Génération Identitaire : Justice pour les victimes du racisme anti-Blancs

Quel rapport entre la manifestation interdite et tolérée par Castaner à genoux Justice pour Adama, et la banderole déployée Justice pour les Victimes du racisme anti-Blancs, non interdite mais pas tolérée ?

Les deux manifestations se sont produites au même endroit en même temps : l’une révèle l’absurde tolérance de Macron-Castaner aux groupes violents hors la loi lesquels eux montrent toute l’intolérance et les menaces anti-Blancs, quand l’autre révèle la curieuse et tatillonne sévérité de Macron-Castaner à l’égard d’un groupe Identitaire agissant avec une banderole aux yeux de tout le monde de façon résolument pacifique.

Francesca de Villasmundo, MPI : Place de la République, alors que se déroule la manif Justice pour Adama interdite mais tolérée, dixit la Préfecture de police qui n’a guère eu de ces bienveillances pour les simples Français pendant le confinement, sur le toit d’un immeuble, une banderole a été déployée sur laquelle il est écrit : “Justice pour les Victimes du Racisme anti-Blancs“. Génération identitaire.

François des Groux, Résistance Républicaine : Pour les activistes hyper-violents de la gauche ultra, semeurs de haine et promoteurs du racisme anti-blanc, les Identitaires seraient eux des semeurs de haine !

Selon la propagande de haine des médias collabos de la gauche bobo, les miliciens d’extrême droite, semeurs de haine, ont provoqué par la banderole déployée Justice pour les Victimes du racisme anti-Blancs les manifestants indigénistes et racialistes, illégaux mais tolérés, soi-disant défenseurs de la démocratie !

Peu avant la manifestation contre le racisme et les violences policières (à l’instigation du clan Traoré et du comité Justice pour Adama), des membres de Génération Identitaire ont relancé, à Lyon, les tournées de sécurisation pour la protection des habitants et des usagers du métro, à l’image de la LDJ. Une initiative révulsant la gauche bobo, les médias subventionnés ou étatiques, des avocats racisés (lançant une pétition en ligne contre ces milices anti-racailles), Gérard Collomb, l’ex-maire de Lyon exigeant la plus grande fermeté face aux semeurs de haine, à ceux qui cherchent à dresser les communautés les unes contre les autres !

Le même Gérard Collomb avait déjà dénoncé une sécession entre communautés en alerte solennelle sur la situation des quartiers où la loi du plus fort s’impose devant celle de la République, comme à Dijon !

Gilles-William Goldnadel, Valeurs actuelles : le testament alarmant de Gérard Collomb à propos de la politique de Macron est dissimulé par les médias. Lors de sa triste passation de pouvoirs, dans la cour intérieure du ministère, place Beauvau, Gérard Collomb, ses valises à portée de main pour s’en retourner à Lyon, a prononcé un discours testamentaire autant que crépusculaire : “Je suis allé dans tous les quartiers, des quartiers nord de Marseille au Mirail à Toulouse et à ceux de la couronne parisienne : Corbeil, Aulnay, Sevran, c’est une situation très dégradée, et aujourd’hui, dans ces quartiers, c’est la loi du plus fort qui s’impose, celle des narcotrafiquants et des islamistes radicaux, qui a pris la place de la République.

Aujourd’hui, on vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face !”

C’est très inquiétant. Ce que je lis tous les matins dans les notes de police reflète une situation très pessimiste. Les rapports entre les gens sont très durs, les gens ne veulent pas vivre ensemble.”

Marianne : Gérard Collomb se lâche dans “Valeurs actuelles” sur le vivre-ensemble et l’immigration.

Question de Valeurs Actuelles : “Quelle est la part de responsabilité de l’immigration ?” “Énorme“, répond Collomb. Le 3 octobre, sur le perron de l’hôtel Beauvau, Gérard Collomb prononce son discours de sortie : après une année et demie au gouvernement, il quitte son poste de ministre de l’Intérieur pour briguer à nouveau la mairie de Lyon. L’air grave, le septuagénaire lâche une phrase en guise d’alerte solennelle sur la situation des quartiers, où “la loi du plus fort” s’impose (comme à Dijon) devant celle de la République.

