Genrisme, transgenrisme, sexualisme, inclusivisme : on en a marre !

« Genrisme, transgenrisme, sexualisme, inclusivisme, tous ces néo-concepts nous fatiguent… ! »

Avertissement : Je respecte tout le monde, y compris tous les alternatifs sexuels, mais je leur demande de me respecter aussi, car autrement je ne les respecterai plus. C’est leur affaire et leur problème, et c’est à eux de les résoudre, dans leur intimité et dans leur vie privée, pas à moi et pas en public. Moi, je me borne à défendre la nature et les comportements naturels…

Notre monde actuel et notre civilisation déraillent complètement, dans tous les domaines de la vie humaine.
Toutes ces questions et ces délires sur la sexualité semblent être devenus l’essentiel des sujets de discussions et de débats publics dans les médias, notamment gauchistes (évidemment !).

On croirait qu’il n’y a plus que ça qui compte, que ce sont les sujets les plus importants et que ça passe avant tout.
Évidemment, les exemples permanents d’un show-biz outrancier et provocateur font les choux gras des médias de mal-information…
Alors, désolé pour tous ces gens qui se sentent concernés ou qui sont dans ces situations étranges, compliquées, pas naturelles, dérangeantes ou tragiques. Mais nous, les hétérosexuels, on n’y peut rien, on n’est pas responsables et, en plus, on s’en fout.
La sexualité est une chose qui fait partie de la vie privée, de la confidentialité des couples ou des ménages et qui doit y rester.
Cela n’a aucune légitimité à être déballé sur la place publique et ça doit être discret.
La pudeur est d’ailleurs aussi une valeur et une vertu de notre pays.
Mais, évidemment, il est clair que tous ces gens concernés par ces déviances, ces perversions, ces anomalies non naturelles ou ces préférences sexuelles hors normes, se savent « différents » et en ressentent de la souffrance et veulent la crier sur les toits. Et ça nous gonfle.

Gays, lesbiennes, transsexuels et compagnie ne nous intéressent pas.
Pas plus que la culture du fil à plomb en haute Écosse…
LGBTQ2S+, LGBTQQIAAP, va t’y retrouver…
Mais il existe d’autres dénominations :
Asexuel, Androgyne, Cisgenre, Genre fluide, Allosexuelle, Non-binaire, Aromantique, Intersexe, Polyamour, Orientation romantique, Queer (questionning), etc.
https://jeunessejecoute.ca/information/lgbtq2s-ca-veut-dire/
Mais, la plupart du temps, les personnes concernées ne s’y retrouvent même pas.
Je viens même de découvrir avec ravissement que l’homosexualité était un « don » ! :
« Est-ce qu’être gay est un choix ?
Tout comme être noir, métis, blanc ou plein de taches de rousseur, être gay n’est pas un choix. Être gay est un don, c’est une des nombreuses et différentes manières d’être un humain sur terre.
 »

https://www.thegetrealmovement.com/lgbtqr-trans-fr

Jusqu’alors, j’étais intimement convaincu qu’un don était un cadeau de la nature, un bienfait et une bénédiction pour celui qui en avait hérité, comme le don de la musique, du dessin, de la peinture, de la science ou de la sagesse.
Je n’aurais jamais cru qu’une chose qui apportait de la souffrance, de la confusion, une vie compliquée, un éternel questionnement sans réponse et l’incapacité d’avoir des enfants fût un don…
Comme quoi, on peut se tromper… !
Être con doit aussi être un don…
Des homos, hommes et femmes, j’en ai connus plein et j’ai travaillé avec pas mal d’entre eux pendant des années, en toute amitié, et j’ai eu beaucoup d’échanges ouverts et amicaux avec eux.
Mais jamais je ne les ai entendus parler de leur sexualité alternative comme d’un don. Plutôt comme d’un poids, d’un fardeau ou une malédiction.

Cela dit, je ne parle pas dans cet article des personnes qui sont nées avec une aberration biologique sexuelle congénitale, donc une malformation qui ne permet pas de déterminer leur sexe physique ou qui ouvre la voie vers une autre option physiologique.
Je parle de ceux qui sont juste dans la situation d’un choix ou d’une préférence sexuelle alternative tout en possédant les attributs normaux et naturels d’un mâle ou d’une femelle.

Pour en parler utilement, il convient de revenir aux fondamentaux et de rappeler ce qu’est la sexualité.
Comme tous les animaux, les hommes et les femmes sont des êtres sexués, de nature sexuelle opposée, donc physiologiquement différente et complémentaire. La sexualité est destinée biologiquement à la reproduction et à la pérennisation des espèces animales.

