Grande-Bretagne : 1 400 enfants violés, victimes de la propagande dite “antiraciste”

IslamEnfants01« L’antiracisme dont je parle n’a pas pour but réel de servir de lutte contre le racisme, pas plus que le socialisme n’avait pour but réel de lutter contre la pauvreté et l’inégalité. Ne les a-t-il pas toutes deux aggravées ? Comme toutes les idéologies, celle de I’ antiracisme se propose non de servir ceux qu’il prétend délivrer, mais d’asservir ceux qu’il vise à enrôler (…). Agissant par la terreur et non par la raison, cet antiracisme fabrique plus de racistes qu’il n’en guérit. Telles les autres idéologies, celle-ci est à la fois confuse et péremptoire dans la théorie, terroriste et contradictoire dans la pratique. L’antiracisme idéologique, qu’il faut soigneusement distinguer de l’antiracisme effectif et sincère, attise les divisions entre humains au nom de leur fraternité proclamée » (Jean-François Revel, Fin du siècle des ombres – 1992).

Durant 16 années, à Rotherham, 1 400 enfants ont été victimes de sévices sexuels, de viols organisés, dans un silence écrasant, perpétrés par des immigrés pakistanais, pudiquement dénommés “asiatiques“.

Même si dans nos contrées, on trouve aussi évidemment des pédophiles, l’aspect récurrent, coutumier, de ces actes par une population venue d’un seul et même pays nous démontre que décidément non, toutes les cultures ne se valent pas.

Pas moins de trois rapports mettant en lumière cette triste affaire sont restés lettre morte, puisque les élus du conseil municipal, pourtant alertés, ont minimisé le problème et que la police elle-même a « considéré un grand nombre de ces victimes avec mépris », allant jusqu’à s’en prendre plutôt à quelques pères désireux de récupérer leur enfant plutôt que de s’en prendre aux pédophiles.

Il est indiqué également que les résultats de la première étude ont été « étouffés » car la différence culturelle, de mœurs, est à ce point antipodique que les fonctionnaires ne pouvaient même pas imaginer qu’un tel trafic, perpétré de manière pratiquement industrielle, était possible. Question de culture, d’éducation, de civilisation. La conception qu’une telle abomination existe n’entrait tout simplement pas dans leurs cases mentales. Même les animaux ne commettent pas de telles choses…

Le premier adjoint de la ville, Paul Lakin, a admis la mort dans l’âme que les criminels devaient être punis… « malgré leurs origines ethniques, la couleur de leur peau ». Ce « malgré » fait froid dans le dos. Leurs origines seraient-elles donc censées relativiser leurs actes hors nature ? N’est-ce pas dans ce dédouanement pour raison colorielle et originelle que réside l’authentique racisme ?

Voilà donc où mène l’abus jusqu’à l’overdose de la propagande antiraciste. Une lobotomie édifiante et terrifiante des cerveaux, endoctrinés jusqu’à la bêtise crasse, parfaitement assimilée par ceux qui la subissent quoiqu’il leur en coûte, au point que ces derniers préfèreront laisser violer et torturer leurs propres enfants sans rien dire plutôt que de prendre le moindre risque de passer pour un raciste.

Le process froid et obstiné plutôt que la conscience et l’instinct de protection dû à l’enfant que tout humain se devrait de posséder pour prétendre en être un.

Dans l’échelle de la honte, se faire traiter de raciste passe donc pour plus grave et condamnable que de violer un môme, et « la cohésion de la communauté » prévaut désormais sur la protection des enfants. Belle évolution sociétale ! Un vrai progrès humanitaire !

L’idéologie antiraciste hypnotique est une carte blanche à commettre l’inacceptable, sous couvert d’une moralité autoproclamée et fabriquée de toutes pièces par des groupes d’individus qui, en réalité, ne sont absolument pas là pour défendre les vraies victimes de racisme, mais qui sont par contre très désireuses de se faire une place au soleil en régnant par la terreur qu’ils infligent à nos cerveaux manipulés.

