La France est en Guerre et ils la trahissent !

Hollandevallscazeneuveleche 2Le 16 novembre 2015, devant le parlement réuni en Congrès, le chef de l’exécutif s’était lancé dans un discours qui mériterait de figurer dans une anthologie de l’enfumage et de l’empilage des phrases creuses passe-partout : l’énarchie en campagne (électorale).

Il a notamment déclaré « … J’ai décidé que le Parlement serait saisi dès mercredi d’un projet de loi prolongeant l’état d’urgence pour trois mois et adaptant son contenu à l’évolution des technologies et des menaces. »

Cette grande décision n’est que l’application de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l’état d’urgence et qui, dans son Article 2, précise que « La prorogation de l’état d’urgence au-delà de douze jours ne peut être autorisée que par la loi », et dans son Article 3 stipule « La loi autorisant la prorogation au-delà de douze jours de l’état d’urgence fixe sa durée définitive. ».

Un peu plus loin dans son discours, après avoir reconnu que la France était en guerre, le chef de l’exécutif a proposé une révision constitutionnelle :

« Cette révision de la Constitution doit s’accompagner d’autres mesures. Il en va de la déchéance de nationalité. La déchéance de nationalité ne doit pas avoir pour résultat de rendre quelqu’un apatride, mais nous devons pouvoir déchoir de sa nationalité française un individu condamné pour une atteinte aux intérêts fondamentaux de la France ou un acte de terrorisme, même s’il est né Français, je dis bien « même s’il est né Français » dès lors qu’il bénéficie d’une autre nationalité. De même, nous devons pouvoir interdire à un binational de revenir sur notre territoire s’il représente un risque terroriste, sauf à ce qu’il se soumette, comme le font d’ailleurs nos amis britanniques, à un dispositif de contrôle draconien. Nous devons pouvoir expulser plus rapidement les étrangers qui représentent une menace d’une particulière gravité pour l’ordre public et la sécurité de la Nation, mais nous devons le faire dans le respect de nos engagements internationaux. »

Depuis ce jour, les islamistes et les islamo-terroristes qui font la guerre à la France depuis plusieurs années tremblent de peur !

Ils savent maintenant ce qui les attend : la déchéance de la nationalité française !

Mais ils peuvent dormir tranquilles, aucun d’eux ne deviendra apatride puisque tant l’oligarchie partisane de droite que celle de gauche, unies comme jamais, repoussent ensemble cette disposition à laquelle s’opposent les responsables de l’ONU, confortablement installés dans leurs palais de verre, offrant leurs poitrines et leurs gorges aux balles de tennis ou de golf, et soigneusement arrosés par l’islamisme mondial !

Par ailleurs, à l’issue du Conseil des ministres du 23/12/2015, Manuel Valls, lors de sa conférence de presse, ne voulant ou ne pouvant pas faire moins que son chef, a déclaré : « Le champ de cette disposition sera strictement limité : il ne s’appliquera qu’à des personnes définitivement condamnées par la justice pour un crime contre la vie de la nation, dont les crimes terroristes. » « En aucun cas, cette déchéance ne permettra d’échapper à la justice, ils seront poursuivis et condamnés en France. (…) À l’expiration de leur peine, ils pourront faire l’objet d’une expulsion. » « Le devoir de vérité, c’est de répéter que la menace n’a jamais été aussi élevée. Le devoir de vérité, c’est de dire que nous devons faire face à une guerre, une guerre contre le terrorisme, contre le jihadisme, contre l’islamisme radical. »

Après avoir tergiversé durant des mois, des années, le Premier ministre nous a affirmé que nous étions en guerre. Il nous a parlé de la guerre « … contre le terrorisme, le jihadisme, l’islamisme radical… ». Si tant est que ces expressions aient un sens. la seule chose qu’il propose pour s’y opposer, c’est un aménagement du Code de la nationalité !

Le Premier ministre s’est moqué et continue de se moquer des Français.

