Hommage à André Bercoff, cible de la meute Bourdin-Plenel

Le fait est de plus en plus visible, notamment en France : la démocratie est réellement en danger.

Il n’y a quasiment pas un jour sans que la réalité ne nous rappelle cette vérité.

À condition de voir ce qui se passe. Ou plus exactement d’accepter de voir.

Charles Péguy disait : « Il faut toujours dire ce que l’on voit. Surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit ».

Toute la presse aux ordres, tous les politiciens pratiquant le politiquement correct, toutes les associations bien-pensantes, passent leur temps à travestir les choses et présentent à la population une « réalité » totalement transformée pour les besoins de leur cause.

Depuis les violences réelles des antifas, les violences imaginaires de l’extrême droite, l’immigration incontrôlée, la délinquance, l’insécurité démente qui règne partout en France, les mensonges sur le climat et notre prétendue obligation de tout remettre en cause de ce fait… tout est mensonge et affabulation.

Un véritable rouleau compresseur afin de s’assurer que le bourrage de crâne soit efficace.

Dès lors, et c’est invariablement le cas, ceux qui refusent de dire ce qu’ils voient et sont complices de ces incessantes opérations de désinformation qualifient les autres de « complotistes ».

Quant à ce que disent ou écrivent ceux qui acceptent de dire ce qu’ils voient, ce sont des propagateurs de « fake news » en plus d’être complotistes.

Voilà ce qu’est devenue notre société en moins de deux décennies, sous la férule de l’extrême gauche – cornaquée par Mélenchon -, des médias bien-pensants, des principaux partis politiques et de toutes les associations « progressistes ».

Un journaliste est particulièrement visé par la meute : André Bercoff.

André Bercoff est journaliste à Sud-Radio et célèbre pour ses émissions dans lesquelles la parole est libre. Pas de tabou, pas de langue de bois, pas de sujet interdit.

Plus exactement ce sont plutôt les sujets interdits dans les autres médias qu’il souhaite traiter.

Ce qui n’est pas sans risque.

Ainsi, depuis des semaines est-il durement attaqué par de nombreuses « personnalités », à commencer par son propre collègue de Sud-Radio, l’ineffable Jean-Jacques Bourdin.

Le 11 avril 2023, sur Sud-Radio, s’est déroulée l’émission « Parlons vrai chez Bourdin ». Le thème était : la confiance des Français envers les médias et les journalistes.

L’un des participants attaque Bercoff, expliquant que c’est à cause de journalistes comme lui que 44 % seulement des Français ont confiance dans la presse et les journalistes.

Et Bourdin de répondre : « Ce n’est pas moi qui vais le défendre… ».

Passons sur le côté très confraternel de cette déclaration. Retenons surtout que lorsqu’on a des amis comme Bourdin, on n’a pas besoin d’avoir d’ennemis.

Mais le plus étonnant est ce que Bourdin reproche à Bercoff. Dans ses émissions : « il n’y a pas de contradiction et il n’apporte pas la contradiction. ».

Donc s’il fait un temps magnifique et qu’un interviewé le souligne, il faudrait que Bercoff dise qu’il pleut des hallebardes. Sacrée conception.

En fait, ce n’est nullement cela qu’on reproche réellement à Bercoff.

Il lui est surtout reproché d’autoriser des débats qui devraient être interdits.

Sud-Radio (l’émission de Bercoff) est « spécialiste du fait d’inviter des anti-vaccins ou des covido-sceptiques ».

Effectivement, en pleine crise du COVID et même maintenant, Bercoff a courageusement refusé de se taire et a permis que des débats aient lieu dans lesquels – ô crime – les thèses officielles ont été critiquées et contestées. Aujourd’hui, ce sont ceux qui réclamaient son silence durant la crise qui à nouveau voudraient bien qu’ils se taise au lieu qu’il dénonce ses accusateurs d’hier qui sont discrédités par ce qu’on est en train de découvrir.

