Français, vous vous trompez de combat !
Le gouvernement, les syndicats et les journalistes vous enfument. On vous montre une bataille qui, pour justifiée qu’elle soit pour certains, cache une guerre d’invasion, déclarée depuis plusieurs années, bien plus dangereuse pour les Français.
Cette loi sur la retraite peut paraître illégitime et pour certains, c’est un fait avéré. Lorsque l’on travaille plus de quarante ans comme maçon ou marin-pêcheur ou soldat et que l’on a commencé à 16 ans – prenons ces exemples mais il y en a d’autres – il est légitime de vouloir arrêter de travailler à cinquante-huit ou soixante ans avant que le corps soit usé. Pour les autres professions, métiers dits intellectuels, commerciaux, fonctionnaires et cadres en tous genres, etc. la liste n’est pas exhaustive, on peut s’interroger sur le fait que, pour ces gens là, travailler deux ans de plus que la règle actuelle soit une atteinte insoutenable à leur intégrité physique.
Sans entrer dans l’usine à gaz des systèmes de calcul de retraite qui prévalent aujourd’hui, on a peine à en situer les contours tant ils sont flous, inégaux et souvent injustes. Alors le plus simple, dans un souci d’égalité si chère aux plumitifs de tout poil largement brossés par une idéologie de gauche, serait de mettre tout le monde au même régime, du ministre à l’employé aux écritures, dès lors que l’un ou l’autre a cotisé pour cela. La même règle pour tout le monde, avec une exception pour les métiers dits « pénibles » en fonction d’une analyse objective, pas comme à la SNCF où le départ à la retraite en principe de 55 à 57 ans est réduit pour les conducteurs de trains qui peuvent y prétendre de 50 à 52 ans et où le montant de la pension est égal à 75 % du salaire des 6 derniers mois. Quant à ceux qui préfèrent ne pas travailler du tout, leur marginalité doit être considérée comme une atteinte à la société et, de ce fait, doit être traitée comme telle… Laissons-nous le choix des remèdes…
Aujourd’hui, il faut se rendre à l’évidence, comme le journaliste Dimitri Pavlenko le soulignait sur CNews, le 28 mars dernier, « les Français préfèrent brûler Paris que travailler deux ans de plus » conspuant sans honte une police qui tape, avec raison cette fois-ci, sur les mouvances anarcho-écolos.
Pourtant, la France fait face à un danger civilisationnel beaucoup plus important, l’immigration massive. Principalement islamique, le djihad quotidien qui met le pays dans l’insécurité la plus terrible, les revendications communautaristes insupportables et les constructions incessantes de mosquées peuplent notre quotidien sans que cela alerte nos compatriotes… ou si peu ! Par les temps qui courent, où l’« on » frappe au hasard une dame âgée parce qu’elle est de confession juive, une jeune fille parce qu’elle porte une jupe trop courte ou un jeune homme parce qu’il refuse de donner une cigarette, il est difficilement concevable que l’on mettre le pays à feu et à sang pour quelques mois de travail en plus.
Vous l’aurez remarqué, la plupart des Français d’origine exogène ne s’est pas fait entendre au cours des dernières semaines. Diable, ils se contrefichent de l’âge de la retraite tant leurs priorités sont, en marge d’une société judéo-chrétienne qu’il repoussent pour une majorité d’entre eux, sont plus orientées vers le « business » facile, les trafics en tous genres, la croissance et l’installation durable de leur communauté sur le sol national. Pourquoi donc se battraient-ils sur ce terrain économique et social ? « Laissons les Koufars se crêper le burnous entre eux sur fond d’une loi travail dont on se fout et quand ils seront fatigués de se battre, on raflera la mise ! C’est, d’une façon résumée, ce qui s’est passé au VIIe siècle et qui a perduré presque 700 ans en Espagne au cœur de ce que nous appelons depuis « Al Andalus ». L’Histoire se répète !