De soutien initial de Macron à déserteur du gouvernement, la trahison de Gérard Collomb est inouïe. Souvent polémique en “On”, micros ouverts, il semble que l’ancien ministre de l’Intérieur se montrait encore plus offensif en “Off”, lors de ces conversations informelles avec les journalistes qui ne sont pas censées se retrouver couchées sur le papier. L’hebdomadaire Valeurs Actuelles a choisi de dévoiler un dialogue “Off” dans un dossier sur “l’intensification de la brutalité de notre société“. Un journaliste affirme s’être entretenu en tête-à-tête avec Gérard Collomb dans “une antichambre de la préfecture du Loiret”. La conversation s’oriente vite vers “la situation sécuritaire en France”. “Les rapports entre les gens sont très durs, les gens ne veulent pas vivre ensemble ! C’est très inquiétant. Ce que je lis tous les matins dans les notes de police reflète une situation très pessimiste.” Valeurs Actuelles : “Quelle est la part de responsabilité de l’immigration ?”

Énorme, lui répond Collomb. C’est pour ça qu’avec Macron nous avons voulu faire changer la loi“.

Cinq ans pour “éviter le pire” d’après Gérard Collomb. L’ancien socialiste fait référence à la loi Asile-immigration qui a créé des remous dans la majorité macroniste, dont une partie la jugeait trop répressive. Le journaliste de Valeurs lui reproche de ne s’attaquer “qu’à l’immigration illégale“, alors que “la légale permet de faire entrer plus de 200.000 personnes sur le territoire chaque année“. “On fait étape par étape. Mais ça reste un problème”, rétorque Gérard Collomb, plus radical en privé qu’en public sur le sujet. Le journaliste demande au ministre s’il estime “qu’on n’a plus besoin d’immigration en France”. Réponse positive de Gérard Collomb, qui décrit un “vivre-ensemble” fortement endommagé : “Des communautés en France s’affrontent de plus en plus et ça devient très violent” (comme à Dijon). Lorsque son interlocuteur l’interroge pour savoir s’il craint “une partition” ou “une sécession”, le ministre admet que “c’est ce qui [le] préoccupe”, sans étayer davantage.

Combien de temps “avant qu’il ne soit trop tard”, s’enquiert le journaliste de Valeurs Actuelles ?

C’est difficile à estimer, mais je dirais que, d’ici à cinq ans, la situation pourrait devenir irréversible, estime Gérard Collomb sans étayer son estimation. Oui, on a cinq, six ans, pour éviter le pire.”

Quand des membres de Génération Identitaire ont relancé, à Lyon, les tournées de sécurisation pour la protection des habitants et des usagers du métro, à l’image de la LDJ, Gérard Collomb a dit : Pour interdire les milices privées et les groupes de combat, il aurait fallu que les Identitaires appellent à la discrimination ou à la haine et fassent preuve de violence. Or, n’ayant agressé physiquement personne et ne ciblant aucun groupe racial ou religieux, il était difficile d’attaquer judiciairement GI et ses tournées de sécurisation. De plus, ils avaient même composté leurs tickets de métro ! ajoutait, dépité, l’adjoint à la sécurité de la ville de Lyon !

Résistance Républicaine : Perfide, France 3 collabo rappelle que des Identitaires avaient écopé de 6 mois de prison ferme pour une action anti-migrants à la frontière franco-italienne. Il leur était reproché d’avoir voulu, avec leurs doudounes bleues, se déguiser en Gendarmes. Mais à Lyon, difficile d’appréhender les membres de GI en simples chasubles couleur ciel d’été. Aussi, pendant la manifestation antiraciste de Justice pour Adama, une dizaine de membres de Génération Identitaire ont déployé une banderole avec le slogan : Justice pour les victimes du racisme anti-Blancs. White lives matter. Une provocation pour la plupart des médias collabos subventionnés, des fascistes selon Médiapart qualifiant les policiers de milice macroniste comme sous Pétain face aux indigénistes et leurs alliés gauchistes soi-disant défenseurs de la démocratie.

