Il suffit de brûler un coran pour que le monde musulman crie “au crime”

Une notion émergente non encore censurée pourrait trouver sa voie de réalité, donc irréfutable, concernant l’islam et l’amalgame interdit-censuré dans nos sociétés occidentales qui empêche de dire tout haut qu’un musulman qui n’est pas encore passé à l’acte contre les non musulmans n’est qu’un musulman au repos tandis qu’un musulman qui a commencé son djihad est un musulman engagé-actif : il s’agit de la distinction apportée par monsieur Rémi Brague qui distingue l’islam impatient de l’islam patient.

Ainsi l’islam impatient est l’islam engagé, et l’islam patient l’islam qui a le temps, ce qui permet au philosophe d’avancer qu’entre le terroriste et le musulman de base non encore passé à l’acte, il n’y a que l’épaisseur d’une feuille de papier à cigarette : « La différence est assez difficile à tracer entre islam et islamisme, c’est une différence de degré plutôt que de nature », ce qui le conduit tout normalement et tout logiquement, comme tout esprit sensé, mais les politiciens occidentaux ne sont plus des gens sensés ou peut-être n’ont-ils plus d’esprit du tout, à se demander « si le but dernier ne serait pas le même pour les deux ».

On salue ici cette perception différenciée entre l’anode et la cathode dont les rôles diffèrent dans la pile électrique, mais qui sont toutes deux indispensables et indissolublement liées et nécessaires au bon fonctionnement de la chose pour conduire l’électricité jusque dans nos demeures afin d’y voir clair dans la nuit que nous impose nos crétins politiques européens.
On nous assène qu’il ne faut pas faire d’amalgame entre islamistes et musulmans, pourtant ils s‘abreuvent au même livre et aux mêmes valeurs : tuer tous les non musulmans par exemple.
Or la distinction du philosophe est réellement opératoire quand on reprend par exemple l’affaire de la préfecture de police de Paris où un musulman est du jour au lendemain, après de nombreuses années de patience, devenu subitement impatient :
https://www2.assemblee-nationale.fr/15/autres-commissions/commissions-d-enquete-de-la-xv-eme-legislature/commission-d-enquete-sur-les-attaques-a-la-prefecture-de-police-de-paris/(block)/64148

Elle l’est encore si on reprend tous les témoignages des proches dans toutes les affaires d’attentats d’où il ressort avec une constance métronomique que les impétrants étaient toujours des garçons serviables, gentils et, en tous temps, prêts à faire le bien d’autrui avant de passer à l’acte : de patients ils sont devenus subitement ici aussi impatients.

Cette analyse patient/impatient a l’avantage de mettre les réalités en accord avec les principes musulmans de la oumma : patient ou impatient, un musulman est un musulman et a un devoir de solidarité dicté par son appartenance au cercle du même livre, et Rémi Brague d’argumenter « On peut aisément montrer que l’inquisiteur Torquemada a trahi l’Évangile, mais bien moins facilement que Daech trahit le Coran. Et il faut voir la difficulté qu’ont eue les gens d’al-Azhar à émettre une condamnation envers les djihadistes, parce que Daech leur disait « lisez la biographie du Prophète, c’est exactement ce que nous faisons ». On peut citer l’exemple du malheureux pilote jordanien qui a été brûlé vif par Daech, et là il y a eu une discussion avec les gens d’al-Azhar qui ont dit « non, il fallait juste lui couper une main et un pied, seul Dieu brûle les pécheurs en enfer ». Daech a donc répondu qu’un compagnon du Prophète avait brûlé vif ses adversaires, et que ça ne pouvait donc pas être entièrement mauvais ».

Il met ainsi le doigt sur un fait que nos politiques ne veulent jamais entendre : entre le théologien de l’université islamique qui fait autorité sur tout le monde musulman et le tortionnaire musulman, le théologien ne peut se faire qu’une religion qui lui interdit de condamner celui qui est devenu un criminel musulman aux yeux des Occidentaux : c’est bien la preuve par neuf et plus que le système de valeurs est radicalement opposé entre Europe et islam, et il en a fallu sacrément, des sac de billets livrés à nos députés et sénateurs, pour qu’ils acceptent de fermer les yeux sur l’immanquable.

Car il est constant, su de tous et largement documenté que les musulmans patients condamnent plus que rarement les actes terroristes perpétrés par des musulmans impatients dès lors que cela touche des non musulmans, et s’ils le font, c’est uniquement sous couvert de la taqîya afin de rassurer les politiciens non musulmans qui leur délivrent l’autorisation de prospérer : c’est dans le Coran de devoir mentir et faire semblant.

On vient d’avoir un exemple de double discours suivi de l’affaissement intellectuel assourdissant de politiques de nos contrées qui devrait mettre en alerte tous les citoyens d’Europe sur la veulerie et la soumission de leurs dirigeants avec le cas suédois :
Ainsi le chef du parti Ligne Dure, Rasmus Paluden, a brûlé un coran devant l’ambassade de Turquie au motif que ce dernier pays empêche l’entrée de la Suède dans l’Otan.
C’est aussitôt tout le monde musulman qui crie au crime en devenant impatient :
L’Arabie saoudite, berceau de l’islam, a via un communiqué de son ministère des Affaires étrangères « condamné et dénoncé que les autorités suédoises aient permis qu’un extrémiste brûle un exemplaire du Coran en face de l’ambassade de Turquie à Stockholm ».

