Ils libèrent la racaille, mais ils ont emprisonné Juving-Brunet 111 jours !
C’est un festival de France Orange Mécanique tous les jours, dans la France de Macron, Darmanin et du Yéti.
Et on pourrait en ajouter beaucoup. La plupart du temps, les agresseurs sont d’origine étrangère, en situation irrégulière (ce que même Darmanin avait confirmé). Il faut souvent une vingtaine de délits, dont des agressions violentes, pour qu’ils aillent en prison.
Par contre, un malheureux Français, qui a sans doute tenu des propos scandaleux mais n’a jamais agressé personne, s’est pris, avec un casier judiciaire vierge, 5 ans de prison, dont trois fermes, pour apologie du terrorisme d’ultra-droite. Et le gars n’aura plus le droit de travailler dans la fonction publique. Une mise à mort sociale assumée par les juges. Et l’homme qui lui a vendu une arme a pris 3 ans de prison, dont 1 ferme !
Mais en outre, l’État français s’est acharné, 111 jours durant, contre un délinquant autrement plus dangereux : le capitaine Alexandre Juving-Brunet.
Quel crime a commis ce dangereux malfaiteur ? Il a osé, s’appuyant sur la crise monétaire qui s’annonce et le chaos qui avance, réserver aux membres de son association la possibilité d’acheter des Francs Libres. Il n’a escroqué personne, n’a subi aucune plainte, sur les 4 500 donateurs qui ont rejoint son association. Mais il a été dénoncé par Libération et ses deux antifas, Macé et Plottu, son compte était donc bon.
Et comme 111 jours de taule ne suffisaient pas, ils lui ont confisqué la moitié des dons qui figuraient sur les comptes, ont liquidé son entreprise, et il a toujours un bracelet électronique.
Je rappelle que j’avais échangé avec lui, durant son incarcération.
Pendant ce temps-là, la racaille agresse les nôtres, en toute impunité, et le chef des juges, Dupond-Moretti, se permet des bras d’honneur à l’Assemblée, sans se faire foutre dehors.
Nous sommes dirigés par des traîtres et des crapules, prêts à tout pour éradiquer tout début de résistance de patriotes voulant encore sauver le pays.
J’espère vivre assez vieux pour les voir payer un jour leurs crimes, et fort cher…