde à repeupler, à développer et à faire fructifier. Il ne s’agit pas de conquérir ni de coloniser, mais d’apporter à l’Afrique la richesse de notre culture occidentale, de notre science avancée depuis des siècles et de nos technologies modernes plus récentes. De même que nous avions, dans le passé, apporté à d’autres territoires du monde tout ce que nous possédions et en avions fait des terres et des nations développées et, pour certaines, aujourd’hui encore très épanouies et toujours très liées à la France.

En Afrique, des territoires immenses, non peuplés et potentiellement prospères, nous attendent.
Il faudra négocier avec leurs gouvernements pour obtenir des accords économiques honnêtes et équitables pour chacun d’installation et d’exploitation des ressources naturelles sans jamais avoir à en passer par un quelconque modèle de colonisation ou d’invasion brutale.
Plutôt un modèle de paix et de voisinage harmonieux.
Le projet sera de s’établir sur plusieurs États africains existants en signant des accords et des traités de paix et de collaboration avec leurs dirigeants.

Nous achèterons les terres dont nous aurons besoin et nous leur apporterons notre savoir-faire et notre expérience dans de nombreux domaines.

Ne seront d‘ailleurs admis sur nos territoires par nos règles locales que des immigrés français paisibles, cultivés, instruits, possédant des compétences utiles, non violents et à l’exclusion de tous délinquants ou criminels.
Aucune bouche inutile ne sera acceptée ou sera expulsée vers son lieu d’origine forcément connu de tous.
Nous respecterons nos voisins natifs, les traiterons amicalement et leur apporterons notre aide lorsque ce sera nécessaire.
Mais nous ne nous mélangerons pas avec eux pour respecter leur culture et leurs traditions et aussi afin d’éviter le piège mortel vécu en Europe d’un « vivre-ensemble » absurde et impossible qui ne peut conduire qu’à un désastre.

Tout résident sera obligé de travailler normalement dans sa branche professionnelle et se comporter civilement selon des règles sociales irréprochables.
Il n’y aura pas de riches ni de pauvres, ce sera la démocratie absolue évitant tous les pièges et les dérives que nous avons connus en France.

Nous aurons des règles, des lois et des sages pour les faire respecter.
Inévitablement une force publique pour faire régner la paix, l’ordre et la tranquillité de chacun en cas de rare dérapage toujours possible.
Nous vivrons alors selon un concept innovant inspiré des anciens des Républiques de l’Antiquité.

Chacun devra produire et contribuer à l’effort collectif.
Lorsque l’économie sera bonne, chacun en profitera à terme grâce aux plans de travaux et de modernisation de notre nouveau monde.
Les structures nécessaires à tous seront implantées, agriculture, routes, hôpitaux, écoles, universités, canaux d’irrigation, industries, mines, forages, oléoducs, gazoducs, centrales nucléaires, voies ferrées, champs photovoltaïques, aéroports, bases aériennes militaires, usines d’armement, armes nucléaires et tout ce qui sera nécessaire pour protéger notre peuple, des barrages et des centrales hydroélectriques, etc.
Il nous sera aussi nécessaire de nous doter d’une armée puissante pour défendre nos populations, nos droits et nos terres contre des voyous, des terroristes religieux ou des mercenaires missionnés par des pays refusant notre présence et notre réussite.

Nos voisins seront traités avec respect, nous ne nous occuperons pas d’eux, ne les envahirons pas, ne leur causerons aucun tort, ne tuerons aucun des leurs, ne violerons et n’égorgerons pas leurs femmes, mais s’ils veulent bénéficier de nos technologies, de notre médecine et de nos services, ils devront en payer le prix légitime.
De la même façon que nous pourrons aussi leur acheter ce qu’ils auront éventuellement à nous vendre qui puisse nous intéresser.

Avec le temps, peu à peu, nous devrons aussi nous étendre, acheter de nouvelles terres et les exploiter en sols et en sous-sols.
En contrepartie, nos voisins devront soit accepter nos règles et nos lois, comme leurs frères nous aurons imposé les leurs en Europe, soit se déplacer vers de nouveaux territoires, dans le même esprit.

Ils ne devront jamais oublier que nous serons là uniquement par la conséquence de leur invasion de l’Europe et de notre obligation de fuir leur colonisation violente et barbare sans issue.
Toute menace ou chantage sera alors considéré comme une agression appelant une réplique militaire immédiate destinée à préserver nos populations et nos acquis en territoires et aménagements.

Le Pacte de Marrakech sera là pour légitimer notre droit migratoire et notre droit à nous installer sur toute terre de notre choix, comme il l’aura fait pour eux. Aucune loi ne peut être à sens unique.

Peu à peu l’Afrique deviendra notre terre et ceux qui ne l’accepteront pas auront à leur tour le droit de migrer vers d’autres cieux…
L’Europe sera devenue noire et l’Afrique sera devenue blanche, par un juste retour des choses…
« C’est l’histoire de la vie… » (Le Roi Lion)

N’oubliez surtout pas que ce texte n’est qu’une fiction, une histoire, une fable, une fantaisie. Ce n’est pas la réalité.

Laurent DROIT