Et ça se passe très mal. Tu m’étonnes !
C’est à Paris.
« Depuis près d’un an, nous vivons un calvaire. » Karima, locataire depuis 2005 d’un studio situé au 18, rue Jean-Jacques-Rousseau (Ier), est « au bout du rouleau ». Le 5 avril dernier, 52 hommes sans-abri ont été installés dans son immeuble de cinq étages géré par la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP) et promis à rénovation au printemps. Cette infirmière et les quatre autres derniers locataires en place dénoncent les nuisances provoquées par leurs nouveaux voisins.
Urine dans les cages d’escalier, déchets dans les parties communes, bagarres dans la cour et punaises de lit… « Ça tourne au harcèlement moral », estime Karima, qui prend son service chaque matin à 7 heures à l’hôpital Cochin (XIVe). « L’immeuble est tellement sale que je ne prends plus l’ascenseur. Je fais le ménage moi-même dans l’escalier, et je ramasse aussi les mégots dans la cour », détaille la locataire de 58 ans.
Alcool, joints, pathologies mentales… ils profitent de tous les avantages du « vivre ensemble ». Cette fois avec des gens désociabilisés. Et la régie de pousser des hauts cris, on fait les efforts nécessaires : deux agents de surveillance « H24 sur place ». Ainsi que celle de « trois travailleurs sociaux, un agent d’accueil expérimenté, une aide éducatrice, une cheffe de service et la directrice ». Ben voyons ! Que des Gentils Animateurs à l’écoute des SDF…. quand il faudrait une main de fer qui impose, qui expulse, qui fait nettoyer aux salopards leurs merdes.
C’est une constante des socialauds et mondialistes aux manettes partout et notamment dans la capitale, Hidalgo oblige.
Tout pour les autres (immigrés, SDF refusant les règles, délinquants), les nôtres on les emmerde.
Et on leur fait bien sentir à quel point ils dérangent. Ils osent refuser des solutions de logement temporaire. Pas folle, la guêpe, Karima a compris que si elle acceptait elle ne retrouverait jamais son HLM, elle perdrait l’autre, donné à titre transitoire, et se retrouverait obligée de se loger dans le privé, ce que son salaire d’infirmière ne lui permet pas.
« Ne pas laisser les personnes à la rue, c’est notre mission de bailleur social », qu’elle dit, la Régie. Même si c’est pour en chasser d’autres ? Eux on s’en fiche ? Est-ce la même Régie qui a permis au couple Corbières (et à tant d’autres) d’occuper un logement HLM pendant des lustres ? Jamais de SDF comme voisins, eux. Mieux encore, quand, devant le scandale devenu public ils ont quitté leur HLM ils auraient pu faire rénover aux frais de la collectivité leur maison de Bagnolet…
Ceci est juste un tout petit exemple de l’inversion des valeurs terrible que nous vivons chaque jour.
Christine Tasin
Vous êtes sévères ! Cela va mettre de l’animation dans cet immeuble un peu triste: râles des moutons qu’on égorge, you you pour chaque festivité, odeur
d’urine parfois mêlée à celle de la merde fraiche …
Cela va mettre de l’animation dans cet immeuble un peu triste :
râles des moutons qu’on égorge, you you pour les festivités, odeurs exotiques allant de l’urine à la merde franche etc…
es festivités
Je suis triste pour ces locataires, mais les franchouillards ont réélu la taffiole , ils ont préférer veauter pour LFI et la poissonnière qui sait qu elle ne sera jamais élue , faisant la part belle aux enculés de tous bords. Alors qu ils se demerdent , nous nous attendons le grand soir !
Pour avoir travaillé dans le secteur, je peux affirmer que les institutions sociales et psychiatriques sont depuis longtemps dépassées, souvent dirigées par des gens bien intentionnés mais incompétents ou aux concepts ineptes, inefficaces parce que superficiels et sans compréhension des problématiques psychiques profondes, comportementales, ethniques des populations concernées. Continuer d’accepter des dizaines de milliers d’étrangers issus de pays non occidentaux mènera sur une large échelle, notre pays à la même situation ingérable que vivent ces habitants dans un simple immeuble d’habitation. Les ONG et beaucoup de décideurs dans la
démagogie, la course aux subventions, qui se parent d’une morale étriquée, voir schizophrène, se transforment eux mêmes en instruments du chaos.
Pour aller dans votre sens et illustrer par l’exemple, je parlerai de mon expérience personnelle. J’ai passé les douze dernières années de ma vie professionnelle en tant que comptable dans une association où œuvraient de gentils “travailleurs sociaux” de toutes sortes, éducateurs, directeurs, juristes, etc. tous bienveillants et bienveillantes plus encore, avec leurs ouailles mais ne vivant pas à proximité, pas folles les guêpes !… En revanche, les gens qui vivaient dans les immeubles où se trouvaient les logements mis à disposition des personnes “en situation de précarité” ne voyaient pas les choses du même œil, et on les comprend !!!