France Orange Mécanique : médiatiser, médiatiser, médiatiser

En vertu (vice…) des lois PLEVEN/GAYSSOT/TAUBIRA combien est-il rageant de voir des patriotes être interpellés, placés en garde à vue, être menacés de poursuites pénales alors qu’ils n’ont fait que manifester pacifiquement leur colère suite à tel ou tel délit commis de manière récurrente par une « chance pour la France » qu’il n’aurait pas fallu pointer du doigt de la sorte (cf banderoles à Cherbourg rappelant les méfaits sordides d’Oumar N’DAYE). Alors, que faire en attendant l’hypothétique abrogation de ces fichues iniques lois qui peuvent  faire basculer le moindre pourfendeur de mensonges ou demi-vérités en « incitation à la haine raciale » ? Finir en garde à vue, risquer des procès coûteux ou, ce qu’espère la bien-pensance précisément par ces lois dissuasives, se taire ou timidement rappeler les faits dérangeants quand certains « merdias » voudront bien s’en préoccuper en attendant bien gentiment les prochaines échéances électorales ? Existerait-il une troisième voie qui pourrait nous prémunir de tant de tracas tout en nous aidant à dénoncer l’inhumanité à laquelle, quotidiennement, tant de paisibles concitoyens sont confrontés ?

Observez  ce qu’il se passe dès qu’une personne est prise en considération par un ou des médias de grande écoute eu égard à une excessive injuste situation. Bizarrement dans les jours suivants, pour ne citer que deux exemples emblématiques, des squatters auront quitté les lieux des modestes propriétaires réfugiés dans leur voiture ou caravane et le chômeur, impuissant jusque-là à trouver/retrouver un emploi qu’il n’espérait plus se voir proposer un travail. Cela démontre, si besoin est, l’impact de la médiatisation à outrance quand elle s’effectue auprès de médias dits de grande écoute, qu’ils soient radiophoniques ou télévisuels. Aussi ne faudrait-il pas suggérer à nos dévoués patriotes militants, en sus ou à la place de leur « AGIT PROP » risquée, de se muer en journalistes enquêteurs, en lanceurs d’alerte du quotidien, afin que les TÉMOIGNAGES CITOYENS, non contents de faire le tour des réseaux sociaux, défraient les unes des médias « mainstream » ou des journaux à tirage conséquent, obligeant ainsi les « journaleux co-menteurs » à quitter les sièges de leurs bureaux annexés à l’AFP pour se rendre sur le terrain, amplifiant de la sorte l’impact de l’alerte patriote initiée ?

Ainsi, s’agissant du drame de Cherbourg, aurait-on pu connaître l’enfer quotidien qu’Oumar faisait vivre à ses voisins, sans omettre celui que vit aujourd’hui l’entourage de la victime ? Reconnaissons que tout cela n’a été que médiatiquement peu évoqué. Ce besoin de faire connaître le vécu réel de milliers de braves gens ne relève pas que des affaires ultra-sordides immanquablement traitées mais incomplètement décortiquées médiatiquement, mais également celles des délits subis, plus ordinaires, de vols, d’agressions, d’intimidations, de harcèlement etc., méritant tout autant  l’attention de tous les militants patriotes soucieux de sauver ce « cher et vieux pays » comme disait le général de Gaulle. Les sites (Fdesouche/Profession gendarme/ RL…) répertoriant quotidiennement les innombrables atteintes aux personnes liées à la « diversité » ne voient que trop rarement leurs évocations franchir le cercle des          « aficonados » de la chose, des convaincus par expérience ou par souci de « salubrité publique », bref celui des « amis de la France »…

À l’instar des L 214 alertant sur les atrocités dans les abattoirs ou les élevages en batterie, il convient de saturer les médias « mainstream »  d’images, de témoignages, de cris des victimes de cette délétère « diversité » afin que plus jamais ils ne puissent être relégués à la rubrique des « faits divers » de ceux qui se sont simplement trouvés « au mauvais endroit, au mauvais moment ». Et si, par idéologie immigrationniste ou pour ne pas « faire le jeu de l’extrême droite », seuls quelques médias de grande écoute donnent suite, cela suffira, par effet cumulatif et amplificateur, à faire « fait de société » que l’on ne peut plus taire, dont il faut débattre, s’inquiéter nationalement et trouver une issue autre que l’impasse, l’immobilisme ou le fatalisme. Les militants patriotes pourraient ainsi rendre compte du vécu réel de ces soi-disant indispensables immigrés (clandestins ou pas) des métiers dits en tension, répondant par là même à quelques essentielles interrogations : déclarés ou pas, payés comment/combien, comment vivent-ils, conditions d’arrivée en France etc.

On aurait probablement de belles surprises peu amènes pour le patronat concerné, si enclin à les recruter et les régulariser. Pour être facilitées, il est évident que ces enquêtes devraient s’effectuer sous couvert d’anonymat et pour éviter tout procès en falsification, laisser suffisamment d’indices de temps et de lieux incontestables. Les militants patriotes que l’on veut faire taire, intimider, dissuader de se manifester doivent apprendre à devenir « rusés comme des serpents et candides comme des colombes » (paroles rapportées de Jésus s’adressant à ses apôtres dans les Évangiles) sans rien renier de leurs convictions pour sauver le pays ou ce qui peut encore l’être. MÉDIATISONS, MÉDIATISONS, MÉDIATISONS cette FRANCE ORANGE MÉCANIQUE , si bien décrite par Laurent Obertone, pour faire sauter la chape de plomb des médias de grande écoute à de rares exceptions près (CNews, Sud Radio…) et titiller la conscience endormie, anesthésiée, lobotomisée d’un trop grand nombre de nos compatriotes ; ce sera une petite pierre sur le chemin de construction d’un éventuel PROGRAMME COMMUN PATRIOTE (ppcm comme dit B.Germain) qu’il convient de susciter par tous les moyens légaux possibles.

PS (non socialiste) : La démission de Pierre Cassen de Reconquête ! n’est que l’énième avatar, encore une fois, d’un fonctionnement partisan délétère : un parti authentiquement démocratique accepte nuances, divergences voire oppositions stratégiques qu’il fait trancher par un vote majoritaire non dévoyé sentant… Reconquête ! se met à dysfonctionner en niant cette parole sortie de la bouche même de son président, durant la présidentielle, à qui on demandait s’il s’inquiétait qu’un de ses lieutenants tienne des propos différents des siens : « chez nous la parole est libre… »… cherchant inutilement à se dédiaboliser à l’extérieur le parti se rediabolise à l’intérieur en manifestant intolérance et ostracisme. Les seules limites dans une lutte patriotique humaniste sont la violence physique, le refus de débattre ou de se parler, les jugements ouvertement diffamatoires… hors tout cela, comme l’a si bien dit Pierre Cassen, tous les patriotes sont les bienvenus quand il s’agit de rassembler les énergies, les compétences, les expériences dont il est et demeure un éminent représentant.

Hommage à son courage pour ne pas s’en être laissé compter pour l’occasion…

Adrien  LAFLEUR

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