Il y a 35 ans mourait Daniel Balavoine : c’était un petit con bobo gaucho

J’apprends ce 14 janvier qu’il y a 35 ans, Daniel Balavoine mourait sur le Paris-Dakar, dans un accident d hélicoptère.

Je me souviens parfaitement du jour de sa mort, et franchement je m’étais dit bon débarras.
En effet, j’avais vu en direct en 1980 sa prestation pathétique face à François Mitterrand, pas encore Président, et je l’avais trouvé franchement ridicule à faire son caca nerveux…

On ne comprenait absolument rien à ce qu’il racontait, à part que les jeunes étaient en colère…
Le pauvre abruti. Les jeunes de 1986 était juste normaux dans un pays qui n’était pas encore envahi par la racaille africano-maghrébine, quoi que ça commençait déjà sérieusement à se faire sentir dans des villes comme Garges, La Courneuve, Nanterre, et d’autres où ça ne     s’est pas arrangé depuis. Mais on sentait déjà l’influence à venir de toute la gauche immigrationniste qui a ravagé notre pays depuis 40 ans.
Et là où je ne me suis pas trompé, c’est quand j’ai entendu sa chanson, « l’Aziza », qui était en soi une ode à l’immigration maghrébine, à  « l’antiracisme », et donc à l’islam, sauf que Balavoine était trop con pour s’en rendre compte…
https://www.youtube.com/watch?v=lHjJlSq3BhA
En fait, il avait peur qu’on lui enlève sa femme, Juive marocaine (l’Aziza, c’est elle)… mais c’est là qu’il démontre sa bêtise crasse, car il faut être plus que débile pour mettre sur le même plan des Juifs marocains qui ont quitté leur pays par épuration ethnique comme dans tout le Maghreb, et des Marocains musulmans attirés par les avantages sociaux et prêts à envahir la France.
Daniel Balavoine, rebelle de mes deux, à la voix de castrat, avait une vie de star, mais c’était un petit bourgeois bobo gaucho, du camp du Bien, comme il y en a tant aujourd’hui et qui rêvait « de grand soir » de tous les hommes du monde.
Quel con… On dirait Raphaël Glucksmann artiste, teinté de Caroline Fourest, avant l’heure…
Si ce type était encore vivant, il serait aujourd’hui en train de manifester aux côtés de Mélenchon et de la France insoumise pour plus d’immigration, c’est à peu près sûr…
Bref, pour moi c’était un sale con imbécile, prétentieux et insupportable, et à la vérité quand il est mort, je me suis dit bon débarras.
Par contre, je me suis toujours demandé comment aurait évolué Coluche, et je pense que lui, au contraire, après être devenu gauchiste, aurait probablement su se rendre compte qu’il faisait fausse route et serait aujourd’hui un patriote. Mais ce n’est que pure conjecture.
Albert Nollet