Milices d’extrême droite, groupuscules de combat, fascistes, semeurs de haine, la gauche bobo ultra renouait, contre GI, avec la sémantique des heures les plus sombres de l’histoire de l’humanité : à l’adresse des Identitaires, on entendait des manifestants racisés, islamistes et leurs alliés gauchistes crier : Sales Juifs !

Résistance Républicaine : Quand les antiracistes sont les racistes, et qu’on réécrit l’histoire, c’est le début du totalitarisme. Un éditorialiste de CNews s’insurge contre le discours larmoyant et victimaire, tenu par les gens des cités. Guillaume Bigot : La pensée antiraciste, présente dans les manifestations en Europe et aux États-Unis, cache des dérives totalitaires à en croire certains intellectuels.

La volonté de détruire des symboles du passé, tels que des films ou des statues, est en dénoncée.

Dans une intervention sur CNews, le polémiste Guillaume Bigot a pointé un phénomène totalitaire, émergeant derrière les mouvements racistes antiracistes Justice pour Adama qui organisent les manifestations. Sur le rassemblement Justice pour Adama, où ont été proférées des insultes antisémites, il parle d’inversion de la réalité. Il se réfère au célèbre roman de George Orwell 1984 pour étayer ses propos.

“On sent poindre un phénomène totalitaire. C’est Orwell qui avait expliqué ça dans 1984, il a dit : “Le totalitarisme commence quand on inverse finalement les polarités et la réalité”. Là, on a un antisémitisme qui se cache à peine et qui se déclare l’antiracisme. Donc les antiracistes sont des racistes (anti-Blancs). Sur CNews, Guillaume Bigot a fustigé le discours larmoyant et victimaire tenu par les gens des cités. Il s’en est pris aux jeunes déglingo-bobos des manifestations, décérébrés par des décennies de lavage de cerveau.

Le journaliste collabo de 20 Minutes, révulsé par l’attitude souriante et décontractée des Identitaires, osant un selfie dans le panier à salade ! Même pas honteux, islamo-racialo-soumis, agenouillés ni rampants comme lui ou la plupart des gauchistes avec les 15 000 racistes fous furieux de l’antiracisme décolonial et victimaire, antisionistes et pro-Palestiniens ! Une photo des Identitaires diffusée sur les réseaux sociaux faisant polémique (L’Alsace), certains internautes accusent la police de complicité avec les membres de GI !

RR : Auraient-ils voulu qu’on leur pète les dents, casse un bras ou arrache un œil pour ce coup d’éclat sur les toits de Paris ? Leur provocation a presque éclipsé la manifestation du clan Traoré. Alors, de Génération Adama (encensée par tous les médias collabos) à Génération Identitaire, qui gagnera le cœur des Français ? Génération Adama n’est autre que la création du collectif antiraciste et indigéniste d’Assa Traoré !

Génération Adama, c’est le changement visé pour une prise de conscience par notre génération de descendants d’immigrés et même pour conquérir le pouvoir en France ! Ben voyons ! TAKAYCROIRE !

20 Minutes : Violences policières : Oui, les militants de Génération identitaire ont évité la garde à vue après leur interpellation à Paris. En marge de la manifestation illégale Justice pour Adama, une dizaine de militants appartenant au groupe Génération identitaire ont déployé une banderole Justice pour les victimes du racisme anti-Blancs. White Lives Matter. Selon certains internautes, ils auraient été interpellés avant d’être rapidement remis en liberté, sans avoir été placés en garde à vue par les forces de l’ordre. C’est l’une des images qui aura marqué la manifestation illégale du collectif mensonger : Vérité et Justice pour Adama.

Alors que des milliers de personnes s’étaient réunies sur la place de la République, une dizaine de membres de Génération identitaire sont montés sur le toit d’un immeuble afin d’afficher aux yeux de tous une banderole avec ce message : Justice pour les victimes du racisme anti-Blancs. White Lives Matter.

Hués par la foule des activistes racistes anti-racistes de l’ultra-gauche, ils sont restés une dizaine de minutes avant que la police alertée par des habitants de l’immeuble (Le Parisien) monte pour les déloger.