Les islamistes, qu’ils soient encore au stade de devenir, d’apprenti ou de maître dans l’art des actes terroristes, doivent faire dans leur froc rien qu’en lisant ce que le pouvoir exécutif, responsable direct tant de la sécurité intérieure que de la sécurité extérieure de la France, entend développer comme contre-mesures face à la guerre faite à la France par les islamistes.

Terrible, effroyable, inhumain, … une telle sanction pour de « pauvres islamistes » ayant assassiné ou tenté d’assassiner des citoyens français !

Visiblement, et ce n’est pas nouveau, l’oligarchie au pouvoir n’a pas compris grand-chose à la guerre qui nous est faite par les islamistes. Par idéologie, une nouvelle fois, elle tente de nous enfumer en ne nommant pas les choses par leurs noms. Et, elle lance une nouvelle opération de désinformation des Français sous le thème : « Avec la déchéance de nationalité, votre sécurité est assurée »

Quel beau slogan publicitaire à passer en boucle sur les chaînes de radio et de télévision aux ordres (c’est à dire à peu près toutes, mis à part TV Libertés !).

Il est vrai que les différentes déclarations, solennelles ou non, les discours, accompagnés d’effets de manche, de propos guerriers, de tarasconades, sont directement inspirés par la proximité des échéances électorales et la baisse des cotes dans les sondages.

Après de telles envolées, les « terroristes » n’avaient qu’à bien se tenir, on allait voir ce qu’on allait voir : rien d’autre qu’une « étrange reconnaissance » de la situation de guerre qui, par idéologie, électoralisme, esprit de collaboration, incompétence, voire leur combinaison :

  • s’abstient de désigner l’ennemi : l’islam conquérant, avec ses alliés traditionnels ou de circonstance, tous frayant dans les eaux du grand banditisme, de la haute finance internationale et du pétrole ;

  • confond la guerre avec quelques-unes de ses actions, celles de nature terroriste. Si les actions terroristes sont bien des actes de guerre, tous les actes de guerre ne sont pas des actions terroristes. Donc, à faux problème, fausse solution !

Il faut que ce pouvoir oligarchique, arrivé au stade de mort clinique, arrête de dire et faire n’importe quoi !

  • On ne fait pas la guerre au terrorisme, ce qui n’a pas de sens ! On fait la guerre aux islamistes et à ceux – parfaitement identifiés – qui les soutiennent dans leurs opérations de conquête de la France et de l’Occident. Les spadassins d’Allah, ses haschischins, utilisent les actions terroristes dans le cadre de leurs opérations, soit pour assouvir leur haine viscérale de ce que nous sommes, soit pour contrôler l’opinion publique et la contraindre à accepter les diktats de ceux qui veulent nous faire disparaître ou, au mieux, nous coloniser.

  • On ne fait pas la guerre au jihadisme, ce qui ne veut rien dire ! On fait la guerre aux islamistes et à ceux – parfaitement identifiés – qui les soutiennent dans leurs opérations destinées à propager l’islam et la charia en France et en Occident.

  • On ne fait pas la guerre à l’islamisme radical, ce qui ne veut rien dire ! On fait la guerre aux islamistes et à ceux – parfaitement identifiés – qui les soutiennent dans leurs opérations destinées à implanter en France et en Occident le système islamique : totalitaire, théocratique, fasciste, colonialiste et esclavagiste (cf Guerre à l’occident – Guerre en occident).

Dans l’un ou l’autre de ces trois cas, en ce qui concerne plus particulièrement ceux pris les armes à la main, ou ayant été pris après avoir assassiné des Français, quelle que soit leur nationalité, leur couleur de peau, leurs croyances religieuses ou philosophiques, seule l’application de la loi de la guerre peut avoir un sens : oeil pour oeil, dent pour dent.

On flingue tous ces salopards !

Discours du président ou du Premier ministre, interventions des députés ou des sénateurs, les Français, une nouvelle fois, vont-ils tomber dans le panneau, victimes de la désinformation et de la trahison ?

Les idéologies, l’électoralisme, l’esprit de collaboration, l’incompétence ont conduit le pouvoir en place à nier ou, au mieux, à minimiser la réalité tout en répétant à qui veut l’entendre que le niveau de risque d’attentat terroriste progressait, et à affirmer qu’il prenait les mesures afin de protéger les Français !

