Histoire commencée d’un second peuple européen de substitution

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Un changement de population impliquerait un changement de civilisation.

Dans le cours de notre Histoire de France, réactualisée par Renaud Camus, le second peuple est celui qui vient en Remplacement (c’est-à-dire en lieu et place) du premier. Ce serait, nous dit doctement le site Wikipédia, (qui a lu tous ses livres parus en 2011), [ https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_remplacement ] une théorie conspirationniste selon laquelle il existerait un processus de substitution de population sur le territoire français métropolitain, dans lequel le peuplement européen serait remplacé par une population non européenne, originaire en premier lieu d’Afrique noire et du Maghreb. Ce changement de population impliquerait un changement de civilisation.

Cette théorie n’a pas manqué, bien sûr, de déclencher un tollé général chez les élites politiques, intellectuelles et médiatiques qui réfutent la thèse, récusent la méthode et la logique qui la sous-tend. Bien que cette thèse se vérifie tous les jours, dans la jungle de Calais et ailleurs, de Schengen à Lampedusa, Wikipédia ne manque pas de pointer son doigt sur Renaud Camus, rappelant que cet écrivain français est engagé à l’extrême droooiiite et que sa thèse du grand remplacement est un néologisme politique, soutenu par la mouvance identitaire considérée comme complotiste par certains dirigeants du FN. C’est ainsi dans ce joli monde de tolérance, d’amour et de paix qui nous entoure, preuve que celui qui dit la vérité devra être exécuté, ou encore quand on veut tuer son chien on dit qu’il a la rage.

Les trente glorieuses : début du Grand Remplacement à notre insu 

Cette parenthèse refermée, pour faire simple, ce second peuple est venu massivement de l’autre côté de la Méditerranée, par vagues successives, précipité par la guerre d’Algérie et les événements politiques des années 56 à 62. En ce temps-là,  pour le capitalisme et ses actionnaires, la pompe humaine était aspirante et en pleine action, tant les besoins en mains-d’œuvre rentables dans les usines et les chantiers en constructions était grands. La stratégie du Regroupement familial, scellant notre Destin, si cher à Giscard, puis  jusqu’à Chirac, n’avait qu’un but économique inavouable, celui d’empêcher l’envoi de leurs économies en devises (Francs à l’époque), dans les pays respectifs des travailleurs immigrés de nos usines et chantiers.  Un regroupement familial, à dessein, voilant la réalité économique et visant à instrumentaliser leurs familles nombreuses, une fois la Méditerranée traversée, en vecteurs économiques de la consommation intérieure.

De mon point de vue, c’est à partir de cette période, dite des Trente glorieuses, que commencera à notre insu, le Grand Remplacement dénoncé de nos jours par Renaud Camus et Bat Yeor. Une aubaine d’alors pour les grandes surfaces qui commençaient à fleurir un peu partout. Mais un casse-tête pour l’office d’HLM qui trouvait dans la création de barres d’immeubles une ghettoïsation rapide et efficace d’immigrés afin de satisfaire les demandes incessantes de logements. Affirmation encore vérifiable !

L’irresponsabilité politique de l’U.E d’imposer aux Nations, une pression migratoire considérable, détruit les grands équilibres culturels et ethniques. 

On mesure sans doute un peu trop tard, les conséquences de tant d’irresponsabilités politiques de tous bords, corrélées avec des résultats économiques insignifiants, décadents, quasi nuls, avec les chiffres du chômage en France à leur plus haut sommet, à l’image de ceux de l’Europe, près de 11 % en 2016 !…

Qui est responsable ? Personne !… Des coupables ? Cherchez pas, il n’y en aura pas non plus !… Mais des migrants chômeurs, sans logis, sans avenir, vous en aurez comme s’il en pleuvait !…

 

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Lien intéressant vers les statistiques mondiales du chômage à consulter.

http://statistiques-mondiales.com/ue_chomage.htm

Reconstruire l’Europe sur les ruines de ses guerres après des millions de morts d’une valeur inestimable.

Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, dans la première décennie, il a bien fallu reconstruire et relever la France de ses ruines. Or en ce point, l’Histoire prise à témoin, convoquée à la table du politique, nous rappelle que la Révolution de 1789, puis les guerres napoléoniennes, puis celles de 1870 des Communards contre le Kaiser, puis les deux guerres mondiales, puis l’Indochine, le Cambodge, l’Algérie, le Canal de Suez,… et j’en oublie ! Bref, toutes ces guerres ont fait au total des millions de morts d’une valeur inestimable pour la France ! C’est la seule idée importante à retenir ! De la chair à canons, majoritairement constituée de jeunes hommes, en âge de procréer, de se reproduire, d’assurer par la famille qu’ils n’ont jamais pu respectivement engendrer : la perpétuation de l’espèce humaine en général, hors théorie du Genre, bien sûr. La pérennisation, la relève des générations qui manque tant de nos jours au niveau national, prive aussi toute l’Europe guerrière mais surtout dans l’Allemagne de Merkel, qui a engrangé récemment en 2015, plus d’un million de ces pièces de rechanges, et ne sait plus où les ranger, les stocker, les former, ni comment bien les Teutoniser. D’autres millions d’humains sont en marche. Qu’allons-nous devenir ?…

Quelle confiance  peut-on accorder aux élus du peuple après leurs monumentales erreurs fatales, qui ont mis en marche des millions d’humains de pays en guerres alla conquête de pays en paix  ?

