Au XVIIIe et XIXe siècles (18e et 19e pour les wokistes débiles handicapés de la pensée qui ne savent pas lire les chiffres romains), on parlait français à la cour de Russie. D’ailleurs quantité de mots russes proviennent du français. Et la correspondance amoureuse (entre Russes de l’aristocratie) se faisait souvent en langue française. Langue du romantisme et de la séduction. Sans oublier qu’au niveau de la littérature, même Tolstoï a écrit nombre de dialogues en langue française dans le texte original en russe de son célèbre roman Guerre et Paix.
Pourquoi le français était-il si présent en Russie à cette époque ? Je vous invite à lire l’explication plus en détail vers ce lien.
https://fr.rbth.com/art/culture/2017/05/26/pourquoi-parlait-on-francais-en-russie_770977
C’est un élément important de mon article, mais pas le sujet principal, alors continuons.
À l’époque de la Renaissance italienne, la France, influencée par sa voisine, connut à son tour cette Renaissance entre le XVe et le XVIIe siècle. Sans l’Italie, elle n’aurait jamais connu cet essor culturel grandiose qui a profondément marqué notre pays.
Et nous pourrions continuer comme ça sur de très nombreux exemples de transmissions, de propagations ou d’apports culturels à travers le monde dans l’histoire humaine.
Tout ça pour comprendre une chose essentielle :
À ces époques, il n’y avait pas des millions de Français vivant en Russie pour transmettre la culture française. Il n’y avait pas de millions d’Italiens vivant en France pour faire apparaître la Renaissance sur notre territoire. Et actuellement, il n’y a pas non plus des millions d’Américains vivant en France ; et pourtant, la culture américaine imprègne en profondeur toutes les strates de notre société.
Tout ça pour vous faire comprendre encore que l’immigration de masse n’est en aucun cas un argument recevable comme élément indispensable de transmission culturelle !
Donc l’argument de « l’immigration comme enrichissement culturel » ne vaut rien.
Les exemples historiques le démontrent. Et de nos jours c’est encore plus probant. La diffusion de la culture se fait par Internet, les journaux, le cinéma, les expositions, la musique et la littérature surtout, car on y retrouve en détail l’histoire, les idées, la pensée et l’art de vivre de tout un peuple.
Autre point pour continuer à pulvériser allègrement cette fausse croyance de l’enrichissement culturel via l’immigration : l’appropriation culturelle.
L’appropriation culturelle, quèsaco ?
Exemple rapide : imaginons que vous soyez amateur de vin et que je vous dise « Il faut absolument m’inviter à dîner chez vous, car je ne viendrai pas les mains vides, mais avec un Pétrus pomerol à plusieurs milliers d’euros. » Et le jour du dîner, j’arrive effectivement avec ce fameux vin, j’apporte donc mon apport culturel dans votre maison. Mais si au moment de le boire, je vous dis « Ah non, le vin n’est que pour moi, c’est ma bouteille, pas la vôtre, vous n’avez pas le droit d’en boire ! »
Je parie qu’à ce moment-là vous risquerez de faire la gueule, parce que je vous aurais pris pour un con.
Eh bien c’est tout pareil avec le principe de « l’appropriation culturelle ». Même foutage de gueule !
« L’apport culturel » est un argument fallacieux pour faire venir une immigration de masse, mais une fois en France, cette même immigration hurle à « l’appropriation culturelle » si vous osez vous rapprocher de leur culture.
C’est le second point qui démontre que l’argument « l’immigration est un enrichissement culturel » est, là encore, irrecevable.
Car si les Blancs veulent profiter de cet enrichissement culturel, ils sont aussitôt montrés du doigt, insultés et accusés par des immigrés vivant sur notre sol !
Le troisième point est que certaines cultures étrangères sont tellement aux antipodes des nôtres qu’elles nous affectent et détériorent notre qualité de vie bien plus qu’autre chose.
Exemples de cultures aux antipodes des nôtres que les immigrés ont apportés en France dans leurs valises : l’islam et le cannabis !
Souvent mortifère et liberticide pour l’un, dangereux pour la santé et criminogène pour l’autre.
Des millions de Français se passeraient volontiers de ces deux apports culturels-là.
Mais culturellement, l’immigration n’a pas apporté que ça, me direz-vous ! Apport musical par exemple.
Oui, c’est vrai.
Le rap des jeunes issus de l’immigration ? C’est la culture d’une musique majoritairement anti-française ; avec bien souvent des appels au meurtre à notre égard dans leurs chansons. Si c’est ça leur apport culturel, je passe mon chemin.
À quand une section « rap » au musée du Louvre ? Entre les statues grecques et les peintures italiennes peut-être ?
La sublimation de la violence entourée par les sublimations de la beauté. Tout un programme…
Les artistes arabes, musulmans ou africains de tous bords ? Dans certaines de leurs œuvres prédomine souvent un point commun bien marquant : la critique perpétuelle de la France et la haine continuelle de la race blanche !
Et bien cet apport culturel haineux, je m’en passe aussi. Comme bien des Français…
L’apport culturel linguistique, allez-vous renchérir.
Essentiellement des insultes en arabe.