Certains membres de Génération identitaire ont eux-mêmes donné de leur nouvelle sur les réseaux sociaux avec une photo du groupe prise depuis l’intérieur d’un fourgon de la police quelques minutes après leur arrestation. Le cliché de ces neuf personnes, tout sourire, est accompagné de ces mots : Exfiltrés par la police, pas de GAV, petit selfie dans le fourgon. Un autre explique avoir été escorté au commissariat avec [ses] camarades identitaires. Ambiance colonie de vacances ! Contactée par 20 Minutes, la préfecture de police de Paris explique qu’il ne s’agissait pas d’une exfiltration, mais confirme douze interpellations en lien avec le déploiement de la banderole. Le parquet de Paris a confirmé ces informations, précisant que les douze membres de Génération identitaire n’avaient pas été placés en garde à vue mais simplement amenés au commissariat pour une vérification d’identité, avant d’être remis en liberté en milieu d’après-midi : Il n’y a pas eu de garde à vue tout simplement car il n’y a pas eu d’infraction justifiant une telle procédure !

Le Salon beige : Face au racisme des pro-Traoré, de courageux militants dressent une banderole contre le racisme anti-Blancs : Justice pour les victimes du racisme anti-Blancs, White Lives Matter, sur le toit d’un immeuble donnant sur la place de la République à Paris, en pleine manifestation des activistes du comité La vérité pour Adama. Romain Espino@RomainEspino : Génération Identitaire a décidé de rendre visite aux manifestants de Justice pour Adama. “On avait un message pour eux !” Damien Rieu ✔@DamienRieu !

Les #JusticePourAdama insultent de Sales Juifs les courageux militants de Génération Identitaire et leur banderole contre le racisme anti-Blancs. L’antisémitisme et la haine des Blancs des #BlackLivesMatter ne font qu’un ! Damien Rieu de GI dénonce les émeutiers antifas racistes anti-racistes #JusticePourAdama !

Thierry Michaud-Nérard

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8 Commentaires

  1. Ne nous faisons pas d’illusions. La grosse avia a été retoquée par le C. Constitutionnel, parce que “sa” loi risquait de se retourner davantage contre les espèces barbares protégées, qui envahissent et occupent la France. Ils vont préparer une autre mouture, plus vicelarde, qui ne ciblera que les Blancs, afin de donner entière liberté, aux musulmans, d’insulter, de profaner, d’agresser, et d’assassiner un maximum de Français de souche ! …

  2. Ces gens là viennent chez nous et se permettent de nous insulter. Cela montre à quel niveau de faiblesse et de nullité, la France est tombée.

  3. Comme vous l’aviez fait pour ‘ Macron ment ‘ et ‘ l’Islam pire que nazisme ‘ pourquoi ne pas sortir des autocollants et des affichettes sur le racisme anti blanc ??

  4. Jean-Marie Burguburu devient le nouveau président de la Commission des droits de l’homme. Donc, c’est vous dire que si on a des doutes sur la justice du racisme anti-blanc, c’est mal parti. Merci de lire le cv de ce type sur internet : c’est éloquent. Il est ancien président d’un tas de fourbis, en poste d’une dizaine d’autres machins. Sa femme Daniele, magistrate, a été très, très proche de Mittérand. Recue à Latché. Il faut dire que le burguburu est basque. Mais,comme il faut être bien avec tout le monde, il s’est aussi trouvé des aieux alsaciens. Pour macron, l’avenir est les jeunes : burguburu a 74 ans !!!!!!
    Ce poste est rémunéré ? Si quelqu’un a la réponse..

  5. Si les blancs étaient aussi solidaires et couillus que les bronzés, il y a longtemps que tous les problèmes Français seraient résolus. Mais non : les bobos-ramollos coincés dans leur canapé à écouter et voir la merde médiatique qui leur est servie comme leur bouillie du matin, préfèrent roupiller en rotant et regarder ailleurs. Salauds, lâches ! ! !

  6. Mais qui a la haine du blanc, que ce soit en Europe, Amérique du nord, Australie ? Qui poussent le tiers monde contre les blancs ?

  7. Votre prose redondante nuit gravement à vos propos. Dommage ! Vos articles pourraient être trois fois moins longs sans ces répétitions inutiles.

  8. “les sales juifs haineux “…. pensaient ils à BHL, Cohn-bendit, Fikielkraut et consorts

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