Au passage on notera deux faits sur lesquels ses détracteurs sont fort discrets :

  • Sud-Radio (Bercoff) est l’un des rares médias à s’intéresser aux démêlées de Van der Layen avec la justice sur le scandale en train d’apparaître concernant ses relations avec Pfizer et les plus que suspicions de corruption massive dans ce dossier. Notamment en relation avec le travail fait par la députée européenne Virginie Joron (RN) et plusieurs de ses collègues du Parlement européen. Mais le sujet est l’objet d’une opacité remarquable de la part des autorités européennes. Et peu de médias en parlent.
  • Tout comme en France, peu de monde s’est alarmé du fait que le dossier COVID soit traité en Conseil de Défense. On vient maintenant de comprendre pourquoi. Cela a permis de classer « Secret Défense » tous les éléments du dossier. Donc vous saurez la vérité dans 50 ans ! Circulez, il n’y a rien à voir. En réalité, c’est parce qu’il y a beaucoup à voir que cela a été classé « Secret Défense », afin de protéger des poursuites les principaux responsables.

Un autre reproche est fait, cette fois par la légende Edwy Plenel : Bercoff est vieux et raciste.

C’est sûr, à 82 ans, André Bercoff n’est pas un jeune premier. Par contre, il a un dynamisme que j’aimerais bien avoir si j’arrive à son âge, et surtout, il en a vu pas mal dans sa vie, ce qui lui permet de ne pas se faire raconter n’importe quoi sans réagir.

Et au sujet d’Edwy Plenel, André Bercoff sait à qui il a affaire.

Edwy Plenel, celui qui se présente comme le Monsieur propre du journalisme, le preux chevalier du camp du bien, pourfendeur de racistes et de fascistes.

Moi, tout comme André, je me rappelle sa déclaration de 1972.

En 1972, alors que le groupe terroriste palestinien « Septembre noir » avait assassiné onze athlètes israéliens pendant les Jeux olympiques de Munich, il écrit dans « Rouge », le journal de la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR) de Krivine sous le pseudonyme de Krasny : 

« Aucun révolutionnaire ne peut se désolidariser de Septembre Noir. Nous devons défendre inconditionnellement face à la répression les militants de cette organisation »

Il confirmera cette déclaration, dans Libération du 4 avril 2018  :

« Je n’ai jamais fait mystère de mes contributions à Rouge, de 1970 à 1978, sous le pseudonyme de Joseph Krasny. Ce texte, écrit il y a plus de 45 ans, dans un contexte tout autre et alors que j’avais 20 ans, exprime une position que je récuse fermement aujourd’hui. Elle n’avait rien d’exceptionnel dans l’extrême gauche de l’époque. »

On remarquera juste qu’il n’y a aucun regret, ni aucune excuse même 50 ans plus tard !

Pour compléter le tableau de cet homme de bien, on soulignera l’attachement indéfectible de ce monsieur à l’action des « Frères Musulmans » et tout particulièrement Tariq Ramadan.

Vraiment un homme de bien, cet Edwy Plenel. Tout à fait qualifié pour salir André Bercoff.

Quant à l’accusation de racisme, elle s’explique tout simplement par le fait qu’André Bercoff est opposé à cette immigration massive et incontrôlée qui a comme conséquence d’être en train de détruire notre pays.

Ayant été l’un des animateurs du combat de Callac, j’ai à deux reprises été interviewé par Sud-Radio dans le cadre de l’émission d’André Bercoff.

Grâce à lui, de nombreux Français ont pris connaissance du combat que nous menions en Bretagne dans ce petit village, et que nous avons gagné.

J’ai d’ailleurs écrit un livre pour raconter ce combat : « Callac, la mère des batailles » (synthèse-editions.com).

Par contre Edwy Plenel, « l’antiraciste » n’a pas souhaité m’interviewer, ni faire connaître notre combat pour défendre notre pays et notre civilisation.

Lui, avec son journal Mediapart, il menait le combat aux côtés des antifas qui attaquaient violemment nos manifestations et nos militants. Mais cette violence « révolutionnaire », hier à Munich comme aujourd’hui à Callac et dans tout le pays, elle a tout le soutien d’Edwy Plenel. Elle ne peut être critiquée et encore moins condamnée.

Heureusement qu’André Bercoff est là, tenant tête à la meute, en préservant un espace de liberté et de débat sans tabou.

Lui et ceux qui mènent le même combat dans d’autres médias.

Bernard GERMAIN

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37 Commentaires

  1. Merci pour cet éloge sur Monsieur Bercoff – Heureusement que des hommes comme lui ont le courage de dinner la parole à tous et d’informer les auditeurs sur ce qui est écarté par des médias à la solde de ceux qui les financent.
    Déjà nous sommes nombreux à avoir regretté que l’emission de 12h ait été rognée par celle de Monsieur Bourdin que nous évitons d’entendre. Il a été récupéré et sauvé par Sud Radio et ferait mieux d’être humble.

