Hommage à Olivier Fougerat, un grand patriote contributeur de Résistance Républicaine

Olivier Fougerat, l’un des contributeurs anonymes de Résistance Républicaine et de Riposte Laïque, nous a quittés il y a quelques jours sur la pointe des pieds. Très discret, il ne cherchait pas à être connu. Il écrivait sous différents pseudonymes.

Il était Jean Ducluzeau, Yidir Aberkane ou Olivier de Saint-Panzet (j’ai mis du temps à comprendre que c’était « Chimpanzé »…).

Il maniait le verbe comme Mbappé manie le ballon.

Il allait avoir 79 ans, le 14 octobre prochain. Il avait choisi le sud du Portugal pour sa retraite.

Il aimait la région de l’Algarve pour sa nature et son histoire.

C’était un architecte qui a laissé de belles œuvres, un écrivain qui étonnait par son aisance d’écriture, et un philosophe qui frappait à toutes les portes.

C’était surtout un patriote, amoureux de la France dont la soumission de plus en plus flagrante à l’islam le faisait souffrir.

Il avait fait de la lutte contre l’islam le credo de sa vie.

Il m’avait annoncé, le 23 juillet dernier, être atteint de leucémie.

On discutait de choses et d’autres, puis il me lance, tout d’un coup : « Je vais partir. J’ai une leucémie. » Il l’avait fait d’une façon tellement calme que je ne l’avais pas cru.

D’ailleurs, il était dans une période d’écriture très prolifique. Il enchaînait les articles sur Riposte Laïque.

Il plaisantait tout le temps. Il plaisantait aussi bien avec la vie qu’avec la mort.

« Mais, rassure-toi, m’écrit-il, je partirai en bon mécréant. »

On a parlé de médecins et de médecine.

« Je me soigne à la vodka », me dit-il. « Mais n’est-il pas vain de lutter contre notre obsolescence programmée ? », avait-il ajouté.

« Arrête de déconner ! l’avais-je stoppé. On ne sait jamais qui va partir le premier. Il faut faire la queue comme tout le monde et attendre qu’on t’appelle ».

Notre dernier échange remonte au 3 septembre. On avait parlé de l’esclavagisme islamique en Europe. Puis il y a eu un moment de silence. Je ne voulais pas le relancer sur sa maladie. J’étais certain qu’il allait m’en parler s’il y avait quelque chose de nouveau.

Et puis j’ai appris la triste nouvelle par Jean-Louis Chollet, le 28 septembre au matin.

https://ripostelaique.com/olivier-fougerat-dit-jean-ducluzeau-nous-a-quittes.html

Je n’en revenais pas.

Ma première réflexion, a été « Le salaud, il l’a fait. Il est parti sans crier gare ».

La mort a dû le surprendre dans son lit.

La mort est une saloperie. Elle est traîtresse. Elle vous surprend dans votre sommeil.

Elle attend que vous soyez au lit pour vous emporter.

95 % des personnes meurent dans leur lit.

Ça ne m’étonnerait pas que ce soit elle qui ait inventé le lit.

Le lit est la plus néfaste invention de tous les temps.

Olivier était un Hercule qui aurait étranglé la mort si elle s’était présentée à lui face à face.

Avec Olivier, on a été très proches, même si on ne s’est jamais rencontrés.

Il m’avait invité plusieurs fois chez lui à Limoges, mais je n’ai jamais pu m’y rendre.

Olivier recevait beaucoup, surtout en été.

Il avait des amis qui venaient du Maroc, d’Algérie et d’ailleurs.

Il avait une bonne connaissance des pays du Maghreb. Il avait côtoyé beaucoup de personnalités berbères et collaboré à un magazine kabyle.

Je lui avais tout récemment suggéré d’écrire ses mémoires.

« Ce qui n’est plus n’est plus », m’avait-il rétorqué. Il reprenait un dicton connu au Maroc qui dit « Ce qui n’est plus est mort ».

Il a laissé un testament. Comment se débarrasser de la racaille en France en se servant de la bonne « charia » chère aux musulmans :

  • En cas de viol : castration
  • Agression au couteau : couper la main qui le tenait
  • Agression au pavé : lapidation du lanceur
  • Meurtres et assassinats : décapitation au sabre

Son testament est à voir ICI

Olivier écrivait également, en guise de présentation de son livre « Welkome Shaitan » :

« Au rythme où ça va, tout le monde aura bientôt son islamiste à côté de chez lui.

Et ça c’est pas de la tarte, faut vivre avec…

« Vivre-ensemble » comme ils disent, les socialobobos protégés, les lécheurs de babouches friqués, les collabos des égorgeurs, bref, ceux qui ne vivent pas avec. Car après le gosse cogné à l’école, les crachats sur le trottoir, les Belphégor en paquetage noir, les chapelets d’insultes en charabia et maintenant les têtes coupées, les dindons de la farce politique comprennent que c’est devenu invivable, qu’ils ne sont plus chez eux et qu’il va leur falloir vider les lieux, bazarder leur maison, abandonner leur quartier, fuir leur pays, leur patrie… Mais pour aller où ?

« C’est qu’il y en a partout des barbares, jusque dans les 25 % des villages, à la campagne, et même chez eux au pays d’origine !

« Ou alors… Pourquoi pas réagir ? Pourquoi pas schtroumpfer son islamiste ? Ce ne sont pas les recettes qui manquent ! Suffit d’avoir un peu de fierté, et des c… »

Brave Olivier.

Mes pensées vont à Anne, son épouse. Elle a toujours été un vrai compagnon d’arme pour lui. Je ne vais pas te dire adieu, Olivier. Tu n’aimes pas ça.

Alors, au revoir, Olivier.

Puissent nos cendres un jour se rencontrer. Et qu’elles soient arrosées de vodka.

Nos cendres donneront naissance à un olivier avec des grappes de raisin.

Messin’ Issa

https://resistancerepublicaine.com/2023/10/03/hommage-a-olivier-fougerat-un-grand-patriote-contributeur-de-resistance-republicaine/

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3 Commentaires

  1. Peut-être de l’autre côté du miroir pourra-t-il soutenir notre juste cause .
    Paix à son âme.

  2. Merci, Messin’Issa, pour ce bel hommage à notre cher ami Olivier…
    De beaux et amicaux souvenir nous resteront de cet homme vrai et sincère, partagés avec Anne et tous ses amis.
    A & JL

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