Chez ces gens-là, Monsieur, on ne va pas dans les manifestations contre la loi travail. On laisse la gestion du désordre à ses complices de fait qui travaillent également en meutes, les Khmers Verts (écologistes virulents, la majorité !), les blacks blocs, et autres antifas qui se chargent du travail de déstabilisation avec la bienveillance et le soutien d’une gauche dévoyée. Celle-ci n’est plus LA Gauche de Jean Jaurès, de Georges Clemenceau, de Léon Blum ou de Robert Badinter mais une gauche idéologue du chaos et de l’islamisation du monde occidental qui se cache derrière de fausses humanités. Cette gauche est consubstantielle en Occident au nouveau fascisme, vert comme les écolos et vert comme l’islam. Cette gauche est la nouvelle mouvance qui confond les casseurs et les policiers sous la férule d’hommes politiques dont certains se prennent pour « La République » mais qui ne sont aujourd’hui plus que des chefs de factions. Cette gauche complice d’une immigration insidieuse qui lèche chaque jour avec application les pavés de nos trottoirs pour permettre d’y poser des tapis de prière qui s’étendent maintenant jusque à l’intérieur de nos églises. À Lille, par exemple, pour la deuxième année consécutive, lors de l’Octave Pascale, l’église Saint-Pierre-Saint-Paul accueillera l’iftar, le repas de rupture du jeûne observé pendant le mois de Ramadan par les musulmans sous la bienveillance des édiles qui président aux destinées de la capitale des Hauts de France, proche d’une Belgique qui se nourrit maintenant plus de kebabs que de frites. L’Europe, décidément… Évoquons également l’appel à la prière par un muezzin… dans la cathédrale de Manchester, grande ville du nord-ouest de l’Angleterre. On attend avec impatience un office catholique à la mosquée de Paris avec l’Eucharistie et son vin de messe ! Malheureusement, ce n’est pas le sang du Christ auquel de nombreux adeptes de l’Islam nous ont habitués…
Même s’il existe, dans notre pays, une partie de nos concitoyens adeptes du « Livre Sacré incréé » qui a abandonné sa religion ou qui s’affranchit des obligations socio-religieuses qui lui sont imposées pour pratiquer ses rites discrètement dans l’intimité de son foyer, cette partie de notre population exogène reste très minoritaire. Aussi, s’il advenait, comme cela vient d’arriver en Ecosse, qu’un un adepte de cette religion arrive au pouvoir, avec l’aide assidu de la gauche et de l’extrême gauche, du centre et de la droite molle, ces ouailles discrètes, encadrées remis au cœur des cinq piliers de leur religion, seront bien obligées de se remettre à prier avec les autres de façon ostensible et provocante.
On assiste à la construction de nombreuses mosquées en France depuis cinquante ans. Il n’y en avait que 100 sur le territoire français en 1970, 2368 en 2014 (source : Ministère de l’intérieur), et probablement 2600 aujourd’hui. Ces édifices voient le jour grâce à des financements très souvent étrangers et l’aval de certain maires et préfets sous des prétextes « culturels » divers et de savants calculs électoraux. Certains d’entre-eux vont même jusqu’à participer aux inaugurations de ces édifices de propagande politico-religieuse, comme nous l’avons vu dernièrement, quand un maire du Rassemblement National affirmait, sans honte, pour justifier sa présence, que « La France [changeant] de visage, il [faudra] que Reconquête ! s’y fasse ». Mais rassurons-nous, les Hautes Instances (!) du parti l’ont puni… d’un blâme ! Le droit à l’erreur, ça existe ; comme poser sur une photo avec une jeune femme voilée quand on prétend à la plus haute fonction de l’Etat…
Nous voilà rassurés quant aux orientations de cette « Extrême droite » qui semble de plus en plus se rapprocher du modèle politique plébiscité par les français depuis quarante ans ! Avec les résultats que l’on connaît !
Restons fortement mobilisés. La reconquête s’impose chaque jour plus ! Pendant que l’exécutif gesticule sur les écrans – surtout notre ministre de l’intérieur – devant les français « fatigués » de travailler trop longtemps, excités par les syndicats qui se complaisent à attiser le feu après avoir contribué à la réélection de Monsieur Macron, une loi sur l’immigration se prépare qui nous imposera et nous détruira bien plus que quelques mois de travail supplémentaires. L’image de ce que deviendra notre pays dans quelques années est loin d’être figée, mais ce qui est sûr, c’est qu’elle risque fort de ressembler à une Écosse qui vient d’abandonner le kilt pour la djellaba…
Jean-Louis Chollet