Immigration : deux élus socialos découvrent que Zemmour avait raison
PS : inutile de me dire que j’ai raté ma dernière phrase, je sais…
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Deux histoires assez intéressantes, et presque semblables, nous interpellent ce jour. Aux Mureaux, le 2e adjoint socialiste, Boris Venon, se plaint depuis deux ans d’être victime d’insultes homophobes et racistes, et il décide, finalement, de démissionner de son mandat et de quitter la ville. Cet homme était par ailleurs le premier secrétaire fédéral des Yvelines du Parti socialiste.
Au sud de Toulouse, à Saint-Lys, c’est un autre maire socialiste, Serge Deuilhé, qui fait la une de l’actualité. Voilà ce maire socialiste qui refuse une décision de l’Etat de lui imposer un centre avec 120 migrants sur sa commune qui compte 9 200 habitants. Et le comble est qu’il est insulté à présent par des gens de gauche, qui se disent humanistes, et qui lui reprochent d’attiser la haine.
Un maire qui était par ailleurs capable de traîner devant les tribunaux une commerçante qui parlait mal de lui sur une liste privée.
Bref, confrontés au réel, ces deux socialistes, dont le parti, et donc eux-mêmes, ont copieusement insulté Marine Le Pen ou Eric Zemmour depuis des années, vont se retrouver à présent sur le banc des accusés, à leur tour.
Conclusion : sur l’immigration, Zemmour avait raison. On attend avec impatience que ces deux élus le disent, parce que, pour l’instant, voilà ce qu’on entend chez les socialauds :
Bassem Asseh, 1er adjoint à la maire de Nantes : « Faire l’amalgame entre les migrants et la délinquance, c’est une honte » pic.twitter.com/x3Ly36kfFw
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) September 29, 2022
« Jamais la police municipale, parce que ce n’est pas son travail, ne pourra empêcher un viol dans la rue », selon Johanna Roland, maire de Nantes pic.twitter.com/Nf6t3BBLNG
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