Harcèlement judiciaire : la vermine dans ses basses oeuvres

Par l’entremise de ses rats de palais, de plus en plus surexcités, la vermine au pouvoir attaque la mouvance patriote partout où elle le peut. Ainsi, la maire de Lille va porter plainte contre les jeunes filles de Némésis qui ont déployé une banderole. Selon la barrique à bières et spiritueux, l’ADN des Lillois ne supporte pas qu’on critique les envahisseurs. Vu les circonstances et le motif de la plainte, si nous étions dans un pays normal, non seulement la barrique serait déboutée, mais elle serait, de plus, condamnée aux dépens. Hélas nous ne sommes plus dans un pays normal.

Un excellent article de Jean D’Acre, rappelle le fonctionnement très particulier, de l’aussi sinistre que célèbre, 17e Chambre correctionnelle du TGI de Paris. Pour résumer, les déchets (en vrac) ont le droit de proclamer qu’ils sont partisans de n’importe quel totalitarisme. En l’occurrence, il s’agit ici de l’islam rigoriste. Ils ne risquent rien venant des rats de palais de la 17e Chambre correctionnelle. Car selon la logique des rongeurs, tant qu’un crime, même annoncé, n’est pas commis, les rats s’interdisent de les gêner. Notons les reproches permanents de l’Institut Pour la Justice, concernant l’aveuglement volontaire dans ces cas. En ignorant des plaintes et des mains courantes, qui ont été suivies de crimes, les rats de palais sont des assassins par procuration, Rien de moins. Le Yéti pourra blablater tant qu’il voudra, comme il l’a fait, par exemple après l’assassinat de Sarah HALIMI, ça ne change rien.

Mais attention !

Ce qui est valable pour tous les déchets, n’est plus du tout valable pour les patriotes. C’est selon ce dévoiement inacceptable de la logique la plus élémentaire que la vermine au pouvoir et ses rats (de palais) interdisent la moindre réunion de patriotes, même dans un lieu privé, au prétexte qu’il pourrait s’y tenir des propos haineux. Contre la pourriture collabo et les déchets envahissants, bien entendu.

Suivant ce principe inique, dès leur ouverture, les sites patriotiques d’information sont trainés devant la 17e Chambre correctionnelle. Vice des plaignants : même si une plainte n’entraîne pas de condamnation, cela coûte cher aux sites en frais divers et avocats. Or, contrairement aux organes de propagande vendus en kiosque, les sites ne vivent que par les dons des lecteurs. Les grasses subventions publiques sont réservées exclusivement à la propagande ordinaire. Quant à la publicité qui fait vivre les chaînes de télévision, les gens normaux refusent (en principe) d’acheter les choses vantées sur les chaînes collabos. A ce compte, Résistance Républicaine et Riposte Laïque sont victimes d’un véritable harcèlement judiciaire, depuis des années. Certaines déjections, comme un certain “genre incertain“, sont même devenues des plaignants quasi professionnels. En 2017, on comptait déjà une quarantaine de procès. Et jusqu’à septembre 2023, il faut en ajouter une trentaine. Soit soixante-dix procès en seize ans d’existence.

https://lesobservateurs.ch/2017/01/28/40-procedures-judiciaires-contre-riposte-laique-pierre-cassen-christine-tasin/

Verdict du dernier hier.  Un innocent article paru le 21 janvier 2021 coûte la bagatelle de quatorze mille euros, Il paraît que ça incite à la haine… Euh, les déchets nazislamistes ont tout de même assassiné plus de trois cents personnes en France, durant ces seize dernières années. En réalité, même sans les sites dit “d’extrême droite” par les vermines, nous avons une haine féroce contre elles ! Jusqu’à présent, cette haine, plus que justifiée, couve en silence… Hélas, contrairement aux mensonges des plaignants et des rats de palais qui leur donnent raison, le nombre de déchets crevés par les patriotes (environ zéro depuis octobre 2000), ainsi que l’observation attentive des signes avant-coureurs, montrent que cette haine qui couve contre la vermine ne peut pas exploser. Mais on peut toujours espérer un miracle…

Rappelons que la chasse contre les faits réels a existé, partout, tout le temps. Mais en France, depuis l’occupation nazie, le strict muselage des merdias, au profit principal des déchets nazislamistes, a été (tacitement) autorisé par le ténia chiracaille, à la date précise du 1er octobre 2000. En même temps commença le harcèlement des sites Internet qui dénonçaient déjà l’invasion. C’est ainsi que s’opéra un rapprochement entre des sites “nationalistes”, comme par exemple “SOS Racailles” et des sites juifs dénonçant la passivité du CRIF et des merdias juifs d’alors, ainsi que la complicité de la Licra avec les envahisseurs. Le méchant petit site juif a quand même connu trois fois la 17e Chambre correctionnelle, mais par contumace. La seule fois en direct, en 2001, l’AFP a perdu. Le défenseur était Gilles-William GOLDNADEL.
Charles DALGER, le 6 septembre 2000
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2 Commentaires

  1. Ma pauvre France, qu’a t-on fait de toi et pourquoi tant de haine contre ceux qui t’aiment ?

  2. Le meilleur quand même c’est Mario Stasi, fallait faire honneur au patronyme. Là on touche au sublime…

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