Gauchisme : un monde d’abrutis qu’il faudra faire taire définitivement
Prévenant tout débat vain sur la définition du gauchisme, je donnerai celle que je crois caractériser le mieux ce cancer qui ronge actuellement l’Occident en général et la France en particulier. Indépendamment des étiquettes que se collent sur le front, au gré des vents qui tournent, le monde de guignols, de baltringues, de bons à rien, de parasites que sont nos politicards, aux affaires ou pas, indépendamment de l’appartenance de tel ou telle à la liste des vingt plus grosses fortunes de France, du monde, ou pas, j’appelle gauchiste celui qui, par bêtise, par incompétence ou par calcul, fait table rase du passé surtout quand il s’agit de celui de la France, riche, magnifique, éblouissant.
“La priorité est de raser Versailles”. Cette courte affirmation résume de façon éclatante le gauchisme car elle caractérise en peu de mots ce que Guillaume Faye appelait l’ethno-masochisme. Elle exprime le crétinisme et la démagogie la plus vomitive, comme la gueule se son auteur, le sénile Aphatie. Elle incite à nous faire cracher dessus, ce que méritent ceux qui n’ont aucune fierté, aucune dignité, ceux qui baissent les yeux, qui s’agenouillent, les dhimmis. Ce que le vieux con précité est incapable de comprendre.
Le gauchisme, comme toute tare, ne répond à aucune logique, il véhicule tout et son contraire et refuse la contradiction dans laquelle il nage pourtant en permanence. Le deux poids deux mesures idéologique est le seul et unique “argument”, la seule boussole de cette idéologie vérolée qui ne sait pas où elle va, mais qui y va d’un pas décidé. Quand on appartient au Camp du Bien, que l’on détient la Vérité, aucune remise en cause n’est envisageable, aucune objection, aucune réfutation n’est tolérée. C’est ainsi que par consanguinité “intellectuelle”, baignant dans un même brouet politique nauséeux, à l’abri de tout contradicteur, on s’enfonce dans les sables mouvants de la bêtise.
Le brillantissime et très courageux Eric Zemmour tire depuis des années la sonnette d’alarme sur un remplacement de populations qui s’opère dans toutes les banlieues françaises “parce qu’il est rabougri, “parce qu’il est raciste”, “parce qu’il souhaite la guerre civile” hurlent les crétins, c’est à dire les gauchistes, largement en surnombre dans tous les médias français, lieu idéal de rencontre des médiocres.
Rabougri, raciste, belliqueux, comme un reportage sur le Maroc et ses relations avec la France qui nous était proposé en 2003 par France Télévision et ses journalistes-militants? J’ai noté ce jour-là, immédiatement, le commentaire suivant : “Un nombre de plus en plus grand d’étrangers vient s’installer dans la Médina, patrimoine de l’UNESCO, et faisant craindre pour son identité culturelle”. Ah bon! Comment appelez-vous ça, crétins de gauchistes, un petit ou un grand remplacement? Bande de demeurés!
Je rappelle encore une fois cette loi fondamentale sur laquelle repose la pourriture gauchiste : le deux poids deux mesures idéologique. Faire table rase du passé, oui, mais du nôtre!
Les terribles et honteuses images de violences, vues dans le monde entier, commises autour du Stade de France vont-elles “trouer le cul” des gauchistes, selon l’élégante réflexion d’une non moins élégante propagandiste de télévision appelée “journaliste”? Oui, bien-sûr; parce que l’état de délabrement de notre pauvre France est patent, parce que les banlieues sont maintenant, à l’évidence, des enclaves étrangères hostiles, parce que notre pays est devenu le plus dangereux d’Europe ? Pas du tout!
Parce que ces faits terribles vont donner une fois de plus raison à Zemmour et c’est cela et rien d’autre qui est insupportable! Il faut donc le combattre encore plus violemment en attendant la solution idéale: le faire taire définitivement, d’une manière ou d’une autre, et les problèmes seront réglés… pour un gauchiste.
Ah, ces armées d’abrutis, acteurs de la vie politique, médiatique, artistique et leurs moutons passifs, les crétins télévisés, tous à quatre pattes, la tête enfouie dans le sable et les fesses en l’air, ah que mon pied droit me démange!
Jim Jeffender