Une sexualité normale se passe dans la rencontre de deux êtres sexués opposés et complémentaires d’une même espèce lorsque la femelle est dans sa période fécondable et émet des phéromones qui attirent les mâles, parfois perceptibles à de très grandes distances.
Les mâles sont donc subconsciemment et instinctivement réceptifs et sensibles à ces phéromones et vont tenter d’en trouver l’origine.
Une fois sur place, que le mâle soit seul ou qu’ils soient plusieurs, la femelle fera une sélection basée sur des instincts profondément inscrits en elle. Et elle acceptera (ou non) l’accouplement et la fécondation avec le mâle qui lui aura semblé répondre le mieux à ses critères instinctifs (physiologiques, anatomiques, esthétiques et comportementaux).
À noter que la femelle a aussi le droit de rejeter (même violemment) tout prétendant qui ne lui plaît pas, selon ses critères de sélection et que c’est la nature qui lui donne ce droit.
Aucune femelle n’a à accepter d’être fécondée et de porter l’enfant d’un mâle taré, anormal, défectueux, dégénéré, moche ou idiot. Son corps lui appartient et elle en fait ce qu’elle veut.
C’est ainsi que fonctionnent la nature et la sélection naturelle, visant à toujours maintenir et améliorer les critères génétiques de l’espèce.

Donc, avis aux violeurs de toutes sortes, qui sont en général des mâles tarés ou dégénérés, incapables d’avoir un comportement normal et respectueux envers les femelles de leur espèce.

Le problème, c’est que toutes ces catégories de personnes aux préférences sexuelles hors nature et compliquées veulent à tout prix que leurs bizarreries sexuelles anormales soient reconnues, acceptées sans discuter et soient intégrées dans une sorte de nouvelle forme de norme à des fins purement pécuniaires : profiter d’avantages sociaux familiaux illégitimes, pouvoir se pacser ou se marier comme les couples normaux hommes-femmes. Mariage homo auquel je suis depuis toujours totalement opposé, qui discrédite, salit et bafoue le sacrement religieux ou l’institution civile du mariage et donc une grave erreur d’orientation de notre communauté humaine.
Que va devenir l’humanité si, par facilité et par vice, tout le monde devient homo… ?
Et c’est bien parti pour…

Si les déviances, les inversions, les anomalies et les travers sexuels visibles et publics ont toujours été rejetés par les sociétés humaines depuis des millénaires, ce n’est pas sans raison.
D’abord, cette visibilité est nocive pour l’éveil, le psychisme, l’éducation et l’épanouissement naturels des enfants ; puis elle est gênante pour les adultes et elle est dégénérative et immorale pour la société.
Et, bien évidemment, la gauche puante soutient tout ça avec la plus vive énergie et détermination, toujours en recherche de nouveaux électeurs.

La « normalité » sexuelle c’est ce qui est suffisant pour qu’une société humaine se reproduise et se multiplie naturellement.
Que la sexualité normale soit aussi accompagnée des jeux amoureux de la séduction et d’une note de romantisme est également naturel.

Pourtant, certaines femmes et aussi certains hommes ont peur de s’engager dans une relation amoureuse et sexuelle. J’en connais qui n’ont jamais eu aucune aventure de leur vie. À force de tout salir et de tout rendre vulgaire, il s’est développé une peur et un refus de l’engagement. De plus, certaines filles ou femmes ont aussi peur d’avoir des bébés, ce qui leur semble une terrible épreuve à l’accouchement et une responsabilité qu’elles n’arrivent pas à accepter et à assumer.

Le sexe fait vendre. Mais il ne faut pas oublier que le terme anglo-saxon « gay » est juste une autre façon de dire « sodomite » en français.
Chez les femmes, c’est un peu différent. Il faut faire appel à des objets pénétrants, des jouets sexuels.
Et je n’aborderai pas le sujet de ces « gay-prides » écœurantes et d’un mauvais goût outrancier auxquelles, en plus, sont conviés des enfants, histoire de leur donner la meilleure image d’un monde sain et équilibré…
Est-ce que nous, les hétérosexuels, nous organisons des hétéroprides… ?

Mais, bien sûr, certains intellectuels gauchistes, malsains, égarés, farfelus et de toute façon volontairement anti-conventionnels, se sont emparés de ces sujets et en ont fait leur combat et leur riche gagne-pain…

Sexualisme, genrisme, transgenrisme sont leurs nouveaux chevaux de bataille qui les arrangent bien, car ils n’ont plus le droit de critiquer Macron, l’État, la crise sanitaire, le mondialisme, le Grand Remplacement, le Grand Reset, l’immigration, les races, etc.

Il y a aussi la GPA, la « Gestation pour autrui », qui est déjà bien partie dans certains milieux éloignés de la légalité pour devenir une façon de fabriquer des bébés (payés une bouchée de pain à des mères porteuses très pauvres) de façon industrielle, dans le but de les revendre à des couples inféconds, moyennant des sommes très élevées et aussi des risques de mortalité élevés pour les mères porteuses.
Une autre forme de l’exploitation des femmes et de leur corps.