C’est donc ainsi que le projet de loi N° 3381 a vu le jour. Ils ont osé le nommer : PROJET DE LOI CONSTITUTIONNELLE de protection de la Nation. »

http://www.assemblee-nationale.fr/14/projets/pl3381.asp

L’article 1 de cette loi prévoit qu’après l’Article 36, un nouvel article 36-1 soit inséré dans la Constitution.

De toute évidence, ce nouvel article a pour but de mettre au rencart l’état de siège « …permettant le transfert de pouvoirs de police de l’autorité civile à l’autorité militaire, la création de juridictions militaires et l’extension des pouvoirs de police… ».

Par ailleurs, il reprend à peu de choses près les dispositions de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l’état d’urgence.

L’article 2 de cette loi prévoit :

  • que le troisième alinéa de l’article 34 de la Constitution soit remplacé par les dispositions suivantes « … une personne née française qui détient une autre nationalité peut être déchue de la nationalité française lorsqu’elle est condamnée pour un crime constituant une atteinte grave à la vie de la Nation… » ;

  • qu’après le troisième alinéa, il soit inséré un alinéa ainsi rédigé : « – l’état et la capacité des personnes, les régimes matrimoniaux, les successions et libéralités ;

On peut le constater facilement, il s’agit d’une réponse « particulièrement adaptée » à la guerre faite par les islamistes à la France !

Trahison !

Celle-ci est d’autant plus énorme que le projet de loi ne stipule rien dans des cas plus que probables :

  • le criminel qui a été pris les armes à la main ou formellement identifié comme assassin, mais pas condamné, qu’en fait-on ?

  • le criminel qui ne possède pas de double nationalité, et qu’il s’agit d’un « bon Français », qu’en fait-on ?

  • le criminel qui est un islamiste possédant la nationalité de l’un des 193 états membres de l’ONU, qu’en fait-on ?

Mais, quelle est cette guerre dont ils cachent les noms des responsables ou commanditaires, et contre lesquels ils ne font rien ?

Pour essayer de répondre à cette double question, plusieurs articles vous seront proposés dans les jours ou semaines à venir.

Jean-François Cerisier

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7 Commentaires

  1. On ne peut pas rendre apatrides des terroristes de nationalité française pour la bonne raison qu’ils n’auront plus de pièces d’identité ni nationalité. Donc aucun Pays ne voudra les prendre et on devra se les garder. Par contre il sera possible de virer ceux qui ont la double nationalité. Le deuxième pays ne pouvant les refuser. Sauf que sous le prétexte que ce sont d’anciens terroristes ils pourront tenter de les refuser.

  2. la déchéance de la nationalité envers un islamiste n’a pas plus de valeur que la légion d’honneur offerte à un prince Saoudien !
    dans les deux cas cela ne fera pas changer l’état d’esprit crapuleux et barbare de ceux qui en sont les “bénéficiaires”…

  3. Donc le Belsalam “jenesaisplusqui”… va être déchu de sa nationalité française, jugé en France (s’ils arrivent à le faire revenir car pour le moment il refuse, et d’appel en appel cela peut durer environ 3 mois, ) et après ce jugement, donc, il doit être renvoyé dans son pays d’origine ?
    J’ai bon là ? J’ai tout compris ?
    Si c’est comme cela que l’on voit les choses, un seul parmi…..combien qui resteront sur notre sol et continueront à nous nuire ?

  4. en fait la France est en guerre contre l’islam et les islamistes, sachant que tout musulmans est plus ou moins islamiste, plutôt plus que moins.
    en résumé l’islam est l’ennemi a abattre avant qu’ils nous abatte, et tout musulman est un ennemi potentiel, soit actif, soit en sommeil.
    et bien entendu il faudra châtier sans pitié ni états d’âme les traîtres qui nous gouvernent.

  5. Ben ils leur colle un Post-it sur le front pour qu’on les reconnaisse!!!!!

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