Fraudes US : un camion contenant 200.000 bulletins de vote se volatilise !

 

Dans un de nos précédents articles sur les fraudes massives commises par les Démocrates lors de l’élection présidentielle américaine, nous avons révélé qu’en Géorgie, 4 employés électoraux ont été surpris, par des caméras de vidéosurveillance, en train d’enregistrer illégalement près de 20.000 bulletins de vote dans les machines à voter Dominion, durant la nuit de l’élection, de 22h50 à 24h50, en l’absence de tout témoin. (Note 1)

Suite à la découverte de cette énorme fraude, des Sénateurs et Représentants Républicains de Géorgie appellent à la tenue d’une session spéciale, afin de reprendre leur pouvoir de certification et d’annuler l’attribution des grands électeurs de leur État au sénile et corrompu Biden. (Note 2)

Aujourd’hui, c’est d’une fraude encore plus énorme dont nous allons vous parler.

 

Plus de 2000 témoignages de fraudes

Avant tout, rappelons que, depuis le 3 novembre, jour de l’élection, les équipes envoyées par le Président Trump dans les 6 États contestés (Pennsylvanie, Géorgie, Michigan, Wisconsin, Nevada, Arizona) ont récolté plus de 2000 affidavits, rédigés et signés par des témoins directs de fraudes (sous peine de 5 ans de prison pour parjure), qui sont autant de preuves utilisables en justice.

Contrairement à ce que les médias prétendent mensongèrement, ces 2000 affidavits et les auditions qui viennent d’avoir lieu devant les législatures de Pennsylvanie, de l’Arizona, du Michigan et de la Géorgie prouvent, au-delà de tout doute, que les Démocrates ont commis des fraudes massives lors de l’élection présidentielle.

 

L’extraordinaire témoignage de Jesse Morgan

Mardi 1er décembre, l’organisation “Amistad Project” de la Thomas More Society (dont le but est de protéger l’intégrité des élections) a tenu une conférence de presse explosive dans la ville d’Arlington (Virginie). Bien entendu, cette conférence de presse a été censurée par la quasi-totalité des grands médias américains, mais largement relayée par les chaînes de télévision conservatrices (Newsmax, One American Network, Real America’s Voice, NTD…).

Lors de cette conférence de presse, plusieurs lanceurs d’alerte, employés de la poste américaine (USPS, United States Postal Service), ont témoigné pour la première fois en public sur les fraudes dont ils ont été les témoins dans le cadre de leur travail.

Le témoignage le plus explosif a été celui de Jesse Morgan, un chauffeur de camion d’une entreprise travaillant comme sous-traitant pour la poste américaine.

« Je conduis un semi-remorque pour le service postal américain, pour une entreprise sous-traitante. Le circuit que je fais va de Lancaster, en Pennsylvanie, à Bethpage, dans l’État de New York, puis à Harrisburg, en Pennsylvanie, puis retour à Lancaster », a-t-il expliqué.

« Le 21 octobre, lorsque je suis arrivé pour partir pour ma destination habituelle de Bethpage, un responsable des expéditions de Lancaster m’a dit à 3 reprises que des bulletins de vote allaient être chargés dans ma remorque. »

Jesse Morgan se souvient avoir chargé dans sa remorque 24 boîtes Gaylord remplies de bulletins de vote, empilées les unes sur les autres, à Bethpage (État de New York). Il a vu que « les enveloppes portaient des adresses de retour manuscrites ». « Sur le moment, je n’y ai pas fait spécialement attention », a-t-il ajouté.

(Une boîte Gaylord est une boîte en carton ondulé de grande taille – environ un mètre de côté – qui permet l’expédition de produits en vrac dans un conteneur unique.)

Lorsqu’il est arrivé à Harrisburg (Pennsylvanie), Jesse Morgan n’a pas été autorisé à décharger le courrier qu’il transportait. « J’ai été obligé d’attendre environ 6 heures, de 9h15 à près de 15 heures », se souvient-il. « Tout cela était bizarre ». Après avoir attendu 6 heures, il a demandé à voir le responsable local des expéditions. « On m’a dit d’attendre le superviseur des transports », alors qu’il n’avait jamais eu de contact avec un responsable d’un si haut niveau. « C’est un type de haut niveau, c’est le genre de gars qui parlerait à mon patron, pas à moi ».