  2. Il me viendrait jamais à l’idée d’écouter ce pauvre bourdin, en revanche d’écoute André Bercoff quel plaisir.

    • Tout à fait d’accord !!! Jérome !!!
      Je n’ai JAMAIS compris pourquoi Sud Radio avait recruté cette ordure de Bourdin !!!
      Quant à Plenel !!!! il devrait être sanctionné !!!!
      Suis-je bête !!! la liberté d’expression !!! et n’oublions pas que nous sommes en démocratie à géométrie variable !!! Écoeurant !!!
      Comment les Français peuvent ils encore se laisser berner ????

  3. Andre B . Garde tout mon respect , ma fidélité !
    J’écoute aussi l’heure libre le samedi à 10h ..
    et Basta .. j’ai pourtant écouté Mr Bourdin a ses tout débuts .. je me suis forcée à tenir mon calme , impossible pour moi de renouveler l’expérience ! J’ai eu l’impression de perdre mon temps : sans goût , aucune texture , aucun arrière goût ! Bref , émission qui ne sert à rien ! Sinon à débiter des conneries dignes de la France insoumise .. la mauvaise foi l’emportait !
    Désolée , mes parents ne m’ont pas élevée pour perdre mon temps !

  4. Merci à A.B. et donc aux rares courageux qui peuvent encore s’exprimer dans certains médias, les vrais !

  5. question : que fait l’infâme et nullisime B. sur sud radio ? sud radio aurait t’il perdu tout bon sens pour embaucher un tel énergumène ?

  6. J’ai un an de moins que lui , on peut dire qu’on est de la même classe et je ne loupe pas une de ses émissions qui parlent vraies , et son heure ( maintenant) passe comme 10 minutes.

  7. On pourrait se demander pourquoi le “bourdin” s’est retrouvé parachuté à Sud Radio après avoir été viré d’RMC & BFMTV, en empiétant sur le créneau d’A. Bercoff ? Sud Radio a perdu des auditeurs c’est certain !

  8. Je ne serai pas mécontent d’apprendre que des abrutis dégénérés comme Plenel ou Bourdin se sont fait démolir le portrait, mais toute la chienlit journalistique aux ordres irait clamer partout que c’est un attentat de l’extrême drroooââââte…

  9. Plenel considérant Bercoff vieux, alors même que l’Edwy, dans sa préface à “Pour les musulmans” de 2014, fait hommage au … jouvenceau E. Morin, celui-ci cosignant, et s’affichant, avec “frère Tariq” …. (juste avant le “faux-pas” dudit).

  10. Qui peut encore écouter le philippe Henriot de la collaboration et comment les dirigeants de cette radio ont pu recruter cette vermine ce traitre en gros cette merde c’est tout simplement intolérable je n’écoute plus cette radio.

  11. Sud radio tourne en eau de bourdin depuis que Patrick Roger, qui a traîné de radio en radio, avant d’atterir sur sud-radio, a cru bon d’empiéter sur le temps d’antenne de Monsieur Berkoff pour nous infliger le Bourdin aux paumes (baladeuses) et nous affliger avec les commentaires insipides et les réflexions dignes d’un miroir sans tain d’icelui. Entendu par hasard lors de la réception d’un invité sans intérêt: “C’est la première fois que vous êtes l’invité de sud radio, donc vous n’êtes jamais venu”.
    Ce monsieur n’a aucune intelligence décelable, pas même avec l’ennemi (en l’occurrence André Bercoff).
    Certains voulaient l’envoyer sur radio Jamaïque pour une émission “La recette du Bourdin antillais”, mais cette radio a refusé, (pour des raisons de Bourdin Blanc, semble-t-il)

    • Comme pas mal d’auditeurs de ma connaissance, je n’écoute sud radio qu’à partir de l’entrée en piste d’André. Rassure-toi André, les carottes ne sont pas encore cuites!

  12. Ce boudin n’a rien à faire sur sud radio moi je suis privée de la tranche horaire qu il occupe il faut boycotter cet islamogauchiste cracher sur Mr Bercoff les cons osent tout selon la célèbre réplique du cinéma français

  13. j’écoute André Bercoff sur youtube et n’écoute plus Sud Radio depuis l’arrivée de la poubelle bourdin… boycott!