C’est donc une abominable machine à engourdir la conscience et la réflexion, l’instinct de survie même, puisqu’en se taisant les soumis volontaires à cette idéologie empoisonnée qu’est l’antiracisme se portent volontaires à la mort mentale, voire physique, des êtres à qui ils ont donné la vie, qu’ils ont portés, bercés, soignés, chéris, pour finalement accepter d’offrir leur corps en pâture à des violeurs bestiaux, des violeurs qu’ils n’auraient pourtant pas hésité à dénoncer avec une indignation légitime s’ils avaient été leurs cousins de patrie, leurs semblables.

Mais voilà, les violeurs viennent d’ailleurs, des « asiatiques », disent prudemment les journaux anglais, sachant pertinemment que la première image qu’évoque ce mot est celle d’Asiatiques de type chinois, alors que ces pédophiles sont pakistanais. Dans l’échelle accusatoire, il est moins grave de stigmatiser un Chinois généralement bouddhiste qu’un Pakistanais musulman. On reste dans une méthode similaire à celle employée dans le court métrage où s’était illustrée il y a plusieurs mois Julie Gayet, et qui suggérait des mariages de petites filles dans une utopique famille catholique pratiquante pour ne pas avoir à dénoncer ce type de mariages coutumiers réellement pratiqués chez certaines familles musulmanes. Stigmatiser les chrétiens blancs c’est bien, dénoncer les véritables auteurs exogènes c’est mal.

Les associations dites « antiracistes » sont parvenues à instaurer une peur panique de désigner les vrais coupables au point d’envoyer – si la peine de mort existait encore – à l’échafaud des innocents. Un procédé glaçant auquel il devient urgent de mettre fin en cessant tout financement de ces associations perfides et douteuses.

Les violeurs pakistanais, du seul fait de leurs origines exotico-musulmanes, obtiennent la permission silencieusement bienveillante de venir en Occident consommer les enfants britanniques en toute impunité, la sacro-sainte invocation du racisme tétanisant tout réflexe de défense naturelle. En allant plus loin encore, c’est l’ensemble de l’Occident qui se rend tout entier suicidaire en se laissant submerger par des peuples venus d’ailleurs par millions pour bénéficier de ses bienfaits, de sa générosité, tandis que les associations engraissées continuent de pratiquer leurs délires accusatoires et finalement meurtriers, pour justifier leur existence et réclamer toujours plus d’argent des contribuables qu’ils envoient au tribunal ou réduisent au silence. Ces associations et ceux qui prônent la même doctrine perverse doivent admettre leur part de responsabilité dans les conséquences de leur système, et en l’occurrence, dans les viols commis sur ces enfants, qui sans ce second pouvoir, auraient bénéficié de la protection parentale et étatique la plus élémentaire.

A quoi bon créer des programmes scolaires ciblés sur l’égalité des sexes dès le plus jeune âge, avec l’argument que c’est « pour le bien » des enfants, si c’est pour finalement autoriser le viol de ceux-ci par des néo-arrivants ? La réalité c’est qu’il s’agit d’endormir les masses, de leur dérégler le cerveau, d’en faire des avachis, des consommateurs béats, dépressifs, abrutis, ramollis, condamnés à ne plus savoir réfléchir.

Nos sociétés sont si malades de ce terrorisme mental consistant à les faire passer pour racistes que la seule parade qu’elles trouvent pour prouver leur innocence consiste à offrir leurs propres enfants à des peuplades arriérées. Le temps des victimes sacrificielles offertes aux divinités tribales est en train de revenir…

Au vu de toute cette engeance générée par ces associations et par les différentes instances politico-judiciaires qui les encouragent, et constatant l’importation en masse de certaines populations ne partageant pas nos mœurs et ne montrant aucune volonté à modifier les leurs, il devient plus que temps de s’interroger sur les réelles motivations de ces instances à détruire les fondements moraux et sociétaux des peuples européens – qui n’ont pas moins le droit que les autres d’exister – si ce n’est, à terme, pour les faire disparaître.

Caroline Alamachère

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