Le Conseil de coopération du Golfe (CCG), l’Organisation de la coopération islamique (OIC) et les Émirats arabes unis (EAU) ont également condamné cette initiative.
https://www.ataturquie.fr/relations-suede-turquie-tensions-exacerbees-apres-lautorisation-dune-manifestation-antiturque/
De même que le Maroc :
https://www.fdesouche.com/2023/01/22/suede-rasmus-paludan-un-militant-danois-anti-islam-met-le-feu-a-un-coran-devant-lambassade-de-turquie-et-provoque-un-incident-diplomatique/

Il est ainsi démontré la solidarité des musulmans dans leur haine envers les non musulmans car la phraséologie utilisée par lesdits musulmans est on ne peut plus honteuse comparée aux 360 millions de chrétiens persécutés principalement dans le monde musulman, lisez donc les termes utilisés :
« l’empiètement sur le Saint Coran et les symboles religieux sacrés des musulmans »
« acte inacceptable »
« cet acte odieux, qui heurte les sentiments de plus d’un milliard de musulmans, est susceptible de provoquer la colère et la haine entre les religions et les nations.”
« l’attaque ignoble contre notre livre saint »,
« acte anti-islamique, qui cible les musulmans et insulte nos valeurs sacrées ».

Facile alors d’instruire le procès des valeurs des musulmans qui ne s’insurgent jamais du viol des fillettes chrétiennes et de leurs mariages forcés au Pakistan, de l’assassinat perpétuel et programmé des chrétiens au Nigeria, de leur génocide dans tout le monde musulman, du tabassage à mort des Iraniennes et des Afghanes ainsi que des millions d’exactions contre le genre humain non coranique qu’ils commettent tous les ans impunément, aucun dirigeant d’Occident ne trouvant à y redire.

L’un des summums de la duplicité dans cette affaire nous vient du ministre koweïtien qui « a vivement condamné » l’action, souligne le communiqué. Selon le ministre, celle-ci pourrait « provoquer des sentiments [d’indignation] chez les musulmans du monde entier et devenir une provocation dangereuse pour eux ».

Il a exhorté la communauté internationale à « remplir ses obligations de mettre fin à de telles actions inacceptables et à faire assumer la responsabilité aux coupables ». Selon lui, il importe de « rejeter toutes les formes de haine et d’extrémisme, de ne pas lier la politique à la religion, mais de propager les valeurs du dialogue et de la tolérance, de prévenir les cas d’insulte à toute confession religieuse ».
Ainsi ce ministre koweitien ordonne la tolérance, rejette tout extrémisme et haine pour un bouquin brûlé, et dans le même temps de Macron adoube le viol de fillettes chrétiennes au Pakistan, le tabassage des Iraniennes et la persécution des chrétiens.
Et les ordures politiques de Suède de lui donner raison qui, bafouant toutes les valeurs du traité européen, assurent :

“La liberté d’expression est une part fondamentale de la démocratie. Mais ce qui est légal n’est pas nécessairement approprié”, a déclaré le dirigeant conservateur Ulf Kristersson sur Twitter dans un message publié dans la nuit.
“Brûler des livres qui sont saints pour beaucoup est un acte profondément irrespectueux. Je veux exprimer ma sympathie à tous les musulmans qui ont été offensés par ce qui s’est passé à Stockholm samedi”, a affirmé le chef du gouvernement.
https://www.laprovence.com/actu/en-direct/1541157354973316/coran-brule-a-stockholm-la-suede-exprime-sa-sympathie-aux-musulmans

Oui, vous avez bien lu en creux, le gouvernement suédois trouve sympathique le viol et le mariage forcé de chrétiennes, l’assassinat et la persécution de chrétiens ainsi que le génocide des Yazidis.
Il faut vraiment le lire pour le croire, mais vous, le croyez-vous à lire cette soumission écœurante qui porte la nausée aux lèvres les plus graciles ces proclamations dégoulineuses des merdes gouvernementales suédoises ??

Car vous n’avez pas encore entrevu où mène toute la logorrhée utilisée par le monde musulman, qui pourtant devrait mettre en alerte tout individu sensé dont la haine reste l’un des moteurs de l’instinct de survie archaïque immémorial qu’il faut toujours savoir cultiver pour sa sécurité en son for intérieur : ce monde musulman, qui se targue en public d’être patient en nous ordonnant la soumission à ses méfaits, est en réalité en train de menacer tous les non musulmans d’une prochaine impatience qui pourrait le prendre quand il déclare, par la voix du ministre koweitien, que cette provocation ( la brûlerie du coran) pourrait « provoquer des sentiments [d’indignation] chez les musulmans du monde entier et devenir une provocation dangereuse pour eux ».

Sous-entendu dangereux pour nous, non musulmans.
C’est-y pas une déclaration de guerre qui ne dit pas son nom, mais qu’un esprit éveillé peut décoder ?
Mais l’Europe dispose-t-elle encore de politiciens à l’esprit éveillé, de même que dans ses soi-disant zélites ?
Notre philosophe a bien raison, il n’y a de différence entre musulmans qu’un degré de patience, pas de nature, sachant, ajouté-je, que d’un degré l’autre, du jour au lendemain ils le franchissent facilement.
Il faut donc être perpétuellement armé contre les Maures.

Il faut savoir qu’ils vont inéluctablement attaquer, c’est écrit dans les Livres, seule manque la date exacte du passage à l’acte. Comme à la préfecture de police, où ils n’avaient rien prévu.

Jean d’Acre