  14. y’en a qui ont réponse à tout et il y a berkoff qui a question à tout! devinez qui je préfère entendre tous les jours (sauf le weekend parce qu’il n’officie pas); de plus ses invités ont toujours de l’intérêt en tout cas ils nous apprennent souvent quelque chose

  15. On s’en colle plein les doigts .tout ce qu.il touche est barbouillé de m…. on sait de quel égout sort ce personnage , porte-coton du macronisme triomphant, utilisant l.intrigue seule technique ou il excelle pour détruire ceux dont il jalouse les talents, et dont il espere follement prendre la place. Au dessus de lui : le rat d’egout, le ténia, la Mérule , la paramécie.

    • Et l’amibe, alors? et la douve du foie? et l’ascaris? et le ver de Cayor(cordylobia anthropophaga)? et le filaire?
      Vous allez faire des mécontents en les plaçant au-dessous de Bourdin dans la classification des espèces.

  16. Qu’est ce qu’est venu foutre le bourdin chez sud-radio déjà ! C’est une daube de première, un traître collabo, ce connard est tout le contraire d’A Berkoff, quand à ce merdier de plenel,il pourrait lui arriver un accident grave dont il ne se remettra pas…

    • Bourdin à Sud Radio ? Merci à son directeur Patrick Roger , un fourbe de la même trempe ! qui se ressemble ,s’assemble .au sens propre comme au figuré !
      Je n’écoute plus cette station.

  17. Edwy Plenel est la pire pourriture encore vivante – hélas – du journalisme, et pourtant il y a pléthore de candidats au titre dans cette corporation, c’est une vraie “boule de haine” ce mec-là, la haine de tous ceux qui ne pensent pas comme lui. Il aurait fait merveille en tant que commissaire politique ou inquisiteur, ou bien au Comité de salut public en 1793-94 aux côtés de Robespierre et Saint-Just. Un type haineux doublé d’un délateur arrogant.

    • Nous savons tous enfin ceux qui connaisse l’Histoire de France , ce qui est advenue de Robespierre et de Louis Antoine de Saint -Just .Couic!

  18. Je ne comprendrais jamais comment ce plus nul parmi les nuls, L’ineffable Bourdin, est entré dans dernière radio presque libre Sud Radio. Pour s’y mettre aussitôt à faire ce qu’il en sait que faire en bonne “bagnole” de synthèse : mordre la main qui le nourrit et jalouser le premier de la classe. Ah si, je sais : je suis en France période Fin du Monde. je comprends que chez nous les épurations soient sanglantes.

  19. Bel hommage. Vu d’Italie ou je vis, André Bercoff est le meilleur journaliste français avec Christine Kelly, côté dames. Il y en a aussi des bons sur TVL mais moins connus.

  20. Pour compléter votre article, je vous rappellerai ce dicton sorti de je ne sais où mais d’actualité en France aujourd’hui: “Il faut de l’audace pour penser autrement”.

  21. Edwy PLenel n’existe pas. Un mensonge sur pattes est un simple coup de vent dans une maison dont a oublié de fermer les portes. Malhonnête jusque dans son sourire pervers. Casse-toi grosse moule ! Quel crétin, même à le lire, on n’apprend rien, c’est du vide, un ballon de baudruche de la pensée, qu’il pète ou qu’il éructe ses aboiements sourire carnassier aux lèvres, ce sont toujours des pets qui puent… Quand il mourra, personne ne se rendra compte de son absence, qu’il a existé. On nous dira : “Mais vous vous trompez, Edwy Plenel n’a jamais existé, c’est un personnage de fiction ; une telle erreur de la nature ne peut exister, c’est une invention de votre esprit malade !”

  22. Le trotskisme, même sil a fait du mal, est un néant, un trou noir. C’est un conglomérat d’abrutis, lobotomisés par la théorie absconne d’un narcisse criminel que même Staline finit par faire éliminer à Mexico tant il était nihiliste de chez nihiliste dans sa tête, qui détestent le Bien, le Beau et le Juste. Et c’est la raison pour laquelle ils attaquent sous la ceinture le représentant de ceux-ci, le bien-aimé André Bercoff. Nous sommes des millions à écouter Bercoff chaque année. Qui écoute les autres blaireaux cités dans l’article ?

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