« Le superviseur des transports m’a dit d’aller à Lancaster directement, sans décharger ma cargaison à Harrisburg », a déclaré Morgan. « Je savais pourtant que les bulletins de vote devaient être déchargés à Harrisburg ».

Il a alors demandé au superviseur son bordereau d’arrivée (qui prouve qu’il est bien arrivé à Harrisburg avec son chargement) et un bordereau de retard pour prouver (à sa direction) qu’il avait été retardé. Le superviseur a refusé de les lui remettre.

« Je me suis ensuite rendu à Lancaster, j’ai décroché ma remorque (toujours pleine) et je l’ai laissée à sa place normale, dans le dépôt d’USPS, puis j’ai conduit mon camion là où je le garais toujours », se souvient-il.

« Le lendemain, c’est devenu encore plus étrange : quand je suis arrivé à Lancaster, ma remorque avait disparu. »

« Depuis que j’ai commencé à conduire sur cette route de Bethpage, j’avais toujours eu cette remorque, immatriculée 10-R-1440 », a déclaré Morgan.

« Ce qui s’est passé le 21 octobre était une série d’événements inhabituels qui ne peuvent être une coïncidence », a insisté le chauffeur du camion. « Je sais que j’ai vu des milliers et des milliers d’enveloppes de bulletins de vote portant des adresses de retour, chargées dans mon camion dans l’État de New York et envoyées en Pennsylvanie. »

Morgan a ajouté que les employés du service postal ont fait preuve de « comportements étranges qui s’écartaient grossièrement de la procédure et du comportement normal » ce jour-là.

« Au fur et à mesure que les choses devenaient plus bizarres, je me suis mis à réfléchir et je me suis demandé pourquoi je conduisais des bulletins de vote remplis, de l’État de New York jusqu’en Pennsylvanie. Je ne savais pas pourquoi, alors j’ai décidé de prendre la parole et de témoigner publiquement », a conclu Jesse Morgan.

Phill Kline, ancien procureur général du Kansas et directeur de l’organisation “Amistad Project”, a déclaré que son équipe d’enquêteurs avait corroboré le témoignage du chauffeur de camion.

« Le témoignage de Jesse Morgan a été corroboré par les témoignages oculaires d’autres témoins. Ces témoignages démontrent que 130.000 à 280.000 bulletins de vote, remplis pour l’élection présidentielle de 2020, ont été expédiés de Bethpage, dans l’État de New York, à Lancaster, en Pennsylvanie ».

Une porte-parole de l’organisation “Amistad Project” a précisé plus tard que l’estimation varie de 144.000 à 288.000 bulletins de vote, contenus dans les 24 boîtes Gaylord.

« Ces témoignages et ces preuves exigent une enquête. Ces témoignages et ces preuves exigent des réponses », a insisté Kline. Il a révélé que l’organisation “Amistad Project” travaille en ce moment avec le FBI et avec des procureurs américains de plusieurs juridictions pour aller au fond de cette histoire. « Ils sont au courant de nos preuves », a-t-il ajouté.

Kline a déclaré que des sources lui ont confirmé que ce qui est arrivé à Jesse Morgan « correspond parfaitement à la façon dont vous insérez du courrier frauduleux dans le flux postal ».

D’autres spécialistes ont ajouté que ce qu’a décrit le chauffeur de camion Jesse Morgan correspond parfaitement à l’envoi massif de bulletins de vote pré-remplis, utilisables pour bourrer les urnes en cas de besoin.

Le fait que ces bulletins de vote pré-remplis aient été envoyés d’un État à un autre, constitue de plus un crime fédéral et justifie l’implication du FBI dans l’enquête.

 

Les vidéos de la conférence de presse du “Amistad Project”

Voici le témoignage du chauffeur de camion, Jesse Morgan :

Et voici l’intégralité de la conférence de presse :