La dernière nouveauté, c’est « l’inclusivisme. »
Je ne parle pas de ce concept théologique de certaines églises chrétiennes, selon le théologien Karl Rahner, mais de cette nouvelle façon dont il faudrait parler ou écrire désormais et tentant de bannir la supposée suprématie du masculin sur le féminin dans la société.
Bien au contraire, renforcer la notion de féminité.

« Écriture inclusive, mode d’emploi d’une lubie »
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/ecriture-inclusive-mode-d-emploi-d-une-lubie-20210223

Mais l’écriture inclusive, prétendument destinée à gommer les égalités hommes-femmes dans la société est une aimable farce.
L’égalité relève du respect des autres et donc de l’éducation et aucune loi ne pourra remplacer ça.

Certains hommes machos et grandes gueules estimeront, toujours à tort et pour des raisons uniquement physiques, que les femmes leur sont inférieures et qu’ils doivent donc bénéficier des meilleurs postes dans les entreprises ou dans l’administration…
Et battre leurs femmes comme plâtre, en passant, et parfois jusqu’à les tuer…

D’ailleurs, le projet de loi est loin de faire l’unanimité :
« Écriture inclusive, la proposition de loi qui divise… »
https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/ecriture-inclusive-la-proposition-de-loi-qui-divise-128921
« Assemblée nationale : Proposition de loi visant à interdire l’usage de l’écriture inclusive par toute personne morale publique ou privée bénéficiant d’une subvention publique. »
https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3273_proposition-loi#
« Ce député veut interdire l’écriture inclusive à l’école grâce à la loi séparatisme. »
https://www.huffingtonpost.fr/entry/ce-depute-veut-interdire-lecriture-inclusive-a-lecole-grace-a-la-loi-separatisme_fr_6012c197c5b67848ee7e6b6f

De toute façon, l’écriture inclusive est une absurdité qui complique et alourdit inutilement la grammaire et brouille la compréhension en altérant la clarté des textes.

Un concept est né d’une théorie développée dans les années 60/70, la « Théorie des genres. » Elle tendait à déterminer ce qui fait qu’un homme est un homme et une femme une femme.
Les prérogatives qui leur sont dévolues dans la société, les métiers ou les occupations qu’il doivent pratiquer et leur rôle en tant que citoyens, travailleurs et parents.
Le but étant aussi de démontrer que le « genre » peut se distinguer du sexe biologique. Il en a découlé des niaiseries du style un homme est une femme et une femme est un homme, les hommes et les femmes sont semblables et égaux et ils doivent tous être appelés à faire les mêmes choses, les enfants n’ont pas besoin d’avoir un père et une mère, les homosexuels sont de bons parents et doivent pouvoir adopter des enfants et aussi avoir droit à la PMA (pour les filles) et à la GPA, etc.
Bref, autant d’absurdités nuisibles à la cohésion et à l’équilibre de la société humaine.

En janvier 2014, la théorie du genre a pas mal occupé l’espace médiatique en France. La ministre de l’Éducation nationale avait essuyé une pluie de critiques lorsque son ministère avait lancé les « ABCD de l’égalité. » Un dispositif mis en place dans quelques académies volontaires, enterré depuis (!), pour aborder les questions d’égalité entre hommes et femmes avec les jeunes élèves (de la maternelle au CM2) mais surtout de les amener à se questionner sur les rôles masculins et féminins en société.

Il me semble difficile et assez irresponsable de vouloir endoctriner des enfants de cette façon. Ensuite, il me semble aussi très irresponsable de vouloir bousculer et démolir des schémas de société vieux de plusieurs millénaires.
Enfin, et encore une fois, toutes les absurdités politiciennes ne servent à rien tant que la société, par la famille, ne sera pas capable de transmettre des principes éducatifs incitant au respect de l’autre, de l’homme comme de la femme, et que ces principes soient profondément ancrés dans l’éducation et la culture des citoyens.
Il existe des sociétés humaines, dans le monde, où les femmes sont extrêmement respectées et même parfois des sociétés matriarcales où ce sont les femmes qui prennent les grandes décisions et les font appliquer.

Pour en terminer, notre pays est malheureusement miné par toutes sortes de courants idéologiques malsains et dangereux qui mettent en péril sa stabilité et son avenir. Que ce soit politique, éducatif, sexuel, social ou religieux, notre pays est la proie de sinistres convulsions qui ne présagent rien de bon pour l’avenir.
Ajoutons à cela le mondialisme destructeur de civilisations (Grand Reset), la gauche délétère et meurtrière et l’islam conquérant et assassin (Grand Remplacement), je vous laisse imaginer la suite…
Franchement, avant de faire des gosses, réfléchissez bien à ce que sera le monde dans lequel ils devront se battre et survivre quand vous ne serez plus là, vous, leurs parents…

Laurent Droit