Rien de plus insupportable que d’entendre des petits Français blancs qui parlent « wesh-wesh » avec des « wallah » dans chaque phrase. Pathétique au pays de Molière, de Voltaire et de bien d’autres… C’est un appauvrissement de notre langue, pas un enrichissement !
D’un point de vue artistique, nullement besoin de la présence de millions d’immigrés depuis des décennies sur notre sol. Leurs apports culturels me laissent, hélas, sans joie, sans emballement et sans éblouissement.
Leur haine de notre civilisation les empêche d’être libres et de créer des œuvres culturelles grandioses reconnues et admirées par le monde entier.
Pour être créatif, il faut être libre ! Dans la vie comme dans sa tête.
Et la haine n’a jamais été un élément artistique créatif, mais toujours un élément terriblement destructeur… Les plus grandes œuvres d’art de l’humanité n’ont pas été créées par la violence et la haine, mais par l’amour et la recherche de la beauté.
Donc, non, l’immigration n’est pas une chance culturelle pour la France.
Et elle ne l’a jamais été. Pas besoin d’immigration pour transmettre la culture d’un pays à l’autre. Et sans cette présence de masse, cette culture de haine vis-à-vis de nous ne serait pas présente sur notre sol. Et bien des vies seraient épargnées chaque année…
Mais l’apport culinaire, me rétorquerez-vous avec indignation. La culture gastronomique c’est important quand même !
Oui, c’est vrai, et ici je reconnais bien volontiers ma mauvaise foi. Les restos rapides, comme les kebabs, sont un vrai apport culturel formidable, où cette haute gastronomie côtoie bien souvent des défaillances sanitaires catastrophiques, régulièrement épinglées par la DGCCRF lors de contrôles sanitaires, en matière d’hygiène douteuse pour ne pas dire dangereuse : avec salmonelles, traces de matière fécale parce qu’on ne se lave pas les mains en cuisine, etc.
Mais, régulièrement des études très sérieuses nous démontrent de manière indiscutable que le couscous est devenu le plat préféré des Français. « Apport culturel gastronomique ! », insisterez-vous encore.
Oui, c’est vrai, selon des études qui sentent bon le bidonnage à plein nez, le plat préféré des Français serait devenu le couscous. Mais si cela est vrai, cela ne prouve pas que le goût des Français blancs a évolué, mais que le Grand Remplacement est en marche. Et qu’il y a bel et bien des millions d’Arabes vivant sur notre sol qui ont répondu « le couscous » à la question posée. Ça pèse dans la balance des résultats. CQFD
Donc non et non, l’immigration n’est pas une chance culturelle pour la France.
Et pour être provocateur et taquin, je pourrais finir en disant que oui… bien évidemment… j’ai caché éhontément nombre de vrais apports culturels apportés par l’immigration en France. Apports culturels qui ont d’ailleurs indéniablement transformé positivement la France… comme le voile islamique, les djellabas, la polygamie, l’excision, la charia, les prières dans la rue, le statut de la femme inférieur à celui de l’homme, les relations sexuelles entre adultes et enfants, car dans une certaine culture la pédophilie n’existe pas, etc., etc.
Bref, tout plein de bonnes choses culturelles que le monde entier nous envie !
Non et non, l’immigration n’est pas une chance culturelle pour la France.
D’après David Lisnard « l’immigration est devenue un problème majeur ». L’année dernière « la France a accueilli un record de 500 000 personnes ».
Aussi je crois que la coupe culturelle est non seulement pleine, mais déborde déjà sur la nôtre pour tenter de la submerger.
Les cultures ne cohabitent pas pacifiquement. Jamais. Tôt ou tard il y en a toujours une qui cherche à dominer l’autre. Que cela soit la culture endémique d’un pays pour survivre ou la nouvelle fraîchement arrivée, toute pleine de ses certitudes arrogantes pour imposer avec force ses nouvelles valeurs.
Exemple : culture wokiste ou islamique.
Et les conséquences qui en découlent inévitablement : déboulonnage de statues en place publique, destruction de statues et d’œuvres d’art dans les églises, attaque de tableaux dans les musées, etc.
Non, l’immigration actuelle n’est pas une chance culturelle pour la France.
Ne laissez personne prétendre le contraire !
Et oui, je préfère écouter une symphonie de Mozart que des percussions sur un djembé. Sans pour autant décrier ce dernier. Intéressant à plus d’un titre.
Stéphane Fatrov
Auteur humoristique à moitié con, pour l’autre moitié je doute encore…
C’est une chance effectivement, …je me suis mis à pratiquer les fêtes celtes…lol
sans les pieds noirs le couscous derait très pauvre culinairement
Espérons qu’un jour seule une immigration de travail sera privilégiée !
Lors de mon voyage en Irlande en 2012 avec ma chère et tendre à qui je voulais faire découvrir ce si chouette pays, on discutait avec le serveur de l’hôtel à Belfast… Tchèque, il a passé la douane à Georges Best (l’aéroport de Belfast) en présentant son contrat de travail et une preuve de logement…
Chez nous, on leur verse des allocs dès le lendemain !
Le couscous n’est pas arabe. Il remonte au temps de l’Empire Romain où les populations berbères cultivaient le blé.
Ah ! Merci pour cette information historique et culinaire !
Immigration, une chance pour une France poubelle…