À l’heure du bilan, l’absence de résultats patents de nos élus, devenus les marionnettes de l’U.E et leurs divergences inadmissibles notamment sur la déchéance de nationalité pour les binationaux qui se seraient livrés à des violences contre les policiers ou à des activités djihadistes. Cette  déchéance aura fait l’objet de clivages autant à droite qu’à Gauche, dans un hémicycle quasi vide. Ce qui est incompréhensible, c’est qu’un sujet sécuritaire aussi grave, tant il concerne l’intérêt supérieur des Français, devrait faire l’unanimité à l’Assemblée et au Sénat au nom d’un sursaut républicain ou d’une Unité nationale.

Pour Raymond Aron, maître à penser des libéraux atlantistes : « L’état doit être respecté à l’extérieur et en paix à l’intérieur ». Ajoutons alors vive la guerre pour le respect à l’extérieur ! Mettre l’état en paix à l’intérieur, avec un vote de justesse sur la déchéance, c’est dire la confiance que l’on peut accorder aux élus du peuple !…

Bilan de nos élus, des assimilation et intégration réussies, dans la douceur de notre hospitalité ?

L’aveu de faiblesse, la monumentale erreur, ajoutons irréversible, de nos élus et décideurs zélés vient du fait que le problème de ce deuxième peuple, rebelle à l’assimilation malgré la douceur de l’hospitalité de notre accueil et grandeur d’âme, n’était en aucun cas interchangeable, contrairement à l’immigration des peuples européens : Polonais, Espagnols, Italien, Portugais et Africains pour certains… Il n’a jamais voulu, à de très rares exceptions près, s’approprier ni prendre place dans notre histoire et culture occidentale. Une histoire européenne complexe, certes peu glorieuse, plutôt sanglante et désastreuse, mais qui nous a terriblement affaiblis sur le plan démographique, mettant en danger de survie notre avenir générationnel avec le risque de voir s’asservir et se convertir, plus encore, les populations autochtones européennes. Ce n’est pas rien !

 

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Pour cause de droit à la différence, (si cher à nos ligues antiracistes), et au nom de nos héros politiques « du changement c’est maintenant ! », nous voilà plongé démocratiquement dans l’indifférenciation disait A. Finkielkraut dans son dernier livre : « la Seule Exactitude ». Précisons que le système d’islam politique issu du CCIF et basé sur la Charia, n’a guère apporté les preuves convaincantes de son rejet total d’un islamisme prosélyte, conquérant, violent, guerrier, et intégré à la religion du prophète.

Ajoutons alors que lorsque des villes entières de nos banlieues s’islamisent, et refusent au nom de la charia, nos lois d’intégration et d’assimilation à une autre culture que celle du prophète. Les décideurs de notre classe politique nous font douter sur leur capacité à traiter ce problème avec lucidité et la radicalité qui s’impose. On peut alors leur en vouloir d’avoir mal quantifiés les lignes de l’avenir de notre Histoire, d’avoir mal projetés les conséquences actuelles ressenties par tous. Toutes ces erreurs fatales auront probablement favorisées les conditions, pour ce second peuple, d’être en marge du premier dans ce pays et probablement dans d’autres en Europe. Un peuple qui se dit discriminé, stigmatisé, exclu, mal aimé, ressenti comme un envahisseur indésirable, voulant importer le conflit syrien, afghan, érythréen, irakien, kurde sur le sol européen.

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Le Pas d’amalgame dans le politiquement correct, dédouane l’islam politique de ses agissements

L’expression « Pas d’amalgame » s’est alors naturellement trouvée là dans la langue du politiquement correct et de la discrimination positive, pour dédouaner l’islam et ses agissements ». Un « Pas d’amalgame » qui mène au déni obscurantiste de nos politiques de nommer clairement les choses pour ajouter plus du malheur au monde (A. Camus), et surtout pour ne pas avoir le besoin de les traiter efficacement, radicalement s’il le faut. Vu sous cet angle, faut-il y voir une fuite en avant de la responsabilité de nos élus ou un peuple de trop dans la Nation ?

Claude Levasseur, retraité actif qui s’occupe d’Emmaüs à Tourcoing, n’a pas peur de l’Autre mais il accepte mal, de devenir l’Autre ! C’est la seule exactitude nous dit A. Finkielkraut.

Alors, défendre notre civilisation, nos valeurs, nos lois, nos institutions, contre les partisans de la loi islamique qui veulent effacer nos deux mille ans d’Histoire occidentale dit Aymeric Chauprade. C’est dans ce contexte de méfiances, de ressentiments, de mensonges, d’impostures et de trahisons politiques, que Tarik Ramadan, face cachée de petit-fils d’Hassan-Al-Banna, veut demander la nationalité Française et remplacer un jour F. Hollande. Inch allah s’écriront les  remplaçants !   Pauvre de nous, pauvres pêcheurs s’écriront les remplacés